Samedi 18 novembre, à Crépol dans la Drôme, une bande d’allogènes a attaqué un bal populaire avec la volonté assumée de tuer du blanc. Neuf personnes ont été poignardées et parmi elles un jeune Français de 16 ans, Thomas Perotto, est mort. Ce crime nous révolte d’autant plus que Thomas était un patriote. Alors que Mélenchon nous promet la créolisation, nous vivons en réalité une tragique crépolisation …
La police et les médias ont tenté de dissimuler les noms des assaillants, évoquant « des Français du centre-ville », alors qu’il s’agissait de blédards à papiers français. Les assassins ont d’ailleurs été arrêtés alors qu’ils projetaient de s’enfuir au Maghreb. La volonté du pouvoir est d’empêcher que le public ne fasse le lien avec l’immigration.
Ceux qui s’imaginaient qu’en avalisant le nettoyage ethnique de la Palestine, ils obtiendraient du pouvoir cosmopolite le droit de mettre à œuvre la remigration se sont fourvoyés. La critique envers les immigrés n’est permise que pour défendre l’entité sioniste. Les manifestations pour le génocide à Gaza sont autorisées, mais les simples manifestations en hommage à Thomas sont interdites.
Ce meurtre a suscité un vif émoi dans la population et des centaines de Français se sont mobilisés un peu partout afin de demander justice pour Thomas et tous nos concitoyens assassinés par des immigrés. Cette mobilisation est encourageante mais doit encore prendre de l’ampleur et gagner les masses. L’indignation doit se transformer en action.
Samedi soir, une centaine de jeunes patriotes courageux venus de toute la France se sont rassemblés à Romans-sur-Isère, dans les enclaves étrangères d’où viennent les auteurs de l’attaque de Crépol. Ils réclamaient justice pour Thomas. Les forces de police embusquées sont rapidement allées au contact des manifestants, gazant et distribuant avec zèle des coups de matraques. Une vingtaine d’entre eux a été arrêtée.
Une fois de plus, les miliciens du régime montrent qu’ils ne sont pas à nos côtés mais en face. Il faut en finir avec ce slogan éculé de la droite bourgeoise : « la police avec nous ». Les policiers ne peuvent pas se cacher en prétendant obéir aux ordres, car ils savent très bien désobéir pour défendre leurs intérêts corporatistes. A Romans-sur-Isère, ils ont choisi les étrangers plutôt que les Français.
La droite qui soutient sans réserve les forces de l’ordre pour maintenir le statu quo n’est pas dans notre camp. Maintenir le statut quo, c’est mourir lentement sous la pression de la démographie allogène.
L’islam n’a évidemment pas sa place en Europe mais le combat ne doit pas se limiter à la lutte contre l’islamisme qui n’est qu’une conséquence de l’immigration. Nous exigeons la remigration de tous les immigrés, avec ou sans cravate, avec ou sans voile. Si nous ne le faisons pas, nous nous exposons à un génocide comme en Afrique du sud.
Les ennemis prioritaires, ce sont les responsables de la situation. Quand un robinet coule, il faut s’occuper de celui qui ouvre le robinet, avant d’éponger l’inondation. Notre objectif est la conquête de l’Etat. Celle-ci ne passera pas par l’élection, mais par la révolution nationaliste. Les Irlandais qui manifestent en masse dans leur capitale suite aux attaques au couteau sur des enfants par un algérien, nous montrent la voie.
Au-delà de l’indignation, il y a l’action ! Engagez-vous !
100/100 d’accord ! Je n’interviens pas cependant une seconde fois : Je n’ai rien à ajouter au texte que je viens de faire passer en réponse à l’article paru ils y a trois heures :
IMMIGRATION INVASION : NOS PREMIERS ENNEMIS SONT CERTAINS « BLANCS ».
A l’heure actuelle, nul besoin de policiers et de juges en grande majorité serviteurs zélés de leur sacro-sainte République, seulement de justiciers pour régler leur compte à ces bâtards!
