Audrey Azoulay, ministre de « l’ anti-culture » autorise la pornographie aux mineurs
Communiqué de l’association de lutte contre la pornographie « DesintoX » :
« La Ministre de la Culture, Madame Audrey Azoulay, s’apprête en toute discrétion à signer un décret dont les termes suppriment l’interdiction systématique de diffusion aux mineurs des films présentant des scènes pornographiques.
La Ministre a commandé un rapport rendu en février 2016 sur le thème de la classification des productions cinématographiques, et notamment leur éventuelle interdiction aux mineurs.
A l’occasion de ce rapport, un public varié a été consulté parmi lequel on compte notamment le responsable de la revue Fanzine Darkness (sic), ainsi que « Hervé Bérard », dont on apprend qu’il serait réalisateur et scénariste.
Il est plus étonnant de constater que ce panel relativement hétéroclite ne comprend aucun représentant de la moindre association de protection de l’enfance (l’UNAF ayant été la seule association consultée, son objet social n’étant pas précisément la protection de l’enfance), ni aucune association d’aide aux mineurs porno-dépendants, ce qui ne manque pas de surprendre étant donné que ce public est très certainement le premier concerné, bien malgré lui, par ce sujet.
Du côté des organisations professionnelles en revanche, à la fois juges et parties, la consultation semble avoir été exhaustive puisque pas moins de treize syndicats de réalisateurs, producteurs et distributeurs ont été impliqués (…)
Cette instruction à sens unique a évidemment laissé son empreinte sur les conclusions du rapport et les débats qui y sont décrits et les conclusions de ce rapport ont été suivies en tous points par la Ministre.
Ces films feront donc désormais l’objet d’une appréciation par la Commission de classification qui décidera ou non de leur caractère heurtant pour la sensibilité des mineurs. Or, on connait fort bien la sévérité de cette commission en la matière puisqu’en cas d’action en justice ses avis sont presque systématiquement désavoués par les magistrats comme étant illicites pour leur laxisme (La Vie d’Adèle, Baise-moi, Antichrist, etc.).
Il semble en réalité que la publication de ce décret soit guidée non par la recherche du bien commun mais par une logique purement financière. Cette logique mercantile est d’ailleurs clairement assumée par la Ministre, qui fait passer la protection des mineurs et le respect de la loi au second plan en qualifiant la classification des films de « très importante pour [leur] vie économique » (…)
Ce dont Madame Azoulay omet en outre de faire de faire mention, ce sont les subventions auxquels les films interdits aux moins de 18 ans n’ont pas droit. On voit dès lors mieux de quel « intérêt économique » il est question.
L’idée étant en définitive de pouvoir subventionner à l’aide de deniers publics des films présentant des scènes à caractère pornographique.
Pour l’ensemble des raisons qui précèdent, l’association DésintoX proteste avec la plus vive énergie contre la discrète et illégale adoption de ce décret, motivée par un opportunisme économique préjudiciable à la protection des mineurs contre la pornographie. »
Rajoutons, pour notre part, deux citations propres à aiguiller plus précisément le regard de nos lecteurs quant aux bénéficiaires de l’industrie pornographique dont la vie économique est si précieuse aux yeux d’Audrey Azoulay :
« Il est indéniable que les juifs laïques ont joué et continuent de jouer un rôle disproportionné dans l’industrie du film pour adultes en Amérique, ce qui est devenu l’un des constituants essentiels de la culture américaine » (The Jewish Quartely, N°194, « Triple-exthnics », professeur Nathan Abrams.)
« La seule raison pour laquelle les juifs sont dans la pornographie est que nous pensons que le Christ est à chier. Le catholicisme est à chier. Nous ne croyons pas dans son autoritarisme. La pornographie est ainsi devenue une façon de polluer la culture chrétienne. » (Alvin Goldstein au site lukeford.com)