La façon dont l’attaque de Crépol est traitée par le Système, ses politiciens, ses procureurs et ses médiats, illustre une fois de plus cette réalité tragique : les premiers ennemis des Français de souche sont pour la plupart aussi des Français de souche. Nos premiers ennemis sont nos dirigeants et tous ceux qui les approuvent, les élisent et exécutent leurs ordres. Nos premiers ennemis sont certains « Blancs ».
C’est ainsi que, comme à l’habitude, loin de prendre le parti des Français de souche et des règles de vie en vigueur dans une France française, le Système a pour seul souci d’empêcher que l’attaque de Crépol n’aboutisse à la mise en cause de sa politique d’immigration massive.
Dénoncer l’extrême droite
Comme d’habitude, au lieu de dénoncer les coupables et leurs crimes et de s’interroger sur les conséquences qu’il conviendrait de tirer de ces événements tragiques, le Système choisit de mettre en cause l’extrême droite, accusée de « récupérer » les tragédies pour « servir ses intérêts électoraux », « nourrir ses obsessions malsaines », « propager la haine » et « diviser la société française ». Comme d’habitude, autrement dit, ce ne sont pas les incendiaires que le Système accuse mais ceux qui sonnent le tocsin.
Mme Borne vient ainsi de déclarer « qu’utiliser ce drame pour jouer sur les peurs, c’est manquer de dignité et de respect pour les familles« . De son côté M. Véran a dénoncé « la polémique politicienne » et la volonté « d’exploiter » les événements. Espérons que les Français moyens ne se laisseront pas abuser par les sophismes brandis par le gouvernement. Au nom de quel principe en effet, l’extrême-droite, qui depuis cinquante ans dénonce les méfaits et les dangers de l’immigration, devrait-elle s’abstenir de mettre en exergue les faits qui jour après jour lui donne raison ?
Nier le lien entre la délinquance et l’immigration
Comme d’habitude le Système va s’efforcer de taire le plus longtemps possible l’identité des coupables et le fait que les auteurs des coups de couteaux sont très probablement issus de l’immigration. C’est ainsi que, pendant les jours qui ont suivi le crime, les grandes chaînes télé n’ont pas informé leurs auditeurs de ce que les témoins de l’attaque avaient immédiatement mis en cause les « jeunes » d’un quartier de Romans.
Le moment venu l’identité des coupables sera certes communiquée mais l’information interviendra discrètement plusieurs semaines après les faits, lorsque l’émotion sera retombée et que l’opinion sera passée à autre chose.
Dans son entreprise habituelle de déni, le Système cherchera également à montrer que la responsabilité du drame incombe à la société française dans son ensemble. On parlera de l’influence néfaste des jeux-vidéos et des drogues, on évoquera la démission des familles et le défaut d’éducation, on mettra en cause le désœuvrement, le chômage, la ghettoïsation…
On notera la maestria avec laquelle les médias parviennent à relativiser la portée raciale de l’attaque de Crépol : c’est ainsi que TF1 a consacré une partie de son JT du 21 novembre au soir à l’affaire Jubillar (crime de Blanc certes, mais crime entre Blancs et datant de trois ans) et aux insultes racistes d’un septuagénaire qui a porté un coup de cutter à un jardinier arabe (alors que les insultes racistes et les agressions dont sont victimes des Blancs se comptent par centaines chaque jour).
Toujours en pointe dans les opérations de manipulation et d’enfumage conduites par le Système, Le Monde, l’organe immigrationniste de référence, a mis cinq jours avant de faire paraître un premier article consacré à Crépol. Le journal a aujourd’hui enfin trouvé son angle d’attaque : dénoncer l’instrumentalisation des « faits-divers » comme celui de Crépol ; tenter de limiter l’impact du crime de Crépol en mettant en exergue l’agression du jardinier arabe de Villecresnes (voir ici).
On peut prédire d’ores et déjà ce que sera la prochaine étape de l’entreprise d’intoxication en cours. Il apparaîtra probablement le moment venu que les coupables sont déjà bien « connus de la police ou de la justice » pour des faits plus ou moins graves : ce sera le moment pour le Système et ses médias d’insister sur le fait que les agresseurs sont avant tout des délinquants, qu’il convient de ne pas amalgamer à la grande majorité des personnes issues de l’immigration, qui elles sont paisibles et vivent normalement. Tout sera fait, là encore, pour cacher l’essentiel : les attaquants de Crépol sont certes des délinquants, mais ils sont avant tout les soldats de la guerre de conquête en cours en France et en Europe.
