Un ‘no borders’ en garde à vue
La police a procédé à l’interpellation d’un extrémiste à Calais, accusé d’avoir incité les ‘migrants’ à l’émeute ces derniers jours. Le négrier, âgé de vingt ans, agit pour le compte des groupes dits « No Borders » (Pas de frontières), qui cherchent, à l’image des élites cosmopolites mondialistes et de la grande finance apatride, à détruire les frontières. À Calais, les extrémistes travaillent pour le compte du patronat britannique qui souhaite bénéficier d’une main-d’œuvre bon marché pour faire baisser les salaires des travailleurs.
Deux extrémistes, arrêtés en début de semaine, avaient été libérés immédiatement. Il s’agissait des seules interpellations réalisées lors des trois jours d’émeute, auxquelles ont participé pourtant plusieurs centaines d’étrangers déjà coupables d’avoir violé les frontières françaises et de séjourner illégalement sur le territoire.
L’extrémiste, placé en garde à vue hier, devrait être poursuivi pour provocation à la rébellion suivie d’effet contre l’autorité ou la population selon le procureur de Boulogne-sur-Mer Jean-Pierre Valensi.
Ayant échoué à rallier les travailleurs français, les extrémistes, qui seraient quelques dizaines dans la ‘Jungle’, tentent de manipuler et d’endoctriner les ‘migrants’ désespérés.
Dans la grande tradition de la gauche, les anarchistes utilisent les étrangers comme chair à canon pour satisfaire leurs propres désirs de violence. Ils excitent ceux qu’ils considèrent comme leurs esclaves contre les forces de l’ordre contre lesquels ils les envoient ensuite se battre. Une trentaine de membres des forces de l’ordre ont été blessés entre dimanche et mardi à Calais. Les extrémistes ne participeraient pas eux-mêmes aux attaques. Leur implication avait déjà été mise en évidence lors des envahissements du tunnel sous la Manche.
18 millions d’euros de travaux payés par les Français pour un campement illégal pour des clandestins
De son côté, le gouvernement continue à favoriser l’immigration clandestine et les réseaux criminels. Depuis le début de semaine, des travaux ont commencé dans le camp illégal des ‘migrants’ : les Français, pour un campement illégal, réalisé hors de tout plan d’occupation des sols, occupé par des délinquants en situation irrégulière, payent pour la création d’installations chauffées et disposant de l’eau courante. Des arguments de vente très intéressants pour les passeurs et les réseaux criminels. Ces travaux permettront à 1 500 étrangers d’être accueillis dans des bâtiments en dur pour préparer leurs attaques contre la Grande-Bretagne.
Les autorités ont négocié le départ provisoire des clandestins pour pouvoir commencer les travaux.
« Aujourd’hui, avec le début des travaux, c’est une invitation au déménagement des quelque 500 personnes encore présentes sur cette zone. Notre but est de les aider à rejoindre la zone tampon ou alors un autre endroit du camp. […] Dans ces tentes aménagées, ces personnes vivront dans de meilleures conditions et seront ensuite prioritaires pour accéder au campement en dur »,
a déclaré l’un des activistes pro-invasion, Stéphane Duval.
En plus des dizaines de millions d’euros que coûte déjà l’invasion de Calais, un coût qui ne tient pas compte des graves problèmes sanitaires, sécuritaires, sociaux créés dans la ville, ces travaux sont estimés à 18 millions d’euros.