Grâce au gouvernement Macron, la France est de nouveau dans la course à la puissance militaire. L’armée a dévoilé récemment au grand jour l’arme secrète qui anéantira tout espoir chez les ennemis de la Nation, le recrutement des transsexuels. En imposant cette nouvelle mascarade aux forces armées, le pouvoir porte un énième coup bas à l’une des rares institutions qui forme encore des hommes. Cela vient s’ajouter aux problèmes d’efficacité et de discipline causés par la colorisation des effectifs.
Voici le charmant message empreint de testostérone et de virilité diffusé par le service communication de l’armée de terre sur les réseaux sociaux : « Etre transgenre n’est pas incompatible avec le métier de soldat, tant que votre sexe correspond à votre état civil ! L’armée de terre condamne toute forme de discrimination. ».
La dernière phrase est la plus importante car s’il existe un milieu élitiste, c’est bien l’armée. Le recrutement est basé sur la sélection en privilégiant le fort sur le faible, la vivacité d’esprit sur l’apathie, la rigueur sur la désorganisation, l’obéissance sur l’insubordination, le courage sur la lâcheté. Sélectionner c’est discriminer pour ne garder que les meilleurs.
Partant de ce constat probablement trop simple pour les cerveaux malades qui tiennent le pays, comment comprendre la déclaration selon laquelle l’armée « condamne toute forme de discrimination » ? L’armée a-t-elle vocation à devenir un supplétif des associations antiracistes ? La priorité n’est-elle pas de lutter contre les ennemis de la France et de protéger la Nation ? Visiblement non, et si tel était le cas, alors le putsch que certains attendent dans nos milieux serait arrivé depuis bien longtemps.
Contre toute forme de bon sens, les folles en uniforme seront probablement bientôt rejointes par des bataillons de nains unijambistes, de manchots à trois pattes ou encore de roux aux pieds palmés … Une véritable cour des miracles.
Les français peuvent flâner paisiblement, les militaires de la force sentinelle veillent. Et à l’heure du combat, lorsqu’un barbu égorgeur surgira brusquement en agitant un couteau, nul doute que vous pourrez aller vous blottir derrière les jupons des courageux travelos en gilets pare-balles.
Thomas Roger