Travestir les faits pour minimiser la responsabilité des coupables
Comme d’habitude lorsque les coupables sont issus de l’immigration, le Système travestit les faits pour s’efforcer de les relativiser, de les banaliser ou de minimiser la responsabilité des auteurs.
Dans le crime de Crépol, tous les médias, des JT aux journaux régionaux, ont systématiquement employé le terme de « rixe », évidemment inapproprié et malhonnête puisqu’il suggère un affrontement entre des groupes. La réalité est toute autre puisque les jeunes du village ont manifestement été victimes d’une attaque, de la part d’agresseurs armés de couteaux.
Dans le même esprit, certains médias du Système évoquent « l’hypothèse d’un règlement de comptes », ce qui permet de laisser entendre que les victimes ne sont peut-être pas totalement innocentes. Les mêmes médias indiquent que les auteurs des coups de couteaux se seraient vu refuser l’entrée de la salle des fêtes par les vigiles : ils suggèrent ainsi entre les lignes que les coupables pourraient avoir été eux-mêmes victimes au préalable d’un délit de faciès et de racisme.
Dans les affaires impliquant des non-Blancs, on sait que le Système dispose de nombreuses autres ressources pour s’efforcer de minimiser la responsabilité des coupables : il a ainsi coutume d’expliquer que les coupables en question avaient « consommé de l’alcool » ou qu’ils sont atteints de « déséquilibre » et de problèmes mentaux. Compte tenu des informations qui ont été communiquées jusqu’à présent, il semble que, dans le cas de Crépol, le Système et ses médias devront, pour noyer le poisson, imaginer d’autres types d’explications.
Se refuser à punir les coupables
Par parti pris idéologique, à moins qu’il ne s’agisse d’un calcul diabolique, le Système, ses législateurs et ses juges, se refusent le plus souvent à punir sévèrement les coupables lorsque ceux-ci sont issus de l’immigration. Il en sera de même probablement pour l’attaque de Crépol.
C’est ainsi que le procès des coupables n’interviendra que dans plusieurs années, lorsque l’opinion aura à peu près oublié l’événement. Entretemps, les coupables auront pour la plupart été laissés en liberté. Les peines prononcées seront comme d’habitude probablement dérisoires. La préméditation ne sera sans doute pas retenue. On parlera non pas de meurtre mais de « violence pouvant entraîner la mort sans intention de la donner ». L’attaque ayant été collective, les responsabilités précises de chacun seront difficiles à établir, ce qui diminuera la sévérité des peines. Les mécanismes habituels du laxisme judiciaire (possibilités multiples offertes aux avocats pour identifier des défauts de procédure, définition restrictive de la récidive, principe du doute profitant à l’accusé, principe des circonstances atténuantes, existence de peines alternatives, du sursis, des remises de peines…) joueront à plein, dans cette affaire comme dans toutes les autres (voir cette chronique). En un mot les punitions infligées le moment venu aux coupables n’auront évidemment aucun effet dissuasif.
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Une fois encore, comme pendant les émeutes récentes, comme lors de l’assassinat de l’enseignant Dominique Bernard, comme lors de chaque attaque terroriste ou de chaque meurtre de Blanc, on doit en venir à cette conclusion atterrante : les premiers coupables ne sont pas les porteurs de couteaux mais ceux qui les ont laissés entrer en France. Ceux qui ont fait venir les immigrés dans les usines, afin d’exercer une pression à la baisse sur les salaires. Ceux qui ont organisé le regroupement familial, permettant aux immigrés de première génération d’enclencher un remarquable dynamisme démographique. Ceux qui ont régularisé les clandestins. Ceux qui ont délivré largement la nationalité française. Ceux qui ont distribué à tous les nouveaux venus allocations, prestations et logements gratuits. Ceux qui ont donné à tous ces gens le droit de s’implanter dans un pays qui n’est pas le leur.
Une fois encore il faut mettre en évidence ce constat terrible : si nous sommes envahis, si nous sommes agressés, si nous sommes tués, c’est que nous sommes trahis. Agressés parce qu’envahis. Envahis parce que trahis.
