Sur une chaîne de (dés)-information en continu, le 28 avril, revenant sur le cas de Jamel Gourchane, l’islamo-terroriste de Rambouillet, Gérald Moussa Darmanin-Ouakid, s’est étonné que celui-ci, arrivé en situation irrégulière en France en 2009 avait enchaîné les contrats de travail, lui permettant de bénéficier « fin 2019 d’une autorisation exceptionnelle de séjour salarié puis, le 28 décembre 2020, d’une carte de séjour valable jusqu’en décembre 2021 » !
Exceptionnelle « chutzpah » de celui qui, en tant que ministre de l’Intérieur, est chargé en France de faire rechercher, constater et déférer devant la justice, les auteurs de contraventions, délits et crimes !
Car, en effet, l’article L. 8251-1 du Code du travail interdit « d’embaucher, conserver à son service ou employer pour quelque durée que ce soit un étranger non muni du titre l’autorisant à exercer une activité salariée en France » ! C’est un délit pour lequel un employeur, personne physique, encourt un emprisonnement de 5 ans et une amende de 15 000 euros. Pour une personne morale (société…) l’amende est multipliée par 5 et des peines complémentaires sont prévues dont une « exclusion des marchés publics pour une durée de cinq ans ». Enfin pour chaque infraction, l’employeur doit aussi s’acquitter en surplus d’une « contribution spéciale » – une sorte d’amende administrative – par travailleur étranger irrégulier, que « l’Office français de l’immigration et de l’intégration est chargé de constater et de liquider ».
Ainsi, dans un exceptionnel exercice d’hypocrisie schizophrénique, Moussa Darmanin s’est interrogé lui-même publiquement :
« Comment on peut accepter que des entreprises donnent des contrats de travail à des personnes en situation irrégulière »,
comme pour détourner l’attention de sa propre responsabilité, et bien sûr celle de tous les gouvernements qui se succèdent au pouvoir depuis des dizaines d’années et qui ont laissé faire ! Non content d’être incompétent comme « 1er flic de France » et pour compléter le tableau, il n’a donc pas hésité à essayer de refiler la patate chaude :
« Il [Jamel Gorchane] a eu de très nombreux contrats de travail, alors qu’il était irrégulier. Et il n’a été régularisé […] que parce qu’il avait un contrat de travail » ; « le monde économique devrait aussi se poser des questions » ; « le capitalisme français a aussi une part de responsabilité dans la gestion de cette immigration incontrôlée ».
Deuxième sensationnelle « chutzpah » de Moussa Darmanin dans une savoureuse tentative de jeter la première pierre au « capitalisme français », aux acteurs économiques et aux employeurs !
Ceux-là, c’est d’ailleurs vrai, sont aussi coupables que la classe politique : c’est bien sur pression des milieux économiques et financiers qu’ont été organisées, depuis les années 1950 – 1960, les importations massives de populations extra-européennes pour venir turbiner dans les usines et les mines à la place du travailleur autochtone – et pour un moindre coût salarial.
Et l’on répondra à ceux qui nous objecteraient qu’il fallait bien combler le manque de main d’œuvre française, qu’on pouvait bien lancer une politique familiale d’expansion démographique, et qu’en tout cas on n’était pas obligé de mettre en œuvre tout un système de trahison du peuple français par des politiques destinés à implanter, pérenniser, enraciner le travailleur étranger en France (regroupement familial du gouvernement Giscard-Chirac-Durafour, aides sociales, régularisations de « sans-papiers », naturalisations…) !
