Comme certains de nos lecteurs le savent peut-être, le Quotidien tient une place très spéciale dans nos coeurs nationalistes. Que ce soit durant les Gilets Jaunes ou la Manif Pour Tous 2019 – où ils avaient placé intentionnellement un drapeau LGBTQ à une fenêtre pour attendre, postés juste en dessous, notre réaction qui ne déçue personne -, les croiser sur le terrain est toujours pour nous l’assurance d’une franche rigolade. On les en remercie d’ailleurs, si ils nous lisent !
Mais Quotidien s’est illustrée ce jeudi 29 octobre en diffusant un reportage “à charge” contre l’organisation étudiante La Cocarde étudiante à l’université d’Assas.
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Une chose est très intéressante dans ce “reportage”, est la collusion à peine cachée entre les journalistes de Quotidien et les antifas de Siamo Paris.
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Je ne pige rien à la démarche de ses jeunes de la cocarde, « mouvement trans partisan », les références à la racaille révolutionnaire avec leur ridicule cocarde, et le reste de boubliboulga. Ils se créent leurs propres embrouilles. On comprend rien au bidule !
Nous n’avons peut-être pas de conseil à dispenser à ces jeunes gens, mais peut-être un témoignage ? Qui rappellera de bons souvenirs à Pilou.
Lorsque nous étudions à Toulouse, avec Pilou, malgré nos divergences sur des points de détails, et notre faible nombre, nous annonçions clairement la couleur. Étudiant à Sciences Pô (entre autre) où j’étais apparemment seul, j’eus la surprise d’y croiser les rejetons de deux responsables locaux successifs du parti de Jean-Marie LE PEN. Rejetons frappés d’amnésie quant à leur parentel semble-t-il encombrante… Un certain Louis Aliot, très embarrassé devant ses petits camarades (eux-mêmes très étonnés) lorsque je venais lui serrait la pogne. Vu qu’il devait les gaver avec les 3 Jules, certains devaient s’interroger de ma proximité avec ce saint laïc (devenu saint cathodique).
Bref « un facho » se doit d’être latin, italien même, donc sympa, chaleureux, fraternel, bon vivant, la raideur dans le bras droit c’est uniquement lorsqu’il est fâché (ça marche à tous les coups avec les bourgeois et les « autres », c’est génial ! À utiliser donc avec parsimonie), je m’employais donc certains matins « à relever les compteurs » (expression d’un copain qui trouvait pénible cette habitude): je serrais les mains (moi le « fascho », le raïs de Sciences Pô) à tous ces braves étudiants du camp républicain. Bref j’y allais franco, comme le Caudillo. Je glissais parfois dans une bouffonnerie toute latine.
Il est vrai aussi qu’il ne me serait pas venu à l’esprit de louer le furieu germanique en braillant, dans un teton approximatif, un slogan finalement vain, ou d’insulter un étudiant, sinon pour lui rappeler que c’était une vermine républicaine, ce qui résume tout et suffit largement. Le combat doit être politique, ou contre la politique justement pour revenir au régime monarchiste, celui qui rassemble les français plutôt que de les diviser. Je dois avouer que lorsque je me sens injuste ou pas clair, cela m’affaiblit à tout point de vue. Je confesse que la haine est une compagne très désagréable et fort encombrante, même lorsqu’elle est fédératrice (pas sûr d’ailleurs de la qualité de la cohésion). Je lui préfère l’amour du Christ et donc du Royaume de France le plus absolu et sans concession, sans compromis, car lui dépasse tout ! Saint LOUIS et Sainte Jeanne d’Arc sont des exemples sans équivalent.
Bref ! C’est lorsque l’on est au plus près de la Vérité (et de la Justice) que celle-ci nous rend fort.
Ce sentiment de justice et de vérité m’a permis de faire signer une pétition par la presque totalité de mes camarades de première année pour faire retirer le portrait du Che qui trônait sur la vitre donnant du local du syndicat d’extréme gauche; j’en ai profité pour faire passer d’autres messages. La pétition m’a rapporté la sympathie d’un tiers du corps enseignant (ce qui m’a beaucoup surpris: j’y ai découvert des anciens de L’OAS dont un enseignant de haute volée, un sepharade, qui était le plus bruyant de mes soutiens n’hésitant pas à me saluer d’un authentique salut romain dans les couloirs de Sciences Pô; nous avions énormément d’affection l’un pour l’autre, et sa vie aura été celle d’un véritable nationaliste au courage sidérant ! Et d’autres tous disparus dont un qui est devenu un véritable ami), et l’antipathie d’un autre tiers (ce qui est plus conforme à la crasse morale de cette caste de charlatan fort coûteux). L’affiche n’ayant pas été retirée, nous avons dû employer d’autres moyens. Elle a été finalement retirée.
Bref ! Je m’étais donc présenté une année pour le Renouveau Étudiant, syndicat clairement Front National, où j’avais obtenu un score relativement honorable puisque j’étais devant les mous du bulbe du centre-droit (la partie la plus méprisable et méprisé du camp républicain). Je n’ai jamais su qui m’avait apporté ses suffrages. S’il existait un syndicat étudiant des lâches, il se disputerait les places avec ceux des collabos et des crétins. C’est en fait le cas.
Après une première mise au point musclé lors de la rentrée à Sciences Pô, suite à la provocation d’une brochette d’étudiant d’extréme gauche, plus aucun étudiant de gauche ou d’extréme gauche ne nous a cassé les couilles. Il y avait aussi quelques militants de l’Action Française, pas très impressionnant, plutôt décevants et très discrets. Trop Maurrassien pour moi je l’avoue. Je lui préfère Bainville, ce qui tombe bien puisque ma dernière demeure sera près de la sienne.
Je dois reconnaître qu’à l’exception de quelques explications viriles (dont une plus fameuse que les autres), et malgré nos convictions diamétralement opposées, je conserve un bien meilleur souvenir de ces adversaires loyaux et pertinents que des autres « mouvements » de petits bourgeois suce-boulles.
Nous sommes même parvenu à nous recevoir. Je leur traduisais leurs affiches du russe au français, l’une d’entre elles était celle des blancs, ils me l’ont offerte.
Pour revenir à la fameuse explication virile: elle s’est faite entre une centaine de gauchiste et leurs alliés (un mixte d’étudiants hébreux et palestiniens), et nous, une dizaine de gudards pour l’occasion. Cela a s’est très mal terminé pour les racailles qui pourtant braillaient encore dix minutes avant « Et F comme fasciste et N comme nazi, à bas à bas le Front National ». Le lendemain les gooches se sont vengés sur les étudiants du centre droit. Un sacré souvenir. Bien sûr je n’ai pas manqué de relever les compteurs dès le lendemain.
Pilou a été de la partie dans ces aventures, comme toujours.
Est-il nécessaire de faire de la pub au petit Q ? Nos jeunes camarades y sont ridiculés.
Je préfère l’entrevue donné par Yvan à ce merdia. Avec un minimum de mot, Yvan avait sû leur exposer des propos très pertinent. Ils ont tellement été convaincu qu’ils en avaient laissé tomber leur matériel. Bravo Yvan !