Quatre jours après l’attaque au hachoir à Paris, les enquêteurs tentent de faire la lumière sur la véritable identité de l’assaillant, dont la garde à vue a été prolongée et qui s’est présenté jusqu’à présent comme un Pakistanais de 18 ans. Faux âge, fausse identité : son profil se précise : il serait bien Pakistanais, mais ne s’appellerait pas Hassan et n’aurait pas 18 ans, mais 25 !
Depuis le début de l’enquête, cet envahisseur, qui a reconnu avoir blessé gravement le 25 septembre deux salariés de l’agence de presse Premières Lignes en pensant s’en prendre à des journalistes de Charlie Hebdo, se présente comme Hassan A., âgé de 18 ans, né à Mandi Bahauddin, une ville agricole du Pendjab au Pakistan.
Cette identité correspond à celle d’un jeune homme entré en France encore mineur, il y a trois ans. Pris en charge par l’aide sociale à l’enfance dans le Val-d’Oise jusqu’à sa majorité en août.
Et l’individu s’est bien payé la tête des pouvoirs publics : des agents du département, de la police et de la justice ! Avec leur complicité passive d’ailleurs : le Tribunal avait refusé l’examen permettant de vérifier l’âge de l’individu signalé par l’Aide sociale à l’enfance…
C’est en analysant son téléphone portable que les policiers de la brigade criminelle et de la Direction générale de la sécurité intérieure, chargés de l’enquête sous l’autorité du parquet national antiterroriste, ont mis la main sur la photo d’une pièce d’identité. Selon ce document, Hassan A. s’appellerait en réalité Zaheer Hassan Mehmood et aurait 25 ans. A ce stade de l’enquête, ce patronyme n’apparaît pas non plus dans les fichiers de police ou de renseignement, a précisé l’une de ces sources.
C’est sous cette identité que s’est présenté cet homme dans une vidéo enregistrée avant l’attaque et authentifiée par les enquêteurs.
Dans ce document de deux minutes, l’assaillant en habit traditionnel, pointe, entre chants psalmodiés et pleurs, «les caricatures du prophète Mohammed qui ont été faites». «Aujourd’hui, vendredi 25 septembre, je vais les condamner», ajoute-t-il, sans donner plus de détails et sans faire allégeance à une quelconque organisation. Il revendique en revanche avoir pour «guide» le mollah Ilyas Qadri, chef de file de Dawat-e-Islami, un groupe religieux soufie, basé au Pakistan.
Mais que fait en France un Pakistanais fou d’Allah, qui pourrait vivre sa croyance dans toute sa rigueur, dans son pays d’origine, le Pakistan, où l’islam exerce la plénitude de son emprise sur la société et l’État ?
D’ailleurs, contacté par téléphone, Arshad Mahmoud, qui se présente comme son père, s’est dit « très heureux » et « très fier » des actes de son fils, qui a « protégé l’honneur du Prophète ». « Le village tout entier est venu me féliciter », a-t-il assuré. Il appelle par ailleurs le Pakistan à rapatrier son fils. “Je demande au gouvernement pakistanais de ramener mon fils à la maison”, a-t-il déclaré à plusieurs médias. “Il a servi l’Islam et nous sommes un pays musulman”.
Des perquisitions dans deux des domiciles présumés de cet homme présenté comme «itinérant», un hôtel social à Cergy-Pontoise et un appartement de Pantin, ont permis la saisie de matériel, notamment de téléphones portables, dont l’analyse pourrait permettre d’en savoir davantage sur son parcours avant son arrivée en France en 2018. La garde à vue de l’envahisseur, qui parle mal le français et est assisté d’un interprète en ourdou, a été prolongée de 48h le 27 septembre.
Le coordonnateur national du renseignement et de la lutte contre le terrorisme, Laurent Nunez-Belda (famille de pieds-noirs d’origine espagnole ayant quitté l’Andalousie à la fin du XIXe siècle pour s’installer dans la région d’Oran, en Algérie), a estimé avec la langue de bois habituelle que «nous améliorons la détection» en la matière mais «il faut resserrer encore les mailles du filet».
Et sans honte, le ministre de l’Intérieur, Moussa Darmanin (son grand-père maternel, Moussa Ouakid, né en 1907 en Algérie dans le douar d’Ouled Ghalia a été résistant dans les Forces françaises de l’intérieur en 1944), a estimé que les Français et leurs dirigeants avaient «peut-être […] collectivement évacué la menace du «terrorisme islamique» et qu’il lui revenait de leur «rappeler la réalité».
Mais il serait bien temps aussi que le peuple français rappelle ces « édiles » à certaines « réalités » : et notamment leur pleine et entière responsabilité dans l’ensanglantement de nos vies sous les coups des envahisseurs !
Un ensanglantement qui est le résultat d’une immigration-invasion extra-européenne sans contrôle ni entrave depuis des dizaines d’années que les Nationalistes dénoncent sans relâche.
Et dont les lobbies du judaïsme politique et leurs complices ou affidés (pseudo humanistes chrétiens, mondialistes libéraux ou sociaux, francs-maçons déistes ou laïcards) tentent d’empêcher la dénonciation à grands coups de procès, d’amendes, de prison (cf : Hervé Ryssen), d’ostracisme médiatique et de relégation sociale.
Foutons-les dehors ! Tous ! Vite !