Nos premiers ennemis sont certains « Blancs »…
Source : Paysan savoyard
Exactement le genre d’article que l’on souhaiterait voir se répandre dans les médias pour le plus grand bénéfice de notre cause !
Article allant à l’essentiel car donnant toute leur importance aux CAUSES, plutôt que s’attarder sur les effets !
Oui ! Il faut le clamer et le répéter :
Il n’y a pas VRAIMENT de problème musulman ou autre problème d’immigration dont les immigrants seraient la source.
Contrairement aux Anglais au moyen-âge puis aux Allemands par la suite, ILS NE NOUS ONT PAS VAINCUS POUR PASSER NOS FRONTIERES.
Seuls ceux qui nous trahissent depuis 3/4 de siècle à la tête de l’Etat sont responsables de les avoir volontairement introduits chez nous. Ce sont ces traitres formés et stipendiés par l’étranger pour détruire nos nations Européennes qui sont L’ENNEMI A ABATTRE.
Ceux du gouvernement, mais aussi ceux qui mentent au peuple pour le porter à élire ces crapules corrompues. Pseudos-intellectuels… Pseudos-journalistes… Mais vrais manipulateurs d’opinion par le trucage permanent et le mensonge.
A 83 ans, je me fous bien de terminer mes jours en taule ! J’ai déjà donné. Et mon cher pays vaut bien cet ultime sacrifice. De sorte que, quitte à être inculpé, je tiens à rappeler ici que, parmi les plus de 2000 exécutions par l’OAS en moins d’ 1 an 1/2, il y eut d’abord des Préfets, des Généraux félons, des Maires de grandes villes… Et que nous avons attenté par trois fois à la vie du Chef félon d’un Etat criminel.
Nous n’avons perdu ce combat désespéré que parce que le peuple de France n’avait pas compris le sens de notre lutte et qu’on de gagne pas sans un minimum de consensus populaire.
Mais il se trouve qu’aujourd’hui, malgré les mensonge dont on les abreuve, près de trois Français (de souche !) sur quatre commencent à comprendre la nécessité de mettre fin à l’enfer résultant du déferlement migratoire.
L’Histoire ne représente pas deux fois les plats ! Le moment est venu d’agir contre les responsables !
Mais comme mes camarades, dont 135 sont morts au combat, il faut être prêts à tous les sacrifices.
La prison n’est rien… La mort est peu de chose… Lorsqu’il s’agit de sauver son peuple et son pays.
« Français de souche » , je veux bien croire que cela existe, mais que l’on me montre d’abord leurs tests ADN et leur arbre généalogique. » Français de papier », et les « français de ce que vous voulez », de toute façon , la nationalité française est un concept administratif, nos patries charnelles, si l’on peut dire, se situent dans des provinces conquises, achetées ou échangées, ce sont la Corse, le Pays basque, le Pays Catalan, le comté de Nice, la Bretagne, l’Alsace, la Vendée, la Picardie, les Flandres, la Normandie, la Savoie, l’Occitanie, que nous soyons des immigrés de l’intérieur ou de l’extérieur, musulmans, chrétiens ou athées, nous sommes tous des êtres humains, considérés comme des » riens » par les castes supremacistes qui nous dirigent, sans que nous leur ayons demandé quoi que ce soit, des « riens » tout juste bon à élire leurs représentants et à les enrichir par les produits de notre travail ( à la limite de l’esclavage pour certains) et de nos consommations.
Combien de temps persisterez-vous à souiller ce site avec votre délire égalitaire ?
Lequel ne repose sur rien de scientifique.
« Tous des êtres humains » ? Formule creuse… Tarte à la crème de la propagande la plus simpliste…
Qui ignore la répartition des quotients intellectuels ?
– 105 pour les asiatiques…
– 100 pour les Européens…
– 85 pour les Arabo-Musulmans…
– 60 pour les subsahariens…
Comment expliquer autrement, par exemple, la différence entre le Congo et le Japon ?
Le Congo, dont les sous-sols sont les plus riches du monde, au point que l’on parle carrément d’un « scandale géologique », avec une cinquantaine de minerais, dont notamment du CUIVRE, du COBALT, du COLTRAN, mais aussi de l’OR et des DIAMANTS, mais qui vit pourtant dans la misère, avec un revenu mensuel par habitant inférieur à 50 Euros.
