A l’instar du dîner annuel du CRIF, la « Journée internationale à la mémoire des victimes de la Shoah », chaque 27 janvier, est l’occasion de nouvelles concessions exorbitantes faites aux organisations juives : indemnisations financières, restriction de la liberté d’expression et de recherche, construction de nouveaux centres de mémoire, grandes déclarations d’allégeance à la synagogue. Dès que les pouvoirs publics, les géants du web rencontrent le Congrès juif mondial ou une autre structure de ce type, ils se soumettent avec empressement et manifestent leur docilité. Quelques exemples récents parmi d’autres : Amazon a annoncé la suppression de 92 publications révisionnistes après des discussions avec des dirigeants juifs. Parmi ces ouvrages figurent Le Rapport Leuchter, L’escroquerie des Six Millions et Le Mythe d’Auschwitz — Légende ou réalité. Amazon, tout à sa frénésie de complaire aux organisations communautaires, a également supprimé de nombreux volumes du Journal for Historical Review, une publication de grande qualité intellectuelle qui existait de 1980 à 2002 et qui était ouvertement révisionniste. Ces publications ont été supprimées d’Amazon Grande-Bretagne, ainsi que dans dix-sept centres différents où Amazon opère ; plus de 850 liens vers ces publications sur les sites Web d’Amazon ont été supprimés. Ce matériel révisionniste a été retiré après que les représentants du Congrès juif mondial et du Conseil des députés des juifs britanniques ont rencontré l’équipe des politiques publiques d’Amazon Grande-Bretagne. Marie van der Zyl, vice-présidente du Congrès Juif mondial, a déclaré : « Alors que nous nous réunissons pour commémorer le Jour de la Mémoire de l’Holocauste, nous saluons la décision d’Amazon de retirer de son offre plusieurs titres de publications négationnistes. La négation de l’Holocauste est sans équivoque antisémite ; il prétend que l’Holocauste a été fabriqué et que, par conséquent, les Juifs mentent pour faire avancer un programme néfaste. »
Le pire, c’est la réaction d’Amazon qui se vante d’exercer une censure pour complaire à la coterie juive : « Nous prenons au sérieux les préoccupations du Conseil des députés des Juifs britanniques et du Congrès juif mondial et avons travaillé avec eux directement sur cette question. En tant que diffuseur, nous pensons qu’il est important de donner accès à l’écrit. Nous sommes conscients que l’histoire du monde a multiplié les exemples de censure des livres et nous ne prenons pas cela à la légère. Nous examinons attentivement les contenus que nous mettons à disposition dans nos centres de diffusion et examinons régulièrement nos critères, en écoutant les commentaires, en évaluant notre politique et en enquêtant sur les préoccupations de nos clients. Nous investissons beaucoup de temps et de ressources pour nous assurer que nos consignes relatives au contenu sont respectées et supprimons les offres qui ne respectent pas nos consignes. »
Il est donc manifeste que nous avons affaire à une censure juive, qui s’étend à tous les domaines désormais : les réseaux sociaux, l’imprimé, et qui ne tolère aucune exception. Plutôt que de supprimer des contenus révisionnistes, pourquoi ne pas tenter de les réfuter ? Cela ne devrait pas être si difficile puisqu’on nous dit qu’ils sont mensongers et absurdes. Ou alors les choses seraient-elles plus complexes qu’on nous le dit ?
Quand ce n’est pas la censure de livres et de périodiques, c’est le versement de nouvelles indemnisations financières qui est au programme. Le Premier ministre luxembourgeois Xavier Bettel a ainsi annoncé le 27 janvier la signature d’un accord jugé historique avec la communauté juive. Quand on parle d’accord ou de dialogue avec ladite coterie, c’est en fait toujours une capitulation sans condition, comme c’est le cas du dialogue religieux entre les catholiques (ou prétendus tels) et les juifs. L’accord est conclu notamment avec la Fondation luxembourgeoise pour la mémoire de la Shoah, dont le président luxembourgeois François Moyse a salué « la fin d’une terrible injustice ».
