Un numéro vert a été mis en place: 0800406005 ; pour les alertes attentats, le numéro à appeler est le 197.
Plusieurs sites visés à Paris et Saint-Denis
Plusieurs fusillades meurtrières se sont déroulées vendredi soir en divers points de Paris. Dans le Xe arrondissement, rue Bichat, c’est un restaurant asiatique, Le Petit Cambodge, et un bar, Le Carillon, qui ont été visés par deux individus descendus en voiture. Ils seraient ensuite repartis vers la rue du Temple où ils auraient continué à tirer. Un bilan diffusé peu après les faits évoquait 18 morts. Dans le XIe arrondissement, rue de Charonne, c’est le restaurant La Belle équipe qui a été ciblé ; les témoins évoquent plusieurs morts. Le ou les assaillants ont pris la fuite. Une autre fusillade se serait produite dans la rue Béranger. Toutes les attaques à Paris se sont donc déroulées dans un même secteur.
Une autre attaque s’est déroulée dans le XIe arrondissement, peut-être par le même groupe, dans le Bataclan. Les tueurs ont fait irruption dans la salle de spectacle et ouvert le feu. Les terroristes seraient entrés une heure après le début d’un concert – du groupe américain Eagles of Death Metal – par l’arrière de la salle. Cette dernière était complète au moment de l’attaque, soit plusieurs centaines de personnes. Ils auraient rapidement assassiné plusieurs dizaines de personnes ; certaines sources ont évoqué l’utilisation de grenades.
L’assaut a été donné vers minuit vingt-deux par la Brigade de recherche et d’intervention. Les autorités ont annoncé que les deux tueurs avaient été éliminés. Le bilan samedi matin à 2h27 était d’au moins 76 morts. L’attaque s’est déroulée près des lieux de l’attaque de janvier dernier contre Charlie Hebdo.
Trois explosions se sont produites aux abords du Stade de France où se déroulait une rencontre amicale de football entre l’équipe d’Allemagne et celle d’Afrique en France, que François Hollande était venu soutenir. Le président de leur République, l’un des criminels responsables de la situation, a été exfiltré et n’a pas été touché. Plusieurs corps à terre ont été aperçus par des témoins, dont ceux des deux terroristes qui ont vraisemblablement commis les deux premiers attentats-suicides sur le territoire français. Les premières informations font état de l’utilisation de bonbonnes de gaz avec des boulons.
La piste islamiste privilégiée
Tout pointe vers les terroristes islamistes. Selon les témoins, les criminels ont crié notamment « Allah Akbar » et affirmer massacrer la population en représailles à l’intervention de l’aviation française en Syrie contre l’État islamique.
Il s’agit d’évidence d’attaques coordonnées que les services de renseignement ont été incapables de prévoir et d’empêcher.
La France, qui est l’un des pays les plus envahi d’Europe, a été la cible depuis le début de l’année de plusieurs attentats et tentatives. Le 7 janvier dernier, un journal d’extrême gauche, artisan du multiculturalisme et de l’invasion, avait été attaqué ; plusieurs personnes étaient mortes, notamment des travailleurs et des policiers et encore les deux jours suivants. Au total, 18 personnes avaient trouvé la mort. Une jeune femme, Aurélie Châtelain, a été assassinée par Sid Ahmed Ghlam le 19 avril. Un autre criminel étranger, Yassine Salhi, a assassiné Hervé Cornara à Saint-Quentin-Fallavier le 26 juin 2015. Ayoub el-Khazzani, le 21 août, avait pu être arrêté au commencement d’une attaque dans un Thalys.
Les attaques de ce soir figurent parmi les pires crimes commis en France depuis le terrorisme, déjà islamiste, déjà favorisé par leur République, du Front de libération nationale (FLN, Jabhat at-Tahrīr al-Waţanī) durant la guerre d’Algérie.
Cette nouvelle vague d’attentats criminels rappelle la totale incapacité du régime d’occupation à gérer la situation qu’il a créé par sa politique criminelle d’immigration. Les « clips » « antiradicalisation », les kits anti-terroristes, les discours virils des dirigeants : rien ne peut masquer le danger de l’invasion, le caractère intrinsèquement malsain et mortifère des sociétés multiculturelles. Les politiciens criminels qui dirigent la France depuis 70 ans ont voulu libaniser, ont voulu balkaniser la France, de force, contre la volonté de la population. Les Français en payent aujourd’hui le prix.
La terreur à Paris à quelques jours de la « COP 21 » et des élections régionales
Ces attaques interviennent à moins d’un mois de la COP21, une grande messe mondialiste à laquelle de nombreux dirigeants mondiaux avaient annoncé leur venue. Le gouvernement avait fièrement annoncé que, pour assurer la sécurité, les contrôles aux frontières étaient rétablis dès ce 13 novembre.
Elles se déroulent également à moins de quatre semaines des élections régionales. L’implication de tueurs étrangers ou d’invertis à l’islam comme le délitement de leur République devrait conduire le Front national à son plus haut score historique.
Le gouvernement a organisé un conseil des ministres ce soir à minuit. Le plan Alpha, plan d’urgence multi-attentats, a été déclenché et l’état d’urgence décrété pour l’ensemble du territoire métropolitain et la Corse – c’est la première fois depuis la guerre d’Algérie, encore -, ainsi que le plan blanc pour les hôpitaux.
Pas d’amalgame, pas d’amalgame sutout pas d’amalgame… ne pas tirer de conclusions trop hatives lié à l’immigration sauvage…ne surtout pas stigmatiser les communautés visibles…
L’immigration, c’est bon pour la France soyez ouvert d’esprit!
Vous êtes optimistes. Souvenez-vous de ce qui s’était passé après les attaques de janvier dernier: Hausse de la popularité de François Hollande et Manuel Valls, baisse de celle de MLP, doublement des conversions à l’islam, renforcement de la communion républicaine, discours contre le « racisme », le « négationnisme », etc.