Le fondateur des Jeunesses nationalistes (JN) et ancien conseiller régional a plaidé en appel hier, vendredi, de sa condamnation à deux mois de prison ferme et 4 000 euros d’amende pour une prétendue « manifestation interdite » en septembre 2012 à Paris.
La décision sera rendue le 24 juin.
Le jour de la manifestation « interdite », Alexandre Gabriac se trouvait avec des journalistes dans un restaurant éloigné du lieu de rassemblement prévu. C’est alors que d’importantes forces de leur police politique avaient surgi et avaient violemment agressé le chef des Jeunesses nationalistes. Interpellé, il avait été placé durant de longs jours en garde à vue puis déféré.
À travers la capitale, la tchéka avait raflé tout ce qui ressemblait à des patriotes (y compris l’avocat maître P-M Bonneau), soit 57 personnes en tout, sans raison et dont aucune n’a été poursuivie.
La manifestation interdite avait pour but de dénoncer les zones de non-droit et le racisme anti-blanc.
Les nationalistes savent qu’à la longue liste des cités occupées, il ne faudra pas oublier d’ajouter les tribunaux qui devront eux aussi être délivrés d’une présence antifrançaise particulièrement nocive et désastreuse pour notre nation.
3 individus arrêtés pour quenelles seront entendus pour « réparation du préjudice ».
http://www.lyoncapitale.fr/Journal/Lyon/Justice/Justice/Journee-de-la-Shoah-trois-individus-arretes-pour-des-quenelles