Grèce : répression violente d’une manifestation anti-envahisseurs à Chios
Une manifestation à Chios contre la concentration sur cette île égéenne qui se situe à moins de 20 kilomètres du rivage turc de 3 500 envahisseurs, pseudos candidats à l’asile, a donné lieu à une violente répression des manifestants. Les forces anti-émeutes ont fait usage de gaz lacrymogène pour empêcher quelque 800 grecs qui s’étaient réunis mercredi soir suite à des appels sur les réseaux sociaux, de s’approcher des 2 camps abritant les envahisseurs responsables des innombrables nuisances et préjudices qui rendent la vie infernale aux habitants de cette île. En effet les habitants de Chios commencent à s’impatienter : la plupart des envahisseurs qui résident actuellement dans l‘île n’ont pas vocation à rester sur place. Ils sont censés être renvoyés vers la Turquie en vertu de l’accord signé avec l’Union européenne mais dont l’application est au point mort.
Le grave crime de ces manifestants, patriotes et nationalistes dont certains de nos camarades d’Aube Dorée, violemment réprimés par la police : avoir marché en chantant l’hymne national autour d’un drapeau grec… Néanmoins quelques groupes de manifestants ont pu repousser des journalistes, prostitués du système et favorables à l’invasion, les contraignant à fuir les abords du cortège !
La police a interpellé 4 volontaires du centre d’accueil de Souda et un migrant, qui participaient à une contre-manifestation organisée à l’intérieur du camp d’où quelques projectiles ont été tirés vers la police. Les 5 ont été rapidement relâchés. On s’en serait douté…
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