La reprise des attentats islamiques sur notre sol contraint les larves médiatiques et politiques à se compromettre dans les exercices de contorsions les plus grotesques pour masquer leur responsabilité écrasante dans la situation désastreuse dans laquelle se trouve notre pays. Les pompiers pyromanes, qui cultivent la haine de la France et encouragent l’invasion de notre sol par les allogènes du tiers monde, dénoncent hypocritement les forces de divisions qui souhaiteraient la guerre civile. Dans ce contexte de tensions raciales dans tout le monde occidental et particulièrement en France, les coupables semblent tout trouvés pour le pouvoir (illégitime) et les médias aux ordres qui renvoient dos à dos « l’extrême-droite » et les terroristes musulmans.
Le parallèle douteux entre les islamistes et les nationalistes
Les médias et le pouvoir institutionnel entendent faire croire aux français que nationalistes (sous-entendu la mouvance nationale et identitaire) et islamistes seraient les deux faces d’une même pièce à insérer dans le jukebox de la menace de nos libertés. Certes, les islamistes souhaitent instaurer un califat en se servant des faiblesses de leur république, tandis que nous, souhaitons instaurer un ordre nouveau sur les ruines de ce régime corrompu. Cependant, nous ne sommes et ne serons en aucun cas les alliés, même de circonstance, des terroristes musulmans – tout comme nous nous refusons d’ailleurs à considérer comme français, quiconque n’est pas de souche européenne, de race blanche (sauf rares exceptions). Le système s’évertue malgré tout à mettre dans le même panier « l’hydre fasciste » et le « fondamentalisme islamique ». Un amalgame grotesque à plus d’un titre comme nous allons le voir.
Tout d’abord, ces deux « menaces » sont de nature différente. D’un côté, un terrorisme d’importation (islamique), et de l’autre un « terrorisme » d’ultra droite (fantasmé, nous allons y revenir) qui correspond davantage à une réaction de défense contre le premier, mais pas seulement. Les premiers souhaitent imposer une idéologie politique et religieuse sur un territoire qui n’est pas le leur. Les deuxièmes ont déjà pour eux la légitimité, étant les autochtones, sont davantage dans une réaction de défense et revendiquent le droit de ne pas être dépossédés de la terre de leurs ancêtres et de rester maîtres chez eux.
Ensuite, l’autre différence fondamentale réside dans la réalité de la menace et des procédés. Combien d’attentat d’un côté et de l’autre, combien d’innocents massacrés par les uns et les autres ? Le bilan sordide est sans contexte à l’avantage des mahométans dont « l’œuvre » a culminé avec les massacres du Bataclan (131 morts) et de la promenade des anglais à Nice (86 morts). La stratégie des tenants de l’islam politique est la terreur qui vient compléter le processus de colonisation et d’islamisation. De l’autre côté, les attentats d’extrême droite, ou prétendus tels se comptent sur les doigts d’une main, et encore, en faisant les fonds de tiroirs. Les moyens d’actions des nationalistes et identitaires reposent majoritairement sur la formation, la propagande, les actions coups de poings et manifestations. Il ne s’agit pas de semer la terreur, comme le font les islamistes, mais bien de mener un combat politique.
La malhonnêteté de nos ennemis fait fi de la réalité, à l’image de l’infect franc-maçon Mélenchon. Pas plus tard que le 26 octobre dernier, sur France Inter[1], le leader suprême de la France Soumise alimentait à nouveau les fictions en prétendant qu’aujourd’hui « le plus grand nombre des attentats qui sont commis en Europe ne sont pas des attentats islamistes mais des attentats d’extrême droite ». Le président du Centre d’analyse du terrorisme (CAT), Jean-Charles Brisard, donne les chiffres de 2015 à 2019. « On enregistre en attentats aboutis – donc hors tentatives – 44 attentats d’inspiration islamiste en Europe, contre 17 attentats d’extrême droite ». Peu importe, le réel n’a aucune prise sur les démagogues bolchéviques qui jouent sur les peurs pour verrouiller toute tentative de révolte. Autre artisan de cette propagande, l’historien Nicolas Lebourg qui met en garde contre l’apparition d’un « Daech de droite, une organisation transnationale uniquement concentrée sur la race blanche. »
Le fantasme à l’épreuve du réel
Le mot « fantasme » n’est pas choisi à la légère, il correspond parfaitement à la situation. Une partie du pouvoir et de l’extrême gauche, semblent attendre avec impatience un attentat d’ampleur venant de « l’extrême droite française » afin de justifier leurs discours paranoïaques aux allures de disque rayé. Malheureusement pour eux, en l’absence d’actes concrets, ils en sont réduits à se rabattre sur les affaires Breivik et Tarrant, ou encore sur des attentats perpétrés aux États-Unis. Tout cela n’est pas très français. En utilisant les mêmes procédés nous pourrions nous amuser à comptabiliser les attentats commis par des musulmans du monde entier.
