ILS N’ONT DÉCIDÉMENT aucune limite ! Alors qu’il a imposé le vote définitif de la monstrueuse loi bioéthique par le Parlement qui légalise l’extension de la procréation médicalement assistée aux lesbiennes, ouvre la voie à la reconnaissance de la gestation pour autrui, entérine les recherches sur les cellules souches embryonnaires, autorise la création de chimères animal-homme et autres folies transhumanistes du même tonneau — on parle de plus en plus désormais d’utérus artificiels, ce qui permettra, nous dit-on, à des femmes de poursuivre leur carrière professionnelle sans les désagréments physiques de la grossesse (mais les féministes avorteuses pourront-t-elles continuer à dire « mon corps m’appartient » si le fœtus n’est plus le fruit de leurs entrailles ?) —, Macron s’est rendu à Lourdes le 16 juillet, jour de Notre-Dame du Mont Carmel et de la dernière des dix-huit apparitions de la Sainte Vierge à Bernadette en 1858. Aucun de ses prédécesseurs sous la Ve République ne s’était rendu dans la cité mariale, au nom sans doute de la sacro-sainte laïcité de la République et de son athéisme pratique. Macron, lui, a eu le front de s’y rendre comme s’il souhaitait défier le Créateur après le vote de législations profondément contre-nature et immorales et la Mère de Dieu, Reine de la pureté, alors que le chef de l’Etat est à la tête d’un Etat pédérastique, LGBTiste, transexualiste. Le porte-parole du gouvernement, le juvénile Gabriel Attal, qui est pacsé avec un eurodéputé de la Macronie, Stéphane Séjourné, qui dénonce et menace les anti-vaccins qu’il qualifie de « frange capricieuse et défaitiste », a ainsi fait savoir dès 2019 son désir d’enfant, via une « GPA éthique » (sic !) Voilà ce que sont et ce que font les tristes sires qui nous gouvernent, ou plutôt nous oppriment !
Car, il ne faut pas s’illusionner, la répression va être féroce contre les récalcitrants à la vaccination (dans les faits) obligatoire, à l’adoption du pass sanitaire. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard, si contrairement aux soignants, aux pompiers, aux gérants d’établissement, aux personnels et aux clients de restaurants, de cafés, aux usagers de trains, de cars et d’avions, la police et la gendarmerie ne sont pas tenues de se faire piquer. C’est que la Macronie compte faire, dans les semaines et mois qui viennent, un usage intensif des forces de l’ordre pour punir, châtier, faire plier toutes les personnes réticentes à prendre, tels des cobayes, leur double dose de produits sur lesquels on n’a quasiment aucun recul mais qui ont déjà causé (selon EudraVigilance) plus de 15 000 morts sur l’ensemble des pays de l’Union européenne, sans compter toutes les personnes qui doivent être hospitalisées pour de graves problèmes cardiaques, une embolie pulmonaire, une thrombose ou une paralysie des membres quelques jours ou quelques heures après avoir reçu la piqûre prétendument salvatrice et protectrice !
Les soignants que l’on nous demandait l’année dernière d’applaudir de manière mécanique tous les soirs à 20 heures pendant plusieurs minutes (BFM avait mis un large bandeau sur l’écran :« On applaudit », comme l’exige un maître d’école, un gendarme ou un tyran !) sont désormais sommés de se faire vacciner d’ici le 15 septembre. Sinon ils encourent le licenciement. Ils ne seront plus payés et ne pourront plus travailler. C’est ainsi que le gouvernement les remercie de tous les efforts consentis depuis près de dix-huit mois pour accueillir et soigner des malades, de tout le temps passé, de tous les efforts fournis pour un salaire de misère ! Quelle ingratitude ! Quel cynisme ! D’autant que le personnel soignant est particulièrement bien placé pour constater les effets souvent négatifs, voire toxiques, des vaccins administrés. Ils voient les personnes qui tournent de l’œil, s’évanouissent, sont transportées sur des brancards, ont de violentes palpitations, etc. Certes ce n’est pas le cas, tant s’en faut, de toutes les personnes vaccinées mais se faire injecter ces produits, c’est jouer à la roulette russe. Et cela ne dépend pas nécessairement de l’âge de la personne vaccinée. Il est des jeunes, nous en avons des témoignages précis, qui sont malades comme un chien après avoir reçu leurs doses.