Bonjour ! je suis en accord avec l’inquiétude sur le sujet, mais je ne comprends pas cette comparaison avec l’Afrique du sud !? car si les blancs Boers se font parfois lynchés ou tués, c’est en tant que colonisateurs profiteurs et non pas blancs !? (Si nous ne le faisons pas, nous nous exposons à un génocide comme en Afrique du sud. )=??????????????????????????????????????????????????????
Désolé (mais pas trop…) d’être désagréable, mais on ne peut que remarquer à quel point votre opinion révèle une totale méconnaissance de l’évolution de l’Afrique du Sud.
– 1 : Les Boers ont fait fructifier, par cet acharnement au travail qui caractérise les blancs, une contrée inexploitée et pratiquement inhabitée.
– 2 : S’il y avait des gardes-frontières autour de l’Afrique du Sud, ce n’était pas pour que les « pauv’noirs » ne puissent pas s’enfuir ce cet enfer, mais pour limiter le nombre de ceux qui se précipitaient, des pays voisins, pour profiter de la sécurité et du niveau de vie qu’offraient les blancs.
Ce ne sont absolument pas les « colonisateurs qui profitaient des noirs », mais les noirs qui se pressaient aux frontières pour y profiter des blancs !
– 3 : S’il y a eu une invasion par les armes de ce paradis créé par les Boers, c’est celle des prédateurs britanniques contre ces mêmes Boers.
– 4 : C’est l’acharnement des racistes anti-blancs mondialistes – les mêmes qui, depuis Yalta, avaient décidé la fin de la colonisation d’origine Européenne et ont orchestré nos défaites en Indochine et en Algérie – qui a eu raison de la domination blanche en Afrique du Sud.
Les blocus organisés sur ordre des USA y étant pour beaucoup…
Cher Jean-Paul, ce commentaire de Di Bartolo ne reflète même pas une profonde méconnaissance de l’Afrique du Sud, il relève d’une ignorance générale qui confine à la bêtise, car quand on en arrive à un tel degré de cécité (méconnaissance de l’actualité, inaptitude à l’analyser, indigence de la réflexion, pour arriver finalement à des conclusions aussi erronées), c’est parce que l’on a sombré dans la bêtise.
Mais si nous en sommes à devoir expliquer le B-A-BA des choses et de leurs raisons, quelles chances nous reste-t-il de pouvoir passer un jour à l’action – et avec qui pour nous accompagner ?
Franchement, j’augure mal de l’avenir !
200 % d’accord avec cet article qui résume tout, et qu’il est essentiel de rapprocher de celui, paru un peu plus tôt, intitulé « immigration-invasion, nos premiers ennemis sont certains blancs ».
En particulier, il faut retenir cette phrase : » Il faut en finir avec ce slogan éculé de la droite bourgeoise : « la police avec nous ».
Cette phrase, il est essentiel, fondamental, de la comprendre, de la méditer, de s’en imprégner.
Un nationaliste français digne de ce nom, qui plus est s’il est un militant, ne peut plus aujourd’hui, en aucun cas, sous aucun prétexte, pour quelque raison que ce soit, croire, penser ou seulement supposer que les forces de l’ordre, police ou gendarmerie, soient ou puissent être « avec nous » ou « de notre côté ». C’est fini, cela (en admettant que cela ait jamais été le cas).
Les flics – comment les appeler autrement, puisque c’est la seule désignation qui leur ait jamais convenu, en tous temps et en tous lieux – sont nos premiers et nos pires ennemis.
Les premiers puisque ce sont eux que nous trouvons toujours et systématiquement contre nous, et les pires puisque, bien qu’étant traités comme leurs compatriotes français et logés à la même enseigne qu’eux, ils n’ont rien compris pour autant mais déploient une obéissance envers leurs maîtres et un zèle contre nous qui font d’eux les plus méprisables de nos adversaires.