De même que l’on nous bassine depuis trente ans avec « la résurgence de l’antisémitisme » chaque année, on agite, souvent en période électorale, la menace « fasciste », sans jamais clairement la définir d’ailleurs. Pour alimenter ces fantasmagories, les médias et le pouvoir s’appuient sur des coups de filets montés en épingle. Des prétendues organisations terroristes démantelées ou attentats déjoués qui s’avèrent davantage être des blagues potaches de comptoirs que des projets d’attentats sérieux. Le seul acte concret qu’ils ont à se mettre sous la dent est celui de ce pauvre Claude Sinké, un retraité de 84 ans en mauvaise santé qui, excédé par les attentats islamistes a tenté une action individuelle. Pris de panique, il a tiré sur deux fidèles aux abords d’une mosquée. L’homme présentant des troubles du discernement est mort peu après son incarcération. Récemment ils ont cru enfin tenir leur terroriste avec l’ancien communiste abattu à Avignon. Dommage.
Les autorités ne cessent de dénoncer le danger de l’extrême-droite mais, en réalité, ce dont elles ont réellement peur est plutôt d’une alternative politique crédible, qui obtienne le soutien des masses, que d’attentats. Les attentats, elles ne semblent attendre que ça. Les services spécialisés mettent en garde contre le phénomène des « loups solitaires », mais font tout pour encourager ce type d’individu. D’une part avec un terrorisme intellectuel et judiciaire qui a pour effet d’isoler les français « déviants » ; et d’autres parts en dissolvant à tour de bras les structures et groupes militants. Ces derniers, tout imparfaits qu’ils soient, offrent pour la plupart un cadre aux adhérents et militants qui peuvent à juste titre ressentir une colère légitime vis-à-vis de la situation dramatique de notre pays. Cette saine colère peut être mise à profit pour servir une cause et un idéal des plus nobles, celui de restaurer notre patrie. Les dissolutions et la répression judiciaire ont pour effet de laisser dans la nature des personnes, souvent jeunes qui, isolées, peuvent se réfugier dans un activisme violent et radical. En effet, ne voyant pas d’horizon politique, certains, pris de désespoir, pourraient être tentés par des actions sans retours et stériles.
Nous n’avons pas à rougir de ressentir de la colère ou d’être indigné par la situation tragique de notre pays. Des villes entières sont devenues des enclaves ethniques où règnent le droit coutumier du tiers-monde, des milices turcs ou tchétchènes s’affrontent avec des armes de guerres, et les racailles en provenance du « Jeunistan » humilient quotidiennement les forces de l’ordre et immortalisent le tout avec leurs smartphones. Il convient de ne pas perdre espoir, de dépasser le stade de la simple colère et s’investir dans des initiatives et projets constructifs et porteurs d’espérance pour notre pays et notre race.
L’ennemi de l’intérieur
Notre parcours pour la conquête des esprits et du pouvoir est semé d’embûches. Nous évoquons souvent la répression, qui s’accentue chaque jour, mais il y a un autre phénomène beaucoup plus inquiétant en lien avec le sujet du « terrorisme ». Je veux parler de l’ennemi de l’intérieur, comprendre à l’intérieur de notre camp. Il n’est pas question ici des lâches et autres traîtres, mais de ceux qui de par leurs comportements nocifs nuisent à la cause.
On peut diviser ces êtres néfastes en trois catégories. La première, la plus dangereuse, est celle des infiltrés et autres indics de police. De la même manière que le FBI met des armes dans les mains de criminels pour les faire tomber, la police française place ses pions à « l’extrême-droite ». Au-delà des activités de renseignements, certains ont pour mission d’encourager à commettre des actions violentes. Parmi les groupuscules démantelés ces dernières années, certains comptaient dans leurs rangs des membres ou ex-membres des forces de l’ordre. C’est pourquoi, sans tomber dans la paranoïa, il convient d’adopter une attitude critique et interrogative vis-à-vis de ces comportements suspects.