Alors que le Japon constitue un autre scandale, mais d’ordre sismique, car à proximité de failles tectoniques majeures, il est régulièrement l’objet de redoutables séismes et de tsunamis.
Pourtant, le Japon, dépourvu de ressources naturelles et dont seulement 17% des terres sont cultivables, envahit le monde par son industrie de pointe, que ce soit en électronique ou en automobile, au point que le revenu mensuel moyen y est supérieur à 2 500 Euros.
La pauvreté du Congo ? Sa misère ? C’est évidemment le Congolais…
Alors que la richesse du Japon… La seule… c’est évidemment le Japonais, son intelligence et sa puissance de travail.
Je conclurai une fois de plus par cette citation d’un des hommes les plus puissants de la planète, puisqu’il dirigeait l’ Angleterre au temps de la Reine Victoria : le juif converti Benjamin Disraéli.
« La race est tout. Il n’y a pas d’autre vérité. Et toute nation abandonnant son sang à des mélanges est destinée à périr »
Bonjour,
Vous ne me connaissez pas et inversement.
Vous , vous méprenez à mon égard, je ne viens pas « souiller ce site », mais exprimer simplement mon point de vue. Je suis evolien et musulman, j’ai été aussi un temps proche des nationalistes révolutionnaires, mais chaque fois que je m’exprime, je ne suis pas dans une démarche ideologique, mais dans une démarche de logique, celle de l’égalité humaine, laquelle, logiquement, ne devrait pas vous déranger. Merci tout de même pour votre référence révélatrice à propos des races, je n’en espérais pas autant.
Cordialement
Daniel Milan
Ce que vous nommez « la démarche logique de l’égalité humaine » est précisément la démarche la moins « logique » que l’on puisse imaginer.
Le mythe égalitaire est le plus anti naturel, le plus faux et le plus destructeur qui ait jamais été utilisé pour manipuler les foules en flattant leurs plus bas instincts.
Loin de rassembler les humains, il les divise en amplifiant la jalousie des flemmards ou des sous doués envers ceux qui réussissent par leur intelligence et leur puissance de travail.
Chaque fois qu’une révolution s’est inspirée du mythe égalitaire, elle a commencé par le massacre des élites en place… mais au bénéfice d’une nouvelle classe de privilégiés encore plus arrogante et privilégiée !
L’ « égalitarisme » soviétique, avec ses luxueuses datchas pour les dirigeants et ses magasins réservés aux seuls membres du parti étant un exemple éloquent.
Par ailleurs… vous ne nous dites pas ce que vous inspire la différence de niveau de vie entre Congolais et Japonais…
Oui ,la Race est tout car il est impossible d’en changer ..On peut changer de Nationalité de nom ,de couleur de cheveux . Mais la génétique parle .Les génes et l’ADN sont notre vrai passeport pour la vie et celles de nos descendants (.C’est pourquoi « Ils » essayent de modifier notre ADN à coups d’expérimentations « vaccinales » et autres attaques subtiles .
Dans notre sang il y a celui de nos ancètres ,il faut leur faire Honneur !
FITCHE OU ERNEST RENAN ?
RENAN L’APOSTAT
J’en ai pesé chaque mot avec le plus grand soin », déclare le philologue et historien Ernest Renan (1823-1892) en 1887.
Devenu l’une des icônes de la IIIe République, ces vingt pages sont celles d’une conférence qu’il est invité à donner à la Sorbonne, le 11 mars 1882. Il saisit l’occasion pour donner une réponse française à la question : qu’est-ce qu’une nation ?
Ce qui fait la patrie
Dans un texte intitulé L’Alsace est-elle allemande ou française ?, l’historien Fustel de Coulanges avait contribué à fixer, dès le début de la guerre franco-allemande de 1870, l’opposition entre la conception française et la conception allemande de la nation : « Ce qui distingue les nations, avait-il écrit, ce n’est ni la race, ni la langue. Les hommes sentent dans leur cœur qu’ils sont un même peuple lorsqu’ils ont une communauté d’idées, d’intérêts, d’affections, de souvenirs et d’espérances. Voilà ce qui fait la patrie. »
Un plébiscite de tous les jours
Dix ans plus tard, Ernest Renan fixe les termes de la conception française de la nation, une conception volontariste, politique, selon laquelle, suivant sa célèbre formule, « l’existence d’une nation est un plébiscite de tous les jours ».
