Nicolas Sárközy, le candidat préféré du Système
Leurs sondages donnent Marine Le Pen en tête des intentions de vote ?
François (sic) Hollande mène la même politique financiariste, mondialiste et immigrationnite que son prédécesseur à l’Élysée ?
Peu leur importe !
Dans sa demi-heure de bourrage de crâne intensif du soir, France (sic) 2 a néanmoins décrit Nicolas Sarközy comme
« […] le chef de l’UMP, le chef de l’opposition […] »
sans pour autant préciser à quoi il pouvait bien encore s’opposer dans la politique rothschildienne menée par le gouvernement de Manuel Valls.
Il a ensuite été annoncé qu’un changement de nom de leur UMP était envisagé.
Mais leur journaliste a malencontreusement omis (?) de rappeler aux téléspectateurs que le passage de l’ex-RPR à l’actuel UMP était déjà dû à la nécessité de liquider un parti politique aux pratiques de corruption – très faiblement et très partiellement – condamnées par la justice et qui aurait dû, en toute logique rationnelle, être dissous par elle, tandis qu’on réserve ce traitement aux mouvements nationalistes sans taches, dans leur République.
En effet, les innombrables dossiers judiciaires de leur UMP, avec comme point d’orgue l’affaire Bygmalion, à elle toute seule, sorte de poupée russe des affaires politico-financières des libéraux, rend nécessaire un nouveau changement de nom dont le prétexte sera très probablement que le néo-FN est le parti politique qui arrive en tête au premier tour des élections, tout comme la fois précédente, l’accession de Jean-Marie Le Pen au second tour de l’élection présidentielle avait été présentée comme la cause officielle, pour officieusement se refaire une virginité et ajouter des libéraux à des gaullistes eux-mêmes déjà libéraux, Jacques Chirac n’ayant pas eu besoin de cette UMP dans l’entre-deux tours, vu que tous les paumés l’avaient soutenu.
Enfin, Alain ‘emplois fictifs’ Juppé a été sifflé par le public de l’UMP pour avoir prôné une union avec le MODEM et l’UDI ?
Mais c’est Nicolas Sárközy, semblant planer dans une autre dimension et ne parlant que de lui-même face à un parterre au silence douteux, qui a été présenté comme « rassembleur » par leur médiat télévisuel.
Voilà comment, matin, midi et soir, sont quotidiennement lobotomisés nos compatriotes, après avoir été, ce samedi, travaillés au moyen de l’émotion sportive d’une équipe de ballon ovale qui n’est même plus nationale.
Conversion du public à leur mondialisme par leur sport-spectacle professionnel : le rugby pour les daltoniens
Le même « journal » télévisé s’était ouvert sur un résultat de rugby professionnel, avec une « équipe de France » désormais vêtue d’un maillot rouge probablement du goût d’un Mélenchon ou d’un Besancenot. Quoique soulignée par le présentateur vantant ce maillot qu’on croirait choisi par des membres de la nomenklatura télévisuelle, cette couleur ne l’a pas empêché de parler d’une « victoire des bleus »… tandis que les Italiens (‘squaddra azzura’ pour ’équipe bleue) ont joué… en bleu, les Irlandais en Vert, etc., seuls les mercenaires de leur équipe républicaine ont renié nos couleurs pour celle du marxisme culturel… à quand du rose ou de l’arc-en-ciel ?
Attention, par ailleurs, de bien distinguer “équipe de France”, c’est-à-dire présentée par leur Fédération “française” de rugby, et “équipe française”.
En effet, puisque les mondialistes ont permis d’inclure des étrangers – même de papiers ! – les sélections dites “nationales”, leurs sélectionneurs s’en sont donné à cœur joie, obérant l’avenir de nombreux Français qui croyaient trouver là au moins un emploi dans un club, voire l’honneur de représenter leur pays, même si c’est dans un sport-spectacle qui a perdu au moins une partie de ses valeurs sur le chemin du professionnalisme.
Notons que l’article de Rugbyrama où un professionnel expliquait que l’afflux d’Étrangers excluait de nombreux Français au profit de personnes de l’hémisphère sud, aussi bien joueurs qu’entraîneurs, préparateurs physiques, etc., n’est plus en ligne… ne laissant la place qu’à un forum de discussion ouvert à tous les trolls, dont ceux avoinés par leur Système.
Par ailleurs, selon le site Internet de ce même médiat, citant le sélectionneur français Philippe Saint-André, autrefois « surnommé affectueusement le Goret » par ses coéquipiers, lorsqu’il jouait au rugby :
« L’équipe de France représente simplement notre société et son multi-culturalisme [sic]. Les Anglais ne se posent pas cette question. C’est intégré »
dit-il.
« Moi, quand je regarde mon équipe, je vois une équipe anglaise »
répond simplement le sélectionneur Stuart Lancaster, précise enfin Rugbyrama, relayant cette déclaration politiquement-conforme.