Deuxième catégorie, sur laquelle s’appuie les services de renseignements pour faire tomber les groupes, les excités qui pensent servir la cause en planifiant des actions stupides et violentes. Des actions allant du dépôt de tranche de jambon devant les mosquées (sic), à la fusillade d’une devanture de restaurant turc au fusil de chasse, en passant par la ratonnade d’afro-maghrébins. Ne prêtez pas attention aux discours exubérants de comptoirs évoquant la reconquête de la France à coup de calibre 12, ou de coups d’état fomentés à dix dans une cave mal éclairée. L’exercice de la violence en politique n’est acceptable que si elle est efficace. Les escarmouches de quelques vengeurs masqués sont nuisibles plus que stériles.
Enfin les deniers sont les marginaux sous anonymats, qui appellent trente fois par jour à la guerre raciale ou à commettre des exactions, bien cachés derrière leur PC et VPN. Pour la plupart ces gens n’ont jamais milité ou fait quoi que ce soit de constructif. Ils se contentent d’éructer et n’ont ni la volonté ni les moyens de faire quoi que ce soit. Ces guerriers du net distribuent les bons et les mauvais points et se répandent 10 h par jour (si ce n’est plus) sur les réseaux sociaux. Jamais une alternative crédible ne pourra se construire avec des paresseux, branleurs et autres imbéciles hystériques au QI simiesque (non, ce n’est malheureusement pas une exclusivité du Jeunistan). La plupart de ces guerriers du net, de ces fantassins virtuels de la division Charlemagne, ou encore de ces templiers du clavier, ne bougeront jamais leur derrière adipeux de leur chaise. Le seul intérêt de ces gens est leur capacité de nuisance pour les structures, groupes et communautés auxquels ils sont assimilés. Pour rappel, dans ce beau régime de liberté qu’est la république maçonnique française, de simples propos sur les réseaux sociaux peuvent, si vous êtes classé à « l’extrême-droite », vous conduire tout droit à la case prison sans empocher le chèque de 200 euros.
Travailler à la reconquête
En conclusion, nous invitons les indécis désireux d’œuvrer pour le redressement de leur pays à se former, physiquement et intellectuellement, à intégrer le cas échéant des groupes ou communautés qui proposent un cadre et un projet sérieux, une « élévation de l’esprit » pour citer le docteur Alexis Carrel. Il n’y aura pas de coup d’état militaire ou de putsch par les armes, en tous les cas je n’y crois pas. Il est inutile de se faire justice soit même, ou de préparer le coup de force à 10 dans une cave. Nous misons sur l’effondrement de ce système pourri et moribond, et nous devons nous tenir prêt pour, le moment venu, saisir notre chance et renverser la table. Le système est plus que fragile, il est voué à disparaître.
Ceux qui vous encourage à des actions violentes irréfléchis sont soit des imbéciles soit des provocateurs qui ne servent qu’à vous pousser à la faute. Tenez-vous éloigner de ce type d’individus, et surtout ne pactisez jamais avec les flics. Ces gens ne sont pas nos amis.
Enfin, il ne faut pas être ni dans l’aigreur, ni dans le ressentiment, ni dans la haine aveugle. On ne construit rien de bon sur ces sentiments. Il faut être dans la clairvoyance, la sérénité, « le calme des vieilles troupes », sans pour autant se renier, sans pour autant faire de concession.
En avant la victoire !
Maîtres chez nous !
Oscar Walter
[1]https://www.lefigaro.fr/actualite-france/la-majorite-des-attentats-en-europe-sont-ils-d-extreme-droite-et-non-islamistes-comme-l-affirme-jean-luc-melenchon-20201028
Je suis d’accord avec la majeure partie de votre article, mais comment provoquer ce « moment venu » que nous attendons tous sans « loups solitaires »? Des piqûres de rappel ne nous feront pas de mal. Au contraire, c’est sûrement ce dont notre race a grand besoin. Amitiés nationalistes d’un couple des Vosges
Bonjour,
Ancien nationaliste de « gauche » (Unité Radicale) et identitaire (Terre et Peuple) je partage votre point de vue. Combien de fois ai je mis en garde mes camarades sur le risque des infiltrés et des provocateurs… (J’avais même prévenu que en cas de besoin je balancerai moi même les gens aux flics pour couper les branches pourries et ne pas impacter les mouvements sérieux)
Aujourd’hui j’ai abandonné tout militantisme, et ne vote même plus pour la Marine…
Chaque jour je me demande pourtant que faire ???
Ma modeste contribution se limite à travailler, m’investir syndicalement (contre le capitalisme tout en empêchant la propagande gaucho islamo LGBT antifa au sein de mon entreprise vu que je tiens le syndicat), élever les enfants, faire des sports de combat (boxe, judo, krav) et acheter Rivarol ou réfléchir et agir puis les déposer dans le cabinet médical ou les boîtes a livres…
Que pouvons-nous faire en attendant une hypothétique chute du régime ???