C’EST LE RÈGNE de la schlague. Les gérants de restaurants, de cafés, de parcs d’attraction, de cinéma, de théâtre ou autres qui ne contrôleront pas dûment les pass sanitaires des clients encourent la fermeture administrative de leur établissement, un an de prison ferme et 45 000 euros d’amende. Le montant de la peine encourue ne vous rappelle-t-il rien ? Mais si, bien sûr, c’est exactement la même peine qui est encourue pour le délit de contestation publique de crimes contre l’humanité et pour le délit d’homophobie. Ce n’est pas un hasard car cela participe de la même entreprise totalitaire, de la même volonté d’asservissement des âmes, d’un semblable viol des consciences, de la destruction des intelligences, de strict contrôle des populations, de strict enrégimentement de tout un peuple castré, mis en servitude, placé en détention idéologique, politique et sanitaire permanente sans même hélas que bien souvent il ne s’en rende compte. Or il n’est rien de pis que la servitude volontaire, que l’esclavage qu’on ignore, dont on n’a pas conscience. Car comment alors briser ses chaînes ? En imposant le pass sanitaire à tous les employés, clients et gérants du secteur tertiaire, ce qui conduira mécaniquement à une perte de clientèle, après avoir déjà imposé une fermeture totale pendant de très longs mois (près d’un an au total !) de ces établissements, le gouvernement entend détruire le monde indépendant et entrepreneurial en le transformant en serfs modernes, en lui administrant une maigre pitance s’il est bien sage et bien obéissant. On procède avec lui comme on l’a fait naguère avec le monde paysan. Autrefois les agriculteurs pouvaient vivre du fruit de leur travail, ce qui est l’une des principales caractéristiques de la dignité de l’homme ici-bas, aujourd’hui, sauf exceptions, ce n’est plus le cas. Les paysans résiduels dépendent des aides de l’Etat, de l’Union européenne, des collectivités locales qui leur imposent en contrepartie des mesures aberrantes et liberticides, les privant de toute initiative, de toute marge de manœuvre. C’est pourquoi il est tant de paysans qui se suicident. Ce qui fait rire le sieur Julien Odoul, porte-parole de Marine Le Pen et ancien mannequin dénudé de la revue homosexuelle et pornographique Têtu ! Qu’on ne compte pas sur les radios et les télévisions, ni sur la grande presse, pour s’apitoyer sur le sort de ces malheureux qui mettent fin à leur jour dans le désespoir et la plus grande discrétion. Ils n’ont pas droit comme les sans-papiers, comme la famille Traoré, à des reportages complaisants. Contrairement aux immigrés délinquants, aucune manifestation n’est organisée en faveur du monde paysan. Ce ne sont que des Blancs, bref des ploucs dont le sort n’intéresse ni José Bové, ni Noël Mamère, ni Europe Ecologie les Verts. Ces messieurs ne s’intéressent aux paysans que quand ils sont d’Amazonie ou de quelque terre tropicale lointaine !
Eh bien, manifestement, les pouvoirs publics ont décidé de traiter le secteur tertiaire (les commerçants) comme le monde agricole. Avec la même brutalité administrative. La même absence de densité humaine. Car ce qui est frappant dans toutes ces mesures tyranniques, c’est leur dureté, leur inhumanité. On n’a jamais autant parlé de dialogue, d’ouverture, de pluralisme, de tolérance, de liberté (ce concept n’est-il pas sur le fronton des principaux monuments de la République et n’est-il pas un des trois éléments de la devise de la Gueuse ?) et jamais pourtant le monde moderne ne s’est autant caractérisé par son absence d’empathie, de charité et de cœur. Bruno Gollnisch, qui est un bon connaisseur de l’Asie, expliquait dans ses conférences que ce qui distingue principalement l’Orient de l’Occident, et singulièrement l’Europe du Proche-Orient, et bien plus encore de l’Extrême-Orient, c’est l’absence de charité et de pardon. Ce n’est pas un hasard si le modèle actuel des démocraties occidentales n’est autre que la Chine et l’entité sioniste qui sont des Etats policiers, très militarisés, dont la population est étroitement contrôlée, notamment par des technologies invasives et de plus en plus performantes et liberticides. L’homme devient un appendice de la technique, un matériel humain, dont toutes les données personnelles sont stockées sur un ordinateur, une puce, une application de portable, dont les faits et gestes sont connus des dirigeants. Et ce modèle repose massivement sur la délation citoyenne et participative.
