S’ils aident avec une ardeur peu commune les mâles africains âgés d’une vingtaine d’années qui viennent envahir l’Europe, les extrémistes ont développé une haine pour tout ce qui représente l’Europe jusqu’à commettre les actes les plus abjects.
À Bègles, des racailles ont profité de l’hospitalisation d’un Français âgé de 85 ans pour faire squatter sa maison par des individus à papiers espagnols, non pour des raisons de survie, mais uniquement par motivation idéologique. Les racailles, souvent issues de la bourgeoisie et vivant d’allocations, n’ont absolument pas besoin de ces « squats » pour se loger. Ils s’en servent comme instrument de propagande politique.
De cela témoignent les banderoles qu’ils exhibent et les tracts affichés et distribués autour de la maison. Comme les pires délinquants, les anarchistes visent des personnes isolées, faibles, disposant de peu de ressources.
« Créant des alternatives à des maisons vides [et non à des problèmes de logement], 1 – 10 – 100 squats résistent [sic] »,
proclame ainsi un message qui prouve clairement qu’il n’est pas question de logement, mais de politique.
« Ce lieu est notre domicile ainsi que notre résidence principale depuis le 21/10/2015. En tant que résident-e-s [sic] de l’immeuble [sic], nous sommes propriétair-e-s [sic] par la loi [sic].
Agir hors du cadre procédural, c’est heurter [?] des grands principes du droit français, l’inviolabilité du domicile »,
précise un tract imprimé à partir d’un modèle diffusé par les sites extrémistes pour réaliser ce genre d’occupation illégale en se protégeant derrière la loi du système. Les extrémistes, qui se prétendent libertaires, évoquent ici le droit de propriété comme « un grand principe »…
Durant deux ans, depuis que le propriétaire a connu de graves problèmes de santé qui l’ont éloigné de son domicile, la maison a été ainsi occupée illégalement à sept reprises malgré de diverses mesures mises en place (cadenas, obstruction des entrées, etc.) par sa famille.
Elle a engagé des procédures devant la justice du système, jusqu’ici en vain. Les services du gouvernement d’occupation ont déjà fait connaître leur refus d’aider la famille française en prétendant que cela « allait prendre du temps ». Cinq minutes pour voler un bien, dix ans pour le récupérer légalement : la justice républicaine est en marche.
« Seule une décision judiciaire est susceptible de faire appel à la force publique pour faire évacuer ce squat. Ce que les occupants non invités ont bien compris »,
affirme un médiat qui évoque l’affaire, sans rappeler que la force d’un régime corrompu n’est pas la seule à exister dans un pays dont les citoyens prennent chaque jour plus conscience de la nécessité de prendre en main leur destin.
Et quand bien même les parasites finiraient par être expulsés, la maison serait inhabitable, les racailles ayant l’habitude de partir en détruisant tout ce qu’ils peuvent comme cela avait été le cas à Rennes, sous l’œil des caméras de télévision.
(ou ici)
les anars sont rois . de vrais parasites que nos dirigeants acceptent au nom de quelles lois et quelle justice?
Et qui est le maire de Bègles ???, un maire de l’écologie gauchiste donc tout est dis ils sont protégé alors.