Les nationalistes harcelés et rançonnés par leur « Justice » et leurs associations de malfaiteurs
Extrait de l’article d’André Gandillon, page 8 du numéro 3200 de Rivarol daté du 3 septembre 2015 :
« Le jeudi 24 septembre, le directeur de Rivarol sera jugé en appel à 13h30, au Palais de justice de Paris (pôle 2, chambre 7) pour l’affaire dite de “l’insupportable police juive de la pensée”. [Jérôme Bourbon] a été condamné à 2 000 euros d’amende en première instance. Le parquet [de Christiane Taubira], qui réclamait 15 000 euros sous forme de jours-amendes, a fait appel, jugeant la condamnation trop clémente, preuve de son acharnement.
Une partie civile, SOS-Racisme [voir ci-dessous], a fait appel, jugeant la somme allouée insuffisante (1 000 euros).
Le même jour, devant les magistrats, le directeur de Rivarol sera également jugé en appel pour un article paru en mai 2013 sur le Festival de Cannes et pour lequel il a été condamné, en première instance, à 8 000 euros sous forme de jours-amendes.
Les parties civiles (Ligue des droits de l’homme et LICRA) ont fait appel, car elles avaient été déboutées en première instance, [leurs demandes] ayant été jugées irrecevables. »
L’affairisme « antiraciste » israélien, auxiliaire de justice…
Le même numéro de Rivarol propose, en page 11, une recension du dernier livre de Roger Holeindre, intitulé : 1935-2015… 80 ans de mensonges et de calomnies, ça suffit !
Concernant l’officine anti-française SOS-Racisme, on nous y rappelle que son premier secrétaire général fut l’agent d’influence d’Israël Éric Ghebali, alors président de leur Union des étudiants juifs de France (UEJF). De plus,
« le premier vice-président sera Julien Dray, dont le journaliste israélien Jacques Benillouche dira qu’il “a une grande famille en Israël, dont son frère qui vit dans une implantation” (entendez une colonie). Bernard-Henri Lévy et Marek Halter figurent, eux aussi, parmi ceux qui ont apporté leur appui à la fondation de cette synagogue, ainsi qu’un certain Daniel Saada, un “vieil ami de BHL”. Saada s’est depuis installé dans l’entité sioniste et le site du CRIF rapportait joyeusement en 2005 qu’il était devenu ambassadeur d’Israël. La boucle était ainsi bouclée… »
… et au-dessus des lois de leur République
Outre d’être un instrument supplémentaire pour détruire la nation française, SOS-Racisme fut d’emblée une énorme machine à enrichir des apparatchiks. Ainsi, Julien Dray fut à la tête d’une énorme affaire de détournement de fonds, abus de biens sociaux, fraude fiscale, abus de confiance et fausses factures mêlant des coreligionnaires, des immigrés et quelques Français reniés coopérant avec SOS-Racisme et ses satellites.
Notamment, entre 2005 et 2008, Julien Dray avait déclaré 1 631 417 euros de revenus, mais dépensé 2 087 678 euros (en tout cas pour les dépenses ayant laissé une trace).
Selon le quotidien Le Monde, Julien Dray, qui utilisait une carte American Express pour acheter des dizaines de milliers d’euros de montres et de stylographes de luxe, dans le lapsus éventuellement révélateur d’une de ses nombreuses réponses non convaincantes, avait confondu luxe, déviance conduisant à la recherche de commodités coûteuses ou de biens raffinés et superflus, et luxure, la débauche sexuelle. Il est vrai que Julien Dray est très proche de Dominique Strauss-Kahn… :
« Je ne suis pas un irresponsable dépensier, je ne suis en rien un homme qui vit dans la luxure » (sic).
Après que le Procureur de la République lui-même prit sa défense, Julien Dray fut seulement « rappelé à la loi », malgré un train de vie qui ne correspondait pas à ses revenus pourtant déjà extrêmement confortables et des emprunts – c’est ainsi qu’il qualifia des sommes perçues par lui sans contrepartie légale – non déclarés à l’administration fiscale.
Cela lui permet encore aujourd’hui de poursuivre sa carrière politique au service de l’occupant au sein d’un parti socialiste libéral-trotskyste, comme l’a rappelé récemment Jeune Nation.
Leur République réserve donc un meilleur traitement aux apparatchiks-affairistes d’avant-garde qu’aux honnêtes journalistes, rendant quasiment la “justice” au nom de ceux-là, contre ceux-ci.