Qui serait assez sot pour ne pas voir à quel point l’Histoire se répète, les mêmes types d’individus ayant, au fil de décennies, le même type de réactions… honorables pour les uns… méprisables pour les autres… Ainsi en est-il de l’évidente continuité entre la collaboration avec les extrémistes musulmans au cours des années 1950 à 1962 et la même trahison de l’ultra-gauche au bénéfice de l’islamisme aujourd’hui… Ce que l’on a connu il y a 60 ans au Maghreb avec le phénomène des « Pieds Rouges » se reproduisant pratiquement à l’identique dans la France réduite à l’hexagone par la trahison gaulliste.
Ceux qu’on a appelé les « Pieds Rouges » par opposition à la dénomination « Pieds Noirs » étaient pourtant d’origine « Pieds Noirs » au même titre que les autres natifs de nos départements Français d’Algérie d’origine européenne. Mais Ils étaient partisans du FLN et contre ce qu’ils considéraient comme « l’occupation » française de l’Algérie.
D’où la question : pourquoi « Pieds Rouges », plutôt que « Pieds Verts » ce qui eût évoqué la couleur du drapeau du FLN ? Parce que le « Rouge » évoquait le Parti Communiste Algérien dont ceux qui trahissaient notre armée à Alger en 1954 comme ils l’avaient trahie en 1940 au nom du pacte Germano-Soviétique, étaient pour la plupart membres ou sympathisants ! Parti communiste d’autant plus puissant en Algérie que nombre de « Pieds Noirs » de fraîche date, notamment à Oran, avaient fui l’Espagne en 1939 pour échapper à la répression franquiste.
Et c’est dans l’esprit de accords de Yalta, en date de févier 1945, condamnant la continuité des Empires coloniaux sous l’impulsion prépondérante de Staline, que leur journal militant « Alger Républicain », tirant alors jusqu’à 35 000 exemplaires, n’a eu de cesse d’inciter à la rébellion jusqu’à son interdiction en septembre 1955.
Parmi ces « Pieds Rouges » ayant incité à la rébellion, on compte notamment Henri Alleg, directeur de ce journal à partir de 1951 et qui fut débusqué par les parachutistes de Massu lors de la bataille d’Alger en compagnie de Maurice Audin, dont le père était gendarme, mais qui n’en fut pas moins complice du FLN, ce dernier étant mort pendant sa détention par les parachutistes…
Fernand Iveton, autre militant communiste, qui avait déposé dans l’entreprise qui le salariait une bombe artisanale mal réglée, mais qui eût condamné à mort nombre de ses collègues si elle n’avait été désamorcée aura été le seul guillotiné parmi les « Pieds rouges »…
Il était l’ami d’un autre communiste employé par « Alger Républicain », l’Aspirant Henri Maillot, lequel, après avoir livré à un maquis communiste un camion d’armes, fut finalement abattu lors d’un accrochage près d’Orléansville, en compagnie d’un autre « Pied Rouge », ancien des Brigades Internationales Communistes pendant la guerre civile en Espagne…
Comme on peut en juger, l’équivalent des Mélenchonistes d’aujourd’hui que furent les « Pieds Rouges » des années 1950 à 1962 furent nombreux… A tel point que récemment encore, en 2002, une stèle à leur mémoire a été inaugurée à Alger… En attendant la stèle pour Mélenchon, lui-même « Pied Rouge » communiste né au Maroc ?
De même que les Pieds Noirs, les Pieds Rouges ne provenaient pas que d’Algérie, mais des pays voisins de Maghreb, Maroc et surtout Tunisie. C’est le cas de la Séfarade Tunisienne Zeiza Taïeb, devenue par mariage Gisèle Halimi, qui après avoir été l’avocate des indépendantistes Tunisiens, se spécialisa dans la défense des terroristes FLN et plus particulièrement de la poseuse de bombes Djamila Boupacha, dont, elle parvint à médiatiser les méthodes d’interrogatoire auxquelles elle avait été soumise… Plutôt que la catastrophe évitée par les artificiers ayant désamorcé la bombe qu’elle avait posée dans une brasserie d’Alger…
Ambassadeur près de l’UNESCO, député de l’Isère, intime du couple Mitterrand, Emmanuel Macron envisage de la faire entrer au Panthéon !
Témoignage vécu d’un correspondant
« Il y a 2 types de pieds-rouges :
– Quelques pieds-noirs pro-fellagha ; un nombre quasiment insignifiant. Par exemple, Jean Pierre Lledo, juif communiste d’Algérie, qui y est resté au début et a terminé avec pratiquement nos idées. Lisez ses propos sur la toile.
C’est ceux que cite JPL.
– Et les communistes, les gauchistes, les chrétiens progressistes et autres blancs racistes anti-blancs, que CDG avait envoyés pour soutenir la Satrapie Fellagha d’Alger.
Parmi ceux-là, c’est mon institutrice, à l’école mixte du Parc d’Hydra, Mme Jocou, qui nous avait traités, à l’âge de huit ans, à 24 heures d’intervalle, ma camarade de classe et moi-même de « sale petit pied-noir ».
18 mois plus tard, à Strasbourg, dans ma classe de CE2, là, c’est M. Grosclaude, instituteur chargé de débochiser les Alsaciens (un métropolitain), qui m’a recommandé d’y retourner cirer les chaussures. »
Le correspondant recommande la lecture du livre ci-dessous, car, dit-il, « c’est un ouvrage édifiant. C’est dans ce livre que le début du grand remplacement organisé par le Général de Gaulle est parfaitement expliqué. Cela pour faire taire tous les gaullâtres « de droite »». (Pour le plus grand bonheur du patronat français qui préférait la main d’œuvre malléable d’Afrique du Nord plutôt que des Français Cégétisés.)
Algérie, les années pieds-rouges, Des rêves de l’indépendance au désenchantement (1962 – 1969), Catherine Simon