Le gouvernement n’a rien oublié. Ceux qui auraient l’audace de fabriquer et de donner de faux pass sanitaires et ceux qui s’en serviraient dans la vie quotidienne pour faire leurs courses, prendre le train, aller au café ou à un concert encourent trois ans de prison et 45 000 euros d’amende. Pas moins ! Ce mécanisme totalitaire est tout à fait dans la continuité des mesures persécutant l’automobiliste, traité comme un criminel en puissance, vache-à-lait et souffre-douleur permanents de l’Etat. D’où la création du permis à points en 1992, d’où l’adoption d’un délit de grande vitesse, d’où la multiplication des radars fixes et mobiles, d’où la suppression arbitraire de voies de circulation et de la possibilité de circuler et de stationner dans les villes, et singulièrement dans le Paris de la Khmer rose-rouge-verte Hidalgo.
MAIS FACE à ce monde de plus en plus liberticide qui nous étouffe et nous oppresse, au moral comme au physique — l’air manque à nos poumons ! —, peut-on au moins s’appuyer sur celui qui prétend être le Vicaire du Christ ? C’est en réalité tout le contraire qui se produit puisque Bergoglio, depuis qu’il s’est emparé illégitimement du poste de commandement, n’a de cesse de multiplier les actes et discours contraires à l’enseignement constant du magistère en matière de foi et de mœurs. On l’a vu vénérer la pseudo-déesse, la Pachamama, dans les jardins du Vatican, on l’a vu recevoir et se faire complaisamment photographier avec des militants ouvertement sodomites ou transgenre, visiter ou accueillir, tant dans ses voyages qu’au Vatican, des associations LGBTistes militant pour l’ordination de clercs homosexuels, donner ostensiblement la main à un prêtre homosexualiste militant pour les droits LGBT et le plus large accueil des invertis dans les “paroisses” conciliaires. Dans sa pseudo-« exhortation apostolique post-synodale », on l’a vu démanteler le principe d’indissolubilité du mariage et de fidélité conjugale en décidant de donner la communion à ceux que le catéchisme traditionnel appelle des « pécheurs publics », sans qu’ils ne se soient confessés au préalable ni qu’ils aient remis de l’ordre dans leur vie.
Alors que la plupart des pays occidentaux, et singulièrement la France, adoptent des mesures d’une exceptionnelle gravité détruisant la famille, la civilisation, la tradition, s’en prenant aux normes humaines, à la biologie, à la nature, au Créateur, à la vérité et au simple bon sens, Bergoglio n’y trouve rien à redire. De même que le “recteur” de la basilique de Lourdes s’est réjoui de la visite de Macron et l’a chaleureusement accueilli pendant toute sa visite, Bergoglio a tacitement approuvé l’attitude de dizaines de “prêtres”, souvent soutenus par leurs “évêques”, qui ont “béni” des “couples” homosexuels, sans aucune réaction “romaine”, si ce n’est une approbation voilée de François à travers son message au “Père” Martin. Et en plein été (les mesures les plus scélérates se prennent souvent à cette époque : la loi Pleven date du 1er juillet 1972, la loi Gayssot du 13 juillet 1990, la loi bioéthique du 29 juin 2021), le jour de Notre-Dame du Mont-Carmel, le 16 juillet, François “promulgue” un “motu proprio” intitulé par antiphrase Traditionis Custodes (Gardiens de la Tradition, les modernistes osent tout, décidément !) abrogeant le “motu proprio” Summorum Pontificum publié par Benoît XVI en 2007. Désormais, l’« évêque diocésain » aura la « compétence exclusive » d’autoriser ou non la célébration de la messe selon le rite tridentin, qui est en réalité et plus exactement le rite “promulgué” par Jean XXIII en 1962. “Promulgué” en 2007 par Benoît XVI, le “motu proprio” Summorum Pontificum a donné un statut particulier à la messe en latin en distinguant le rite romain en deux formes liturgiques :ordinaire selon le missel de Paul VI, extraordinaire selon l’édition de 1962 du missel tridentin. À la demande spontanée des fidèles, chaque prêtre catholique pouvait célébrer la forme extraordinaire, sans qu’aucune autorisation du Vatican soit nécessaire. Ce « Motu Proprio » de Ratzinger était un piège car il mettait quasiment sur le même plan la messe tridentine et « la messe de Luther », ce qui était doctrinalement inacceptable.
