Taha O. est arrivé en France à 17 ans, le 13 juin 2019, sous un visa touristique.
Quelques mois plus tard, il est confondu par son ADN pour le viol d’une étudiante de 23 ans sur un chemin forestier à Taverny (Val-d’Oise) et placé en détention provisoire. En situation irrégulière et mineur au moment des faits, il est condamné en 2021 à sept ans de prison.
Après 5 ans en prison, il sort de détention le 20 juin dernier et est placé en centre de rétention administrative (CRA) à Metz. Il est alors sous obligation de quitter le territoire français (OQTF). Le 3 septembre dernier, un juge des libertés et de la détention valide sa sortie du centre de rétention.
Assigné à résidence dans un hôtel de l’Yonne, il ne s’y présentera jamais. Le 4 septembre, le Maroc fait « parvenir l’autorisation d’expulsion » aux autorités françaises, selon une source proche du dossier. Le 19 septembre, il est inscrit au fichier des personnes recherchées parce qu’il ne respecte pas son obligation de pointer.
Le vendredi 20 septembre, Philippine, une étudiante de 19 ans, est vue pour la dernière fois par des proches au restaurant universitaire de Paris Dauphine, où elle est scolarisée.
Le lendemain, ses proches localisent son téléphone et organisent une battue dans le bois de Boulogne, qui jouxte l’université. Des témoins racontent avoir vu un homme muni d’une pioche dans le secteur. Le corps sans vie de l’étudiante est retrouvé sommairement enterré.
Source : Le Point
Tous ces politiques de droite comme de gauche, d’hier et d’aujourd’hui, antiracistes ou pas, sont responsables et coupables du massacre de toutes ces jeunes blanches et françaises par des sauvages issus de l’immigration.
Nous dénonçons et combattons l’immigration depuis plus de… pic.twitter.com/yWxpj60rxG— YVAN BENEDETTI (@Yvan_Benedetti) September 24, 2024