2018, La Sfinge, 192 pages, 12 €
Shlomo Venezia (1923-2012), ancien déporté, se disait membre du «Sonderkommando» des crématoires de Birkenau. Son ouvrage Sonderkommando, traduit en de nombreuses langues, est présenté comme «la vérité sur les chambres à gaz» et comme «un témoignage unique». Mais ces jugements sont tout à fait infondés, ne serait-ce que du point de vue de l’historiographie holocaustique, car le récit de Venezia frappe par sa nature inconsistante, insaisissable et évanescente, ainsi que par son absence totale extraordinaire de concret et de précision.
L’ouvrage de Venezia ne fournit aucune «vérité» auparavant ignorée et confirme seulement de façon confuse et vague les «vérités» déjà connues. Il n’apporte aucune contribution notable ou même simplement nouvelle à la connaissance d’Auschwitz, il élude au contraire systématiquement toutes les questions historiquement importantes.
L’Italien Carlo Mattogno nous offre ici, à l’aide de son scalpel révisionniste, une véritable leçon d’anatomie sur le faux témoignage de Shlomo Venezia.
Disponible sur la Boutique nationaliste.