Le coût humain et matériel des attaques menées contre Paris est déjà extrêmement lourd. Au moins 130 personnes sont décédées vendredi dans la capitale et autour du Stade de France, sans compter au moins neuf islamistes morts depuis. Au coût humain, par définition inchiffrable (outre le caractère sacré de la vie, il s’agissait en majorité de gens jeunes, en âge de procréer, certains exerçant des professions utiles à la société, etc.), au coût matériel direct (destructions de biens, coût sanitaire, coût des personnels mobilisés, etc.) déjà très important, s’ajoutent des pertes économiques très élevées par l’impact sur le tourisme et le commerce en général.
Les mensonges répétés du grand patronat, de l’extrême gauche et des falsificateurs de l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSÉÉ), abondamment relayés par la presse aux ordres, n’y changeront rien : l’invasion est définitivement un fardeau pour l’homme blanc.
Soins, chute de l’activité économique, mesures sécuritaires : que coûtent les attentats ?
Les conséquences à moyen et long terme des attentats – a fortiori dans l’optique d’attaques répétées et d’un « état de guerre » proclamé par le gouvernement – dans tous les domaines possibles ne sont pas moins importantes : des dizaines de personnes sont toujours hospitalisées dans un état très grave, nécessitant des soins, la mobilisation de médecins, d’infirmières à long terme. Certains ne retrouveront jamais une vie normale, handicapés à vie, et ne pourront plus travailler. L’État – il pourrait s’agir d’une annonce mensongère de plus – a affirmé que tout serait pris en charge.
En matière sécuritaire, des milliers de policiers et militaires sont mobilisés pour des missions Vigipirate depuis des mois, mais aussi pour de nombreuses perquisitions, interpellations, escortes, enquêtes, et missions spécifiques à travers la France. Le gouvernement a chiffré ce jeudi à 600 millions d’euros l’embauche de 8 500 policiers et douaniers et magistrats. Certaines entreprises ont décidé d’importantes et coûteuses mesures de sécurité.
Il faut évoquer parmi les plus importantes dépenses liées à ces attaques l’envoi du porte-avions à propulsion nucléaire Richelieu (dit De Gaulle) au large de la Syrie avec plusieurs milliers de marins, accompagné de divers autres navires. Il s’ajoute aux dépenses déjà faramineuses de l’intervention en Syrie, elle-même s’ajoutant à l’opération Barkhane au Sahel contre des groupes similaires1. En avril dernier, le budget de la Défense a été augmenté de 3,8 milliards d’euros : de combien le sera-t-il après les attaques commises par les étrangers vendredi ?
Les conséquences économiques sur le secteur du tourisme – particulièrement graves dans un pays soumis depuis des décennies à des politiques volontaires de désindustrialisation et voué à une désastreuse monoculture touristique – se font déjà ressentir2. Ils devraient perdurer longtemps et se répercuter à toute l’économie nationale. Les grands magasins ont annoncé de fortes baisses de fréquentation à Paris3. Les attaques islamistes pourraient avoir un impact déterminant à la baisse sur la croissance, à l’inverse des mensonges gouvernementaux sur la « reprise ».
Le coût des attentats commis depuis janvier est impossible à chiffrer précisément. Il est a minima de l’ordre de plusieurs milliards d’euros. La situation engendrée, à laquelle ils ont participé, va causer plusieurs dizaines de milliards d’euros de dégâts, de frais engagés, de dépenses préventives supplémentaires.
Ce ne sont pas les financiers séoudiens des terroristes qui paieront, mais les Français
Ces milliards, voire dizaines de milliards d’euros engagés, ce ne sont pas les Séoudiens, les Qataris ou autres financiers du terrorisme qui les payeront, mais le contribuable français. C’est le peuple auquel ont été imposés 15 millions d’étrangers qui devra payer encore pour les conséquences de l’invasion. C’est pourtant avec l’argent des Européens que les Séoudiens ont financé durant des années les pires groupes terroristes.
L’apport général très négatif de l’invasion une fois encore démontré
Ces faits rappellent, s’il en était besoin, le coût effroyable de l’invasion en France. Il ne s’agit que des 130 derniers morts causés par l’immigration de masse. Cela ne prend pas en compte les crimes habituels des occupants : l’incivilité quotidienne, les bus dégradés pris sans payer, les incendies criminels de voitures, de bibliothèques, de mairies, le travail au noir, le coût de l’Aide médicale d’État (AMÉ) et des allocations de toute sorte, les viols racistes commis contre des Blanches, les meurtres durant les émeutes urbaines, les assassinats d’Anne-Lorraine Schmitt, Jean-Yves Bonnerue, Marcel Brunetto, Jérémy Mortreux, Steve Degoulet, Christophe Rambour, Jeanne-Marie Kegelin, Julie Scharsch, Jérémy Roze, Marion, et les centaines d’autres Français tués par des étrangers.
À cela s’ajoute d’autres « externalités négatives » inchiffrables de l’invasion : le mélange de notre sang, l’abaissement du niveau scolaire, la souillure civilisationnelle, l’Europe étant tout autant touchée par les délires criminels de Bernard-Henri Lévy, Alain Finkielkraut et Nicolas Sárközy, que par les actes terroristes de Khaled Kelkal, Mohamed Merah ou Abdelhamid Abaaoud.
Cela n’empêche pas, depuis des décennies, les gouvernements d’occupation et leurs médiats aux ordres, les agents de la grande finance internationale comme leurs objectifs alliés d’extrême gauche, de prétendre que l’immigration est « une chance pour la France ». L’Institut national de la statistique et des études économiques (INSÉÉ), infesté de prétendus « chercheurs » marxistes et libéralistes, multiplie les études mensongères, biaisées, tronquées, falsifiées, sur les « bienfaits de l’immigration ». Lesquels oseront reconnaître leurs erreurs, avoueront qu’ils ont trompé volontairement les Français ? Lesquels admettrons que la seule douzaine de criminels étrangers impliquée dans les attentats de vendredi à Paris a coûté plus à la France que ne rapporteront jamais 15 millions d’occupants en cinquante ans ?
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1 Une heure de vol d’un Rafale revient à 13 000 euros par heure ; celle d’un Mirage à environ 11 000 euros. Certains missiles coûtent un plus de 300 000 euros l’unité. Si certains de ces coûts sont compris dans le budget, d’autres ne le sont pas comme les surcoûts liés aux primes d’engagement et aux retraites.
2 « Depuis samedi, il y a une vague d’annulations conséquente dans l’ensemble du secteur de l’hôtellerie et qui concerne les deux ou trois mois à venir » (Didier Le Calvez, président de l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie-Prestige (UMIH).
3 Le Printemps a évoqué une baisse de 30 %, les Galeries Lafayette de 50 %.