Rares sont les médiats à avoir évoqué les faits ; quand ils l’ont fait, comme France TV infos, ils ont caché la réalité – menti, donc – en évoquant des « adolescents » et des « débordements », alors qu’il s’agit d’Africains ayant organisé une émeute, une fois encore, et pour la plupart en âge d’être pendus pour leurs agissements.
Une nouvelle fois, des centaines de Noirs, les sources américaines évoquent 2 000 individus, ont organisé une émeute géante dans un centre commercial, agressant, détruisant, pillant. Heureusement, aucun policier n’est intervenu réellement : les forces de l’ordre ne seront pas taxées de « racisme ». Il n’y a pas eu la moindre interpellation.
Il s’agit d’une nouvelle « black mob », « émeute noire », « jeu » inventé dans les communautés africaines consistant à se déchaîner dans un lieu déterminé et conduisant souvent à d’importants dégâts et parfois à des morts. Les policiers ont confirmé que les émeutiers s’étaient coordonnés en utilisant les réseaux sociaux. Comme c’est parfois le cas, les gangs de racailles se sont affrontés entre eux, sous le regard effrayé des humains à proximité.
Cette dernière attaque s’est déroulée au centre commercial Saint-Matthews près de Louisville (Kentucky), le 26 décembre, au lendemain de Noël.
« Les commerces voulaient fermer leurs portes, mais des jeunes les en empêchaient en grimpant sur les grilles. C’était une émeute, c’était fou »,
a déclaré un responsable de la police.
Près d’une semaine après les faits, Barack Obama n’est évidemment toujours pas intervenu pour condamner cette attaque terroriste commise par ses congénères, ni pour rappeler que la grande majorité des crimes, des meurtres aux viols en passant par le trafic de drogues, était le fait de cette population africaine que les médiats du système tente de faire passer pour une victime.
Les racailles, appuyées par les médiats et l’administration Obama, seront un peu plus encore confortées dans leur impunité. Plus qu’hier et moins que demain, ils sauront qu’ils peuvent succomber à leurs pulsions les plus animales sans risque.