Quant à l’intérêt de l’immigration massive pour peser à la baisse sur les salaires, dans un article bien contorsionniste du 30 avril dernier, Le Figaro, venant au secours de Darmanin, est bien obligé de vendre la mèche et de reconnaître :
« (…) Mais voilà : derrière les textes, une réalité bien particulière, économique, doit aussi être prise en compte sur le terrain. Certains secteurs d’activité ont besoin d’une main-d’œuvre pour des emplois souvent peu qualifiés, faiblement rémunérés et peu attractifs. C’est notamment vrai dans le secteur de la restauration, de la construction, du service à la personne, de la livraison, de la sécurité ou du nettoyage et de l’entretien. Des métiers souvent peu reluisants, qui n’attirent pas suffisamment de candidats réguliers. »
« (…) sans ces personnes, des secteurs seraient obligés de repenser en profondeur leur modèle économique pour attirer des travailleurs réguliers, plus chers. »
Plus clairement : faire venir massivement des immigrés qui accepteront des tâches pour une faible rémunération qui correspond malgré tout, dans leurs pays d’origine sous-développés, au pouvoir d’achat de leur classe moyenne ou aisée ! Le travailleur français a bien été volontairement découragé d’occuper ces « métiers souvent peu reluisants » à cause des trop faibles rémunérations qui ne permettent pas de vivre et faire vivre dignement sa famille…
On nous objectera encore qu’il ne s’agissait pas seulement de garantir les marges bénéficiaires des actionnaires mais que le système a peut-être été aussi imaginé pour conserver sur le territoire national productions et emplois. Certes, mais dans une économie mondialisée ultra-concurentielle et livrée à la course à la productivité, le calcul était mauvais : les entreprises ont fini par tout délocaliser : l’outil de travail et les emplois. Laissant ici les masses de travailleurs immigrés inoccupés pesant sur les comptes sociaux des organisations paritaires et des collectivités ! Double peine pour les Français qui financent le système !
Le Figaro rappelle d’ailleurs ce que nous écrivions lundi dernier (« Jamel Gorchane, terroriste islamiste tunisien, régularisé grâce à la circulaire Valls de 2012 ») :
« (…) une circulaire avait été envoyée aux préfets par le ministre de l’Intérieur de l’époque, Manuel Valls, en novembre 2012. Celle-ci rappelle les « critères d’admission exceptionnelle au séjour », notamment au titre de la vie familiale et du travail, sous certaines conditions bien spécifiques. Il semble que ce soit de cette procédure dont a bénéficié Jamel G., l’auteur de l’attentat de Rambouillet. (…) »
Et de tirer la conclusion :
« l’emploi d’un travailleur étranger sans titre est théoriquement interdit. Mais le travail fait partie des critères permettant d’être régularisé » …
République de malades qui défait d’un côté ce qu’elle a fait de l’autre. Stupéfiante situation qui dure depuis des dizaines d’années et que tous les ministres de l’Intérieur poussent pudiquement et discrètement sous le tapis. C’est l’aveu implicite que le socialisme des uns, le libéralisme des autres, le progressisme de tous, ne sont que l’habillage d’un immigrationnisme et d’un mondialisme en marche vers leur nouveau modèle « d’homo œconomicus », sans nation, sans tradition, sans race et sans âme.
Le tunisien Gorchane avec son passage à l’acte et son islamisme jihâdisé, malgré ses plus de dix années de présence en France, ses emplois divers, les aides sociales et sa régularisation récente représente l’échec de leurs politiques d’accueil et d’inclusivité, de vivre-ensemble et de diversité. C’est le bug dans la matrice mondialiste, le témoignage vivant – enfin mort maintenant – de l’impossibilité finale de leur projet.
L’immigration, une fatalité ? Non ! C’est une Révolution nationale qu’il faut à la France pour balayer les « banksters » et les traîtres et lancer le grand rapatriement !
Avec nous avant qu’il ait coulé beaucoup de trop sang français !
Sur Youtube , il y a une conférence de Jacques Attali qui date de quelques années déjà et qui a pour titre : » POUR un islam d’Europe » . L’immigration est bel et bien un des éléments d’un projet mondial.
Si les immigrés sont moins payés que les Gaulois , pourquoi ne manifestent -ils pas , eux qui savent incendier des quartiers entiers de notre pays ? C’est sans doute parce que ces emplois sont mal payés que beaucoup d’Européens préfèrent être sdf . Donc en tant que vigiles, fonctionnaires à la Poste , , à la sécu ou aux allocations ,les Momo sont moins bien rémunérés que les Thierry ? les boulangers Magrébins ne trouvent pas de clients et sont forcés de fermer .Quelle pays affreux cette France ! Il est certain que Michel Platini gagnait beaucoup plus que Zidane et que Patrick Dewere gagnait des fortunes comparativement à Jamel Deux- Bouses , ce smicard du cinéma… Quand à ces clodos du rap , ils sont exploités comme des esclaves … HONTE à la France ! Le pays n’est même pas capable d’ offrir à ces pauvres martyrs des manoirs et des châteaux pour s’abriter des intempéries… Ils voudraient bien retourner au pays de leurs parents mais les Français les retiennent secrètement …