Ce 1er novembre 2013, deux hommes à moto ouvrent le feu sur un groupe de personnes se tenant devant le local de l’Aube dorée à Héraklion, dans la banlieue nord d’Athènes en Grèce. Deux jeunes grecs, militants d’Aube Dorée, Giorgos Fountoulis et Manos Kapelonis, âgés d’une vingtaine d’années sont tués et un troisième blessé. Cette attaque commise contre Aube Dorée s’inscrit dans une longue liste d’attentats perpétrés contre les forces nationalistes notamment par les organisations d’extrême gauche, qui seront relayées par le pouvoir grec jusqu’à l’emprisonnement de tous les cadres et élus d’Aube Dorée.
Au moment de la fusillade, le local était ouvert pour accueillir une réunion. L’Aube dorée a révélé avoir demandé à plusieurs reprises une protection policière pour ce local attaqué à plusieurs reprises, et qui avait fait l’objet de menaces précises. Les autorités l’avaient refusé et avaient même diminué la présence policière…
Les auteurs de l’attentat qui ont utilisé une arme de type kalachnikov, ont tiré à une quinzaine de reprises à courte distance des trois hommes, ne leur laissant aucune chance. Le tireur est descendu de la moto pour tirer à bout portant sur le groupe. Lui et son complice ont réussi à s’enfuir, bien qu’un poste de police se situe tout près de l’attaque. Les forces de l’ordre annonceront dans la soirée avoir retrouvé une moto volée près des lieux du crime, celle qui aurait été utilisé par les criminels.
Et malgré tout, ces dernières années, c’est l’Aube dorée qui a été la cible de la répression du gouvernement libéral-mondialiste, comme de celui social-mondialiste qui lui a succédé, suite aux injonctions de l’Union européenne et du Congrès juif mondial aux autorités grecques.
L’année d’après, en 2014, l’Aube Dorée fera élire au parlement européen Lambros Fountoulis, père de Giorgios Fountuolis, qui déclarera : « Cette victoire n’est pas la mienne. Je ne suis pas un politicien et je ne recherche ni l’argent, ni la gloire. Cette victoire est celle Giorgos Fountoulis et de Manos Kapelonis ».
Au soir de l’assassinat de son fils, il lui avait rendu hommage en ces termes : « Je suis fier des idées et du patriotisme de Giorgos. J’ai vu qu’il s’était mis lui-même dans la ligne de mire juste pour protéger ses frères. Je n’abandonnerai pas ses idées et ce en quoi il croyait. Je sais que c’est un combattant élevé avec les mêmes valeurs et principes avec lesquels mon propre père m’a élevé. Ce sont ces valeurs que j’ai léguées à mon enfant. Il est devenu un Grec fier qui voulait vivre dans une Grèce meilleure. Débarrassée de ces voleurs et de ces tricheurs qui voient les Grecs comme de simples numéros, dévastant leur vie et leur disant d’obéir aux prêteurs internationaux qui considèrent la Grèce comme une colonie. »
Les héros ne meurent jamais !
Giorgos Fountoulis et Manos Kapelonis ? Présent !