L’édition 2023 du Petit Robert fait sa rentrée et Le Monde rapporte les nouveautés du dictionnaire : « Brouteur », « go », « babtou », « babtou fragile » font partie des mots ou notions de sa nouvelle mouture.
Selon la directrice éditoriale du Petit Robert, la nouvelle version comptera 150 à 200 nouveaux mots. Elle explique que « tous les ans, on repère et étudie de nombreux néologismes, mais on n’en entre qu’une toute petite partie ».
Le Monde rappelle les origines des mots, dont «go», qui viendrait de l’argot ivoirien et a été popularisé par le groupe Magic System dans son tube Premier gaou du début des années 2000. «Go» signifierait jeune fille ou petite amie.
Pour ce qui est de « brouteur », il a également plusieurs définitions : un imposteur africain qui escroque sur Internet et une personne qui «se nourrit sans effort».
Le Monde remarque que «Babtou et « babtou fragile » sont les variations du mot « toubab », qui est entré dans Le Petit Robert en 2014 et désigne un Européen, [un Français] ou un Blanc en général. «Babtou fragile» signifierait donc par exemple un Blanc «faible […] qui se pose en victime».
En novembre 2021, Le Petit Robert avait déjà pris une décision controversée en intégrant dans son dictionnaire des pronoms personnels de la langue inclusive comme «iel», «iells», «iels» ou «ielles». Ces pronoms selon le dictionnaire, pour «évoque une personne quel que soit son genre».
Rien d’étonnant dans le fait de l’intégration de ces termes dans les dictionnaires. Seuls les naïfs seront choqués de cette mise à jour. Le vocabulaire intégré dans les dictionnaires n’est que le reflet de la langue telle qu’elle est de plus en plus parlée dans la population sur le territoire.
«On attend au moins quelques années pour être sûr que les mots ont bien intégré la langue», souligne la directrice éditoriale du Petit Robert. C’est là, en revanche, la conséquence du véritable scandale de cette pente dangereuse que suit notre pays depuis des dizaines d’années : celle de l’importation sur notre sol – sans limite ni contrôle – de population étrangères qui imposent, même par leur simple présence, leurs langues, leurs cultures, leurs spiritualités…
L’évolution des dictionnaires témoigne évidemment de cette ghettoïsation intérieure ou colonisation à rebours, linguistique et culturelle en l’occurrence, que subit le peuple français en France. Mais cette ghettoïsation culturelle n’est bien sûr qu’une facette du génocide français en cours par l’action conjuguée de l’immigration-invasion et de l’avortement, sous les auspices de cette idéologie antiraciste qui paralyse les défenses immunitaires intellectuelles et morales de notre peuple.
Il est assez amusant de voir les copains à l’academie Française de Charles Maurras expurger langue Française de mots seculaires provenant de nos terroirs et de nos corps de métiers pour aujourd’hui nous la faire à l’envers avec de l’Argot extra-européen.
L’academie Française était elle dès les origines une fosse à merde pleine de vieux?
La marteline et le trogne ancestral furent banni à l’école des rédactions pour nous coller maintenant des mots de blédards crasseux en 2022…
C’est la décadence la plus complète, pauvre France!!