Jean-Eudes Gannat est sorti de garde à vue et comparaîtra le 6 mai pour incitation à la haine en raison de la vidéo ci-dessous qu’il a publié et qui ne fait que décrire la réalité, une réalité que les puissants du moment ne veulent pas voir et surtout qu’ils ne veulent pas que vous voyiez car résultat de leur politique depuis des décennies. Il est donc placé sous contrôle judiciaire, avec interdiction d’utiliser certains réseaux sociaux et de faire ses courses dans le supermarché à côté de chez lui où il se rend pourtant depuis son enfance… Aujourd’hui plus que jamais, soutenez ce courageux militant, pour que la voix de ceux qui se battent pour la France soit portée avec fierté !
« Ce sont les 4 Afghans que j’ai filmés qui ont porté plainte. Et j’ai appris en garde à vue, même si j’ai du mal à y croire, qu’ils seraient de nationalité française ! » (Jean-Eudes Gannat)
CONVOQUÉ À LA DEMANDE DU PARQUET dès cet après-midi pour cette vidéo anodine postée hier soir sur Tiktok. Possiblement pour une garde à vue d’après mon interlocuteur.
Décrire le réel est interdit !
Puisque la vérité dérange, je vous demande de la faire tourner au maximum et me… pic.twitter.com/1UTXx135zV
— Jean Eudes Gannat 🐝 (@gannat_JEG) November 5, 2025
Chers amis,
Je profite d’un trajet dominical pour vous remercier tous du fond du cœur, et en particulier mes camarades de l’Ouest et d’ailleurs, l’équipe de Radio Courtoisie, les personnalités publiques qui ont pris position. Je veux aussi vous dire mon émotion face à la mobilisation des milliers d’anonymes qui ont fait du bruit, des dons, m’ont écrit des messages de soutien. Depuis ma cellule j’ai prié pour vous tous.
Nous vivons l’aboutissement du carcan judiciaire Pleven-Gayssot : après l’interdiction de penser et l’interdiction de dire ce que l’on pense, voici venue l’interdiction de décrire ce que l’on voit.
À ceux qui se sont inquiétés, qu’ils se rassurent : je vais très bien. J’ai passé 48 heures entre 4 murs certes : mais de nombreux camarades, combattants, historiens, y ont passé bien plus de temps.
Et nos pauvres adversaires, qui ont fait profession de nous surveiller et de nous brimer, passent leurs existences entières derrière des barreaux bien plus pernicieux : au mépris qu’il m’inspirent s’ajoute une infinie pitié. Car derrière leurs barreaux à eux, sous la lumière tiède de leur néons, il n’y a plus ni rêves, ni espoir, ni pardon, ni vie intérieure : seulement l’enchaînement froid du mensonge et de la procédure, et la petite promotion dans le cursus deshonorum. Tandis que même dans l’obscurité crasseuse d’une cellule, rien ne peut éteindre les mille soleils que j’ai dans le cœur, les feux de l’Espérance et les marques d’affection que sans lire ni entendre j’ai ressenti sans peine.
Je récolte injustement des honneurs qui devraient revenir à mon épouse, qui a subi les tracasseries ignobles du Parquet, ses questionnement indignes sur notre vie de famille, alors qu’elle n’est nullement engagée politiquement et a déjà dû accoucher seule il y a deux ans parce qu’à la demande du procureur j’étais -déjà- maintenu injustement en cellule.
Quoiqu’il en soi, je vous transmets ici toute ma reconnaissance et une promesse : celle d’essayer de me montrer à la hauteur de votre confiance et de votre affection.
Cagnotte de soutien pour faire face aux frais et honoraires de sa défense :





































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