François Genoud est né le 26 octobre 1915 à Lausanne.
En 1932, à 17 ans, il a l’occasion de rencontrer Adolf Hitler chez des amis de sa famille, à Bonn, et reste très marqué par cette rencontre, fait siennes les frustrations allemandes du traité de Versailles.
En 1936, il rencontre Mohammed Amin al-Husseini, grand mufti de Jérusalem, qui le sensibilise dès cette époque à la cause palestinienne.
Connu pour son rôle de « banquier » du Troisième Reich, il est l’exécuteur testamentaire d’Hitler et de Goebbels, et devient le financier des combattants palestiniens.
Proche d’Otto Skorzeny et Karl Wolff, c’est par son intermédiaire que Jacques Vergès assure la défense du « boucher de Lyon », l’officier du SD Klaus Barbie. Il finance également la défense de Adolf Eichmann en 1961/1962.
Éprouvé par la mort de sa seconde épouse en 1991, malade, il choisit de mourir librement, le 30 mai 1996.
Il fait partie de ces hommes hors du commun, aux parcours et engagements discutables, peut-être, mais qui attirent le respect.
Peut-être qu’un jour des historiens pourront nous dire librement et en toute objectivité toute la vérité concernant cette période complexe de l’histoire qu’est la seconde guerre mondiale, dont nous ne connaissons que l’histoire officielle qui nous est imposée. On ne connait ni les inspirateurs idéologiques du NS, ni ses financiers, ni ses liens avec le sionisme. Enfin, grâce à l’internet, des infos à ce sujet circulent et je relève que pour un certain nombre de groupes néo de je ne sais quoi, que leur nouveau Führer est Netanyahou…