Préférence étrangère à Calais : une Française engagée contre l’invasion sera expulsée de son domicile qu’elle loue à la commune. Les lieux sont destinés par la mairie sárközyste à être dévolus aux activités de l’Office français (sic) de l’immigration et de l’intégration (resic), la ‘Jungle’ se trouvant à proximité.
Nadine Guerlach est depuis plusieurs mois, comme la plupart des habitants de Calais, abandonnés par les autorités aux réfugiés. Natacha Bouchart, la députée-maire de Calais, agissant main dans la main avec les groupuscules d’extrême gauche qui facilitent l’invasion, n’a pas toléré que Nadine Guerlach dénonce la situation et critique la mairie.
Cette dernière a fait envoyer à la militante patriote un avis de mise en demeure de quitter son domicile sous six mois.
« La municipalité souhaite procéder à la récupération du logement sis 99, route de Gravelines, que vous occupez par convention »,
annonce triomphale Natacha Bouchart.
L’élue pro-invasion, cadre du parti Les Républicains (LR, ex-UMP), n’avait pas caché ses intentions il y a déjà plusieurs semaines, après une manifestation populaire du groupe Les Calaisiens en colère. Il s’agit clairement d’une discrimination de nature politique et d’un refus de se laisser les Français s’exprimer.
« Cela fait plus de 40 ans que j’habite dans cette maison. J’y ai tous mes souvenirs. Les cendres de mon mari se trouvent dans le garage, juste là. Je ne veux pas quitter cette maison, je ne partirai pas »,
a annoncé la locataire. Plusieurs milliers de personnes lui ont apporté via les réseaux sociaux leur soutien. Les résultats des élections régionales de Calais au soir du premier tour dimanche, devraient faire réfléchir Natacha Bouchart. En 2014, les candidats du Front national (FN) avaient obtenu 34,8 %, 39,2 % et 43,5 % sur la commune de Calais dans les trois cantons de la ville au premier tour.
Le laisser-passer (car c’en est bien un) est délivré en fait par la sous-préfecture, ce qui ne change rien au fond. Le maire prote plainte contre MLP, comme si les tribunaux n’avait pas de vrais problèmes à régler.