Mais la finalité est toujours la même :il s’agit de ramener les ouailles à Vatican II. Benoît XVI, c’est le policier gentil qui cherche à amadouer les tradis. François, c’est le policier méchant qui leur tape dessus. Mais l’objectif reste inchangé. François sait d’ailleurs lui-même être gentil :pendant qu’il réduisait de plus en plus drastiquement les libertés de la mouvance ecclésiadéiste, il se montrait apparemment généreux avec la Fraternité Saint-Pie X en reconnaissant la validité et la licéité de la plupart de ses sacrements, et tout particulièrement des confessions. Il a même autorisé l’ex-“évêque” de Coire, “Mgr” Vitus Huonder, à rejoindre une maison de la Fraternité pour sa retraite. La manœuvre semble avoir été couronnée de succès puisque “Mgr” Huonder, qui fut en pointe dans le dialogue avec les organisations juives, c’est-à-dire dans la soumission à leur chantage, lorsqu’il était à Coire et qui est tout à fait conciliaire et moderniste dans sa doctrine, a célébré, le dimanche 23 mai 2021, à la demande des supérieurs de la FSSPX, la Grand-Messe pontificale de la Pentecôte au faldistoire dans le séminaire allemand de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X à Zaitzkofen en Bavière. Or, même s’il dit maintenant la messe selon le rite de Jean XXIII, Huonder est non seulement conciliaire, mais il a été « ordonné prêtre » et « sacré évêque » dans les nouveaux rites d’ordination et de sacre du 18 juin 1968. Ce qui signifie, si les choses ont un sens, que la direction de la FSSPX reconnaît aujourd’hui la pleine validité des nouveaux rites sacramentels et ne procède pas à des ordinations sub conditione. Il est certainement utile de le savoir. L’information n’est pas anodine ni sans conséquence pour la suite lorsqu’il s’agira d’accueillir des clercs ecclésiadéistes refusant le nouveau Motu Proprio de François et ordonnés, soit dans le nouveau rite (pour les « prêtres diocésains »), soit dans l’ancien rite par des “évêques” ordonnés ou/et sacrés dans le nouveau rite ? Les conséquences pourraient être redoutables quant à la validité des sacrements et au mélange au sein d’une même paroisse ou d’une même communauté de prêtres valides, et d’autres à la validité au moins douteuse. C’est d’ailleurs peut-être bien ce qui est voulu par Bergoglio !
LE NOUVEAU “motu proprio” de François est particulièrement brutal et radical. Il détruit d’un revers de la main un texte vieux de 14 ans, alors que son prédécesseur est encore en vie (il a 94 ans, on appréciera l’élégance du procédé, mais les loups ravisseurs ne se font pas de cadeaux entre eux !), et réduit même fortement la portée des précédents “Motu Proprio” de Jean-Paul II de 1984 et de 1988 qui avaient déjà pour but de conduire les fidèles traditionalistes à l’acceptation de Vatican II, à la reconnaissance de la validité et de la licéité de la réforme liturgique, du novus ordo et de la légitimité des “pontifes” conciliaires, qui sont en réalité des intrus et des bandits, des assassins de la foi et de la morale, les pires qu’ils soient car ils portent la soutane, la crosse, la mitre et se font passer pour ce qu’ils ne sont pas. Ce document modifie radicalement ce procédé. Sur le plan doctrinal, il n’est plus question désormais de deux formes d’une même rite romain (ce qui était déjà un sophisme et un affreux mensonge, on l’a dit) mais d’une « unique expression de la lex orandi », à savoir le missel “promulgué” par Paul VI et Jean Paul II. On notera que dans la « lettre aux évêques » accompagnant le document, Bergoglio s’amuse à parler à plusieurs reprises de « saint Jean XXIII », de « saint Paul VI » et de « saint Jean-Paul II ». Ils se canonisent les uns les autres à une vitesse accélérée et avec la plus totale indécence. Santo subito !
