Un procureur de leur République, la liberticide Aurore Chauvelot, a réclamé hier trois mois de prison avec sursis et 10 000 euros d’amende contre Jean-Marie Molitor pour ses fonctions de directeur de la publication de l’hebdomadaire Minute. Le procès vise la « une » de l’édition du 13 novembre 2013 du journal. « Maligne comme un singe, Taubira retrouve la banane » constatait le journal présentant en fond une photo de l’Africaine.
Un mois de prison et 5 000 euros d’amende ont encore été requis devant la 17e chambre du tribunal de Paris, spécialisée dans les persécutions contre les patriotes selon les ordres des gouvernements d’occupation, pour un dessin paru le 30 octobre. Le caricaturiste David Miège, qui avait joliment esquissé les traits d’un primate attristé – « mon client porte plainte pour avoir été odieusement caricaturé en madame Taubira » expliquait l’avocat du singe sur le dessin –, risque lui 2 000 euros d’amende, dont la moitié avec sursis. Il a rappelé que son dessin visait à dénoncer une judiciarisation à outrance de la société que ce procès ne fait que confirmer.
Minute réagissait à l’époque à la surmédiatisation d’un fait insignifiant, le partage sur un réseau social d’une caricature par une candidature du Front national, Anne-Sophie Leclère. Une machination, orchestrée par France 2 et les associations antifrançaises, allait conduire cette dernière à être lynchée par son propre parti avant d’être condamnée lourdement à Cayenne.
Après avoir prétendu qu’elle ne commenterait pas les faits, Christiane Taubira, habituée aux mensonges, s’était répandue dans la presse comme à la tribune de l’Assemblée nationale pour se lamenter sur son sort. Une Africaine ministre payée plusieurs milliers d’euros par mois affirmait être victime de racisme contre une Française vivant d’un petit salaire et attaquée par l’ensemble de l’establishment. C’est Christiane Taubira qui avait fait porter plainte via l’une de ses associations, après avoir affirmé qu’elle ne le ferait pas.
Dans le procès contre Minute, se trouvaient, représentant le parti de l’étranger : Gérad Taieb pour le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (Mrap) et Jérôme Karsenti pour une obscure association antifrançaise, La Maison des potes.
Le jugement a été mis en délibéré au 30 octobre.