Renvoyant au libre droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, il en ressort cette magnifique définition de la nation à partir de «deux choses qui, à vrai dire, n’en font qu’une […]. L’une est dans le passé, l’autre dans le présent. L’une est la possession en commun d’un riche legs de souvenirs ; l’autre est le consentement actuel, le désir de vivre ensemble, la volonté de continuer à faire valoir l’héritage qu’on a reçu indivis. […] Une nation est donc une grande solidarité, constituée par le sentiment des sacrifices qu’on a faits et de ceux qu’on est disposé à faire encore. […] Je me résume, Messieurs. L’homme n’est esclave ni de sa race ni de sa langue, ni de sa religion, ni du cours des fleuves, ni de la direction des chaînes de montagne. Une grande agrégation d’hommes, saine d’esprit et chaude de cœur, crée une conscience morale qui s’appelle une nation. »
JOHAN GOTTLIEB FITCHE
Si, à l’origine, Fichte distinguait l’État régi par le droit qu’il réalise et la « société [Gesellschaft] » comme interaction spontanée, à portée générale, des individus, il thématise ultérieurement celle-ci comme interaction liant plus immédiatement ou nativement entre eux ces individus qui ne s’affirment pas encore de façon individualiste, c’est-à-dire comme ancrée dans la totalité ou « communauté [Gemeinschaft] » quasi naturelle de la nation. Il emploie parfois synonymement les termes de nation et de peuple (Volk), le premier désignant de façon plus vraie la communauté plénière que le peuple doit devenir en cessant de s’appliquer restrictivement à la masse distinguée d’abord des élites cultivées et également du Prince. La nation, ou le peuple – ainsi distingué du simple « populaire » –, n’est véritablement que si tous en elle, le peuple stricto sensu, les classes cultivées et le Prince, sont unis par et dans une seule et même culture. L’élément de vie de la nation est bien, pour Fichte, la culture et si son nom lui confère un caractère natif ou naturel, c’est pour autant qu’il s’agit en elle de la seconde nature, de l’habitude, ici commune (les mœurs), en laquelle l’esprit est d’abord naturé, s’est d’abord naturé, s’est fait nature.
tout autour de moi il y a que des grande gueules sans connaissances et surtout des trans-dégénéré et des lâches et je souhaite a tout les crétins de France de ne pas passez une bonne journée . honte a nos ancêtres mort pour rien . Amen
Un militant antifachiste est un toujours un blanc (arrogant) raciste anti-blanc.
Aldo Stérone.
« Nos premiers ennemis sont certains « Blancs »… »
Tout à fait. Souvenirs, souvenirs …
https://amerzone-pilard.com/article-oslo-piqure-de-rappel-pour-la-democratie-80888610.html
Nos premiers ennemis – et j’ajouterais les pires – sont effectivement des blancs. Je n’ai jamais rien dit d’autre moi-même.
Cela aurait dû être une évidence, et pourtant beaucoup parmi nous continuent à faire une fixation sur les immigrés qui ne sont qu’un problème colatéral, conséquence du précédent.
Exactement comme « l’islam » qui n’est qu’une conséquence accessoire du déferlement migratoire venu principalement de pays majoritairement islamisés. Ils sont ici par la défaillance ou la complicité de ceux qui nous gouvernent depuis des lustres. Et le point de départ de tout redressement ne peut débuter qu’en dégageant ces traîtres/incompétents.
Cher GL,
Vous avez évidemment raison, mais je fais cependant une fixation – du caractère de l’urgence ! – sur les immigrés.
Pourquoi ?
– Je suis absolument d’accord pour affirmer qu’ils ne sont pas nos principaux adversaires…
– D’accord pour dire que ce sont ces principaux adversaires qui utilisent l’immigration pour nous détruire. Telle une arme braquée sur nous.
– Ils sont en quelque sorte la flèche tirée par l’adversaire pour transpercer notre armure…
– D’où évidemment le caractère d’urgence : Pour continuer le combat, il faut avant toute chose arracher la flèche qui nous menace de mort !
La flèche empoisonnée de l’immigration subsaharienne et musulmane.