IL revient désormais à l’« évêque diocésain » et à lui seul, en consultation avec le Vatican, d’autoriser ou non l’usage du Missel romain de 1962 dans son diocèse. Contrairement aux dispositions prises par Benoît XVI, les prêtres devront demander une autorisation à leur “évêque” pour continuer de célébrer la messe en latin et l’“évêque” devra en référer au Vatican avant de donner sa réponse (ce qui complexifie encore le processus) et ceux qui seront ordonnés après la publication de Traditionis Custodes devront faire une « requête formelle » particulière. Dans les diocèses où un groupe de fidèles demeure attaché à la messe en latin, l’“évêque” aura dorénavant pour tâche de s’assurer que ces fidèles « n’excluent pas la validité et la légitimé de la réforme liturgique […] du Concile Vatican II ». Il devra mettre à leur disposition un lieu pour la célébration de la messe, autre que « les églises paroissiales » et sans que de « nouvelles paroisses personnelles » (où seule la messe tridentine est célébrée) soient érigées. Aucune précision sur les lieux que ces fidèles pourront investir n’est donnée. La messe sera-t-elle dite dans un oratoire, dans une cave ou un grenier ? Un prêtre, délégué par l’“évêque” et choisi pour ses compétences en latin, en liturgie et son sens de la « communion ecclésiale » (interdit de rire !), sera chargé des activités pastorales et liturgiques du groupe de fidèles. Il veillera à ce que les célébrations selon le missel de 1962 comportent des lectures en langue vernaculaire autorisées par les « conférences épiscopales » (donc les lectionnaires anciens et le Dom Gaspar Lefebvre, c’est fini !) et « aura soin de ne pas autoriser la constitution de nouveaux groupes ». François s’oriente donc vers l’euthanasie des traditionalistes «ralliés”. Et pour que les choses soient bien claires, il supprime purement et simplement la Commission Ecclesia Dei mise en place en juillet 1988 par Jean-Paul II. À noter que cette réforme entre en vigueur immédiatement.
Bergoglio ose dire qu’il prend cette mesure brutale pour « rétablir l’unité d’un corps ecclésial aux sensibilités liturgiques diverses » car « les résultats de l’enquête » qu’il a fait mener par ses services ont révélé « une situation qui me préoccupe, m’attriste et me persuade de la nécessité d’intervenir ». Dénonçant « une instrumentalisation » du missel de 1962, François s’attriste du rejet de Vatican II par certains traditionalistes. Et de constater : « il est de plus en plus évident […] qu’il existe un lien étroit entre le choix des célébrations selon les livres liturgiques antérieurs au Concile Vatican II et le rejet de l’Église ». Mais la secte conciliaire est-elle l’Eglise de Jésus-Christ et Bergoglio est-il « le doux Christ sur la terre » comme le disait sainte Catherine de Sienne du Souverain Pontife ? Evidemment non ! C’est la foi qui nous le dit, qui nous oblige à poser cette conclusion théologique, certes douloureuse, mais certaine pour qui veut voir. « Pour défendre l’unité du Corps du Christ, je suis contraint de révoquer la faculté accordée par mes Prédécesseurs », explique Bergoglio qui n’y va pas par quatre chemins.
AU MOINS désormais les choses sont claires. Bergoglio se définit ouvertement comme un ennemi de la Foi, de la Tradition, de l’être historique de l’Eglise. Cette mise au tombeau de l’Eglise militante est la réalité de nos temps apocalyptiques, covidesques et antéchristiques. Face à cette réalité tragique, il nous faut garder la foi, l’espérance et la charité, car cette période dramatique n’aura qu’un temps. La Seconde Epître aux Thessaloniciens (II, 8) n’enseigne-t-elle pas que « que le Seigneur Jésus détruira l’Antéchrist par le souffle de sa bouche, et qu’il l’anéantira par l’éclat de Son Avènement » ? […]
Jérôme BOURBON, RIVAROL
Si, on la supporte, puisqu’il ne se passe rigoureusement rien:
insupportable, c’est quand on ne supporte pas.
Cela fait d’ailleurs 50 ans que nous supportons la tyrannie migratoire et du métissage.
La démocratie est une illusion, çà n’existe pas réellement, c’est du vent !