Que s’est-il passé après l’indépendance de l’Algérie en 1962 ? À quoi ressemblait le pays au sortir de la guerre, une fois disparus les bateaux des pieds-noirs, une fois l’improbable tandem Ahmed Ben Bella/Houari Boumediene installé au pouvoir ? Quelles ont été les espérances de ces années-là, qui résonnaient des mots de révolution, de socialisme, d’autogestion ? En quoi éclairent-elles le destin de l’Algérie et de ses relations avec la France ? Fort mal connue, cette période est, pour la première fois, retracée dans ce livre, à travers la mémoire vive d’étrangers « amis de l’Algérie nouvelle », français le plus souvent.
Qu’ils soient médecins, instituteurs, artistes ou journalistes, qu’ils veuillent « réparer les dégâts » du colonialisme ou qu’ils rêvent de révolution mondiale, tous se veulent du bon côté du monde. Plus précisément : du tiers monde et de ses chambardements. « Alger, c’était La Havane », résume l’un de ceux qu’on désigne sous le terme de « pieds-rouges ». À travers leurs récits, une société se révèle.
Le coup d’État de Boumediene, le 19 juin 1965, a signé la fin d’un cycle. Le festival panafricain d’Alger de 1969 clôt symboliquement cette période : c’est sur ce « feu d’artifice » que s’achève le livre-enquête de Catherine Simon, solidement documenté et fondé sur les témoignages de dizaines d’acteurs de l’époque. Il est la fresque d’une époque, d’un pays, d’une aventure humaine.

































Jeune Nation TV









Dans la doctrine trotskiste on trouve des constantes:
Tout conflictualiser (tres bon discours de Melenchon au Venezuela à ce sujet.).
Le nihilisme (tout detruire pour reconstruire) afin de repartir de zéro.
Un manichéisme total(face à ces gens la on a droit à tout) …la notion de camp du bien… comme nos antifas ils vivent donc une religion.
La branche la plus dangereuse n est pas la troisième internationale mais la quatrième qui propose la subvertion anarchique en tout lieu en tout temps par tous les moyens sans hiérarchie précise.
L exemple flagrant est le syndicat sud totalement imprévisible face à la cgt totalement verrouillée et obéissante.
Particularité de la 4eme internationale est très juive à l image des leaders de Nanterre en mai 68…puis beaucoup d étrangers …ensuite de cassos et de marginaux.