Samedi 1er décembre, troisième jour de mobilisation dans Paris. Une fois encore les forces de l’ordre ont dès le matin fait preuve d’un zèle sans égal pour réprimer les manifestants. Preuve de cet acharnement, plusieurs compagnies de CRS se sont retrouvées à cours de minution. Ce samedi, les affrontements étaient particulièrement violents. Les gilets, fort de l’expérience des précédant jours de mobilisation, sont de plus en plus rodés à la guérilla contre les fonctionnaires à la solde de la République.
Point noir tout de même, un nombre croissant de pillage de commerces et de saccages en tout genre sans aucun lien avec la contestation, proportionnel au nombre d’allogènes. La vermine rouge antifasciste quant à elle montre une nouvelle fois son vrai visage en ciblant principalement les Nationalistes au lieu de se concentrer sur l’objectif commun, faire chuter le gouvernement ! Tout le monde contre Macron, sauf les antifas.
Les pillages en marge de la manifestation donnent des arguments au pouvoir qui cherche à restreindre toujours plus les libertés et à museler toute opposition. Dans les hautes sphères on évoque d’ailleurs le retour de l’Etat d’urgence. Le pouvoir n’attend que ça afin notamment de désarmer le peuple en faisant la razzia sur les armes acquises légalement par les français.
Par leur comportement, les antifascistes et les envahisseurs étrangers sont plus que des idiots utiles, ils constituent une véritable armée de réserve du pouvoir qu’ils prétendent combattre.
Les forces de l’ordre sont à bout de souffle, Macron et Castaner sont complétement désorientés et n’ont pas le courage de prendre les mesures nécessaires pour faire revenir l’ordre dans la capitale. Il faut profiter de cette faiblesse du pouvoir pour frapper encore plus fort.
Samedi prochain, il faut une nouvelle fois se mobiliser et faire entendre la voix du pays réel afin de ne pas laisser la vermine rouge et la racaille étrangère confisquer la colère légitime des français !!
Thomas Roger
Je ne sais pas si cela a déjà été dit, mais ce qui me fait sourire dans cette histoire de gilets jaunes,
c’est que c’est le gouvernement qui l’a rendu obligatoire il n’y a pas si longtemps, toujours dans l’idée sécuritaire de faire chier et de corseter le peuple: et là, cela se retourne contre lui: si tout le monde a un gilet jaune aujourd’hui, c’est bien lui qui l’a exigé!!!
Le gilet jaune: l’obligation de trop (et d’ailleurs, j’y pense, pour revenir au gaz, les manifestants pourraient aussi emmener le détecteur de fumée, autre connerie du même genre que le gilet jaune…)