Le maire de Grande-Synthe et des associations d’extrême gauche ont annoncé la construction, avec l’argent du contribuable (deux millions d’euros selon le maire de la ville qui affirme : « l’État paiera »), d’un nouveau camp pour envahisseurs à Grande-Synthe, en remplacement de celui qu’ils occupent actuellement.
Quelques dizaines il y a quelques mois, ils seraient actuellement 2 500 clandestins en situation irrégulière que le gouvernement refuse d’expulser sur le territoire de cette ville. Ces délinquants représentent plus de 10 % de la population.
« Nous projetons d’installer un camp aux normes humanitaires internationales, telles que préconisées par Médecins sans frontières, qui travaille sur ce dossier avec nous. Cette solution est la plus à même de répondre à l’urgence humanitaire »,
s’est réjoui le maire la ville, Damien Carême, alors même que ce nouveau camp ne fera qu’aggraver le problème. Les installations (locaux en dur, douches, toilettes, installations chauffées, nourritures et soins fournis gratuitement, etc.) ne feront qu’inciter les envahisseurs à venir, se servant du camp comme base arrière pour planifier leurs attaques pour passer illégalement en Grande-Bretagne, organiser leurs trafics, etc.
Le projet est actuellement entre les mains de Bernard Cazeneuve qui devrait l’approuver comme il a déjà approuvé l’institutionnalisation progressive de la « Jungle » à Calais, abritant désormais mosquée, boîte de nuit et restaurants, nouveaux Sangatte créant un grave point de fixation pour les clandestins, attirant gangs mafieux et créant d’importants désagréments pour les Français du voisinage.