Il prévoit le versement d’un million d’euros — somme jugée comme seulement “symbolique” pour les organisations juives — aux “survivants” (chaque jour plus nombreux) et ayants-droit des déportés ayant vécu au Grand-Duché pendant la Seconde Guerre mondiale. La Fondation pour la mémoire de la Shoah se voit par ailleurs dotée de 120 000 euros par an pendant une durée de trente ans (oui, vous avez bien lu !) pour poursuivre son travail mémoriel. Par ailleurs, tout un symbole, le couvent de Cinqfontaines (au nord du Luxembourg) doit être acquis et rénové par l’État pour y créer un « centre éducatif et commémoratif » avec un investissement de 25 millions d’euros. Rappelons qu’en 1998, les banques suisses avaient accepté d’indemniser les juifs à hauteur de 1,1 milliard de francs. Cela ne s’arrête jamais.
Toujours dans le même ordre d’idées, le président du Conseil européen, Charles Michel, a fait le 27 janvier une déclaration solennelle d’allégeance au culte holocaustique, au nom de toute l’Union européenne : « Se souvenir de l’Holocauste est un devoir moral et historique. Pas seulement pour rendre un hommage aux victimes, mais aussi pour renouveler notre allégeance (sic !) à nos valeurs humaines les plus profondes. […] C’est sur le sol européen que l’Holocauste a été orchestré, et que la haine des Juifs a été nourrie. […] Combattre l’antisémitisme de toutes ses forces est notre devoir commun. Le discours antisémite est un discours de haine et nous le punirons. Nous veillerons à ce que la vie des Juifs européens en Europe reste aussi naturelle et normale que la vie de tout autre Européen, quelle que soit leur origine ou leur croyance ». La directrice générale de l’UNESCO, la communautaire Audrey Azoulay, a, quant à elle, appelé à la vigilance : « Je lance un appel à la vigilance et à l’action, pour lutter contre les causes profondes de la haine et empêcher que de nouvelles atrocités ne soient commises ». Au Parlement européen à Bruxelles, une cérémonie commémorative virtuelle « en mémoire des victimes de l’Holocauste » a été organisée à l’hémicycle en présence des parlementaires. David Sassoli, président du Parlement européen, a invité à la vigilance et à la responsabilité. « Evitez le négationnisme et les pertes de témoignages. Nous devons avoir une conscience pour prévenir et intervenir lorsqu’on sent se diffuser les graines du mal absolu. Il faut lutter pour un monde meilleur, un monde de libertés et de justice, en honorant la mémoire des disparus », a souligné Sassoli.
Comme le note l’excellent rédacteur de Bocage info, « les Européens, de victimes du nazisme, sont maintenant promus complices implicites de l’Holocauste. C’est ainsi que la Commission anti-européenne instrumentalise un Dogme incapacitant pour masquer sa politique génocidaire à l’encontre des peuples européens par une invasion migratoire de masse et les pandémies. » Car il est évident, comme nous l’avons souvent écrit et démontré, que le Dogme holocaustique sert à tuer les défenses immunitaires des Européens et à empêcher toute résistance contre la submersion migratoire du Vieux Continent. A preuve la dissolution réclamée à cor et à cri par la LICRA et autres organisations de ce type de Génération identitaire coupable d’avoir organisé quelques actions coup de poing, essentiellement symboliques et médiatiques, contre l’invasion des migrants. Les pouvoirs publics veulent dissoudre ce mouvement parce qu’il s’oppose à l’immigration de masse. C’est une preuve de plus que les différents gouvernements ne sont là que pour organiser et mener à son terme le Grands Remplacement, et non pour défendre et préserver le peuple français. Quant à la LICRA, elle ne manque pas d’audace : elle exige la dissolution de Génération identitaire qui n’a conduit que des actions pacifiques, ne faisant aucun blessé, même léger, mais elle n’avait rien trouvé à redire au massacre, lui réel, d’une grosse cinquantaine de Palestiniens tués par l’armée israélienne en mai 2018. Ils étaient venus manifester lors du 70e anniversaire de l’entité sioniste pour défendre leur territoire et avaient été tirés comme des lapins parce qu’accusés d’avoir franchi la frontière, pourtant seulement marquée au sol, entre la bande de Gaza et l’Eretz. Est-il possible de faire preuve de davantage de cynisme
Jérôme BOURBON, RIVAROL
Excellent article de Jérôme Bourbon que je tiens pour une invitation à la réflexion. Tous les peuples ont droit à leur Mémoire, mais une Mémoire s’expose et ne s’impose point. Elle doit rester dans des limites de la mesure, au-dela desquelles, elle risque d’ apparaître comme une tentative de monopoliser la Mémoire au détriment des autres Mémoires. Il y a là, un gros problème de mesure et d’égalité humaine à souligner.