Jeremy Godfrey est le nouveau président exécutif de la Commission des médias d’Irlande. C’est lui qui aura bientôt le pouvoir et le privilège d’infliger des amendes aux médiats sociaux qui laissent passer les « discours de haine » et la « cyberintimidation ». On a tous la même idée en tête en voyant son portrait, mais il n’existe pas de biographie disponible, on ne saura donc rien de plus pour confirmer les éventuels écarts de sa maman. On ne sait pas non plus s’il est juif, il n’y a pas de page Wikipedia qui lui soit consacrée et il ne s’est pas exprimé à ce sujet ni sur ses croyances..
Sa main s’étendra bien plus loin que la petite Irlande puisque de nombreux entreprises de médiats sociaux ont leur siège et leurs bureaux de censure établis en Irlande : l’application du Digital Service Act dans toute l’Union européenne lui incombera donc. Godfrey a d’ailleurs contribué à la formulation de réglementations, notamment la réglementation sur l’Internet ouvert et la loi sur les services numériques de l’UE.
Sur Politico :
Jeremy Godfrey disposera bientôt d’immenses pouvoirs pour contrôler les médias sociaux, mais on ne sait pas encore trop comment il va s’y prendre.
Installé dans un immeuble qui n’a rien pour attirer l’œil mais qui a l’avantage d’être situé à deux pas des bureaux des géants de la technologie désormais placés sous sa surveillance, M. Godfrey est depuis neuf mois président exécutif de la Coimisiún na Meán, ou Commission des médias, en Irlande. L’autorité de régulation nouvellement créée est en première ligne pour faire appliquer les nouvelles règles de l’Union européenne en matière de médias sociaux, connues sous le nom de Digital Services Act (DSA), car de nombreuses entreprises relevant de sa compétence, comme Google et TikTok, ont leur siège européen dans la capitale irlandaise.
Mais avant le début de l’année prochaine, date à laquelle les pouvoirs de la Commission – dont la perception d’amendes potentiellement élevées en cas d’infraction – entreront en vigueur, M. Godfrey et son équipe de 75 régulateurs planchent encore à la manière dont tout cela va fonctionner.
Il ne faut toutefois pas s’attendre à de grandes surprises : tout ce qui est pro-blanc ou qui promeut le bien-être des Irlandais de souche sera interdit. Tout ce qui critique les « élus » sera formellement proscrits.
L’une des grandes tâches à laquelle ils se sont attelés en priorité en raison de l’actualité est de savoir comment empêcher les Irlandais de se défendre contre les envahisseurs du tiers monde que les hommes politiques ont laissé déferler sur leur pays.
Sur iRadio :
Les géants du net ont été accusés de laisser passer sans contrôle des contenus encourageant les émeutiers à Dublin le mois dernier.
Jeremy Godfrey, président exécutif de la commission, explique qu’en vertu du nouveau code, ce sont les plateformes qui seront tenues de rendre des comptes, et non les utilisateurs, en précisant que «la plateforme doit prévoir dans ses conditions générales l’interdiction de certains types de contenu».
M. Godfrey estime que les plateformes doivent interdire aux internautes de « télécharger ou partager des discours haineux qui incitent à la violence ou à la haine ».
Godfrey parle de la nécessité de censurer tout ce qui incite à la « haine », et pas seulement ce qui incite à la violence. Qui définit ce qu’est la « haine » et pourquoi une émotion devrait-elle être censurée ? Mystère, mais on peut déjà parier que les contenus anti-blancs ne sont pas concernés.
Sur NewsTalk :
Le président Jeremy Godfrey a déclaré à l’Anton Savage Show que les plateformes de médias sociaux « doivent tracer une ligne » et que Coimisiún na Mean « doit s’assurer que cette ligne est tracée au bon endroit ».
« Si les messages incitent à la haine, ils n’incitent pas nécessairement à la violence », a-t-il déclaré. «Parfois, le langage utilisé peut être très subtil et ne pas inciter ouvertement à la haine. Il s’agit là d’un aspect qui doit être précisément défini. Les gens doivent pouvoir signaler quelque chose et dire que ce contenu incite à la haine et, si c’est le cas, les plates-formes doivent le retirer ».
Il travaillait auparavant pour le Parti Communiste Chinois à Hong Kong, où il s’est employé à faire taire toute critique du gouvernement. Ce n’est même pas citoyen irlandais !
Salon poursuit:
« Il s’agit d’un effort collectif », a déclaré à POLITICO M. Godfrey, un citoyen britannique qui a passé plus de 30 ans dans des fonctions gouvernementales – d’abord au Royaume-Uni, puis à Hong Kong, et enfin en Irlande depuis 2013 – au siège de l’agence…
Pourquoi un citoyen britannique (qui n’est presque certainement pas Britannique) qui a censuré les Chinois de Hong Kong serait maintenant chargé de censurer les Irlandais ? Les Irlandais vont-ils tolérer une censure à la chinoise mise en place par un type au physique de commissaire politique de l’Union soviétique des grandes années, ou vont-ils parvenir à mettre un terme à cette folie ?
Traduction Jeune Nation
Source : RenegadeTribune
On imagine sans peine d’ ou peut venir ce type ….j’ ai vécu en Irlande , un pays à la population plus homogène que la notre et qui a la chance d’ avoir un climat venteux et souvent humide ce qui a l’ avantage de repousser les populations frileuses !….
N’ oublions pas que c’ est grâce aux moines irlandais que notre continent a pu connaître et défendre notre chrétienté….
Les Irlandais sauront mieux que nous défendre leur tradition
Etes-vous si sûr que les Irlandais sauront se défendre ?
Vous avez bien vu la recette que va appliquer ce commissaire politique consanguin (et peut-être même issu d’une liaison zoophile) : « les plateformes doivent interdire aux internautes de télécharger ou partager des discours haineux qui incitent à la violence ou à la haine ». Son action, loin de s’arrêter au filtrage serré du net que vont effectuer ses 75 acolytes (des tarés et des débiles comme lui), va surtout consister à amener les plateformes à s’auto-censurer, de sorte qu’il n’y aura plus la moindre chance, à très court terme, de voir une opinion encore saine passer à travers les mailles du filet.
La vraie question, c’est comment se défendre contre de tels individus ?
L’URSS n’est pas tombée grâce aux samizdats que s’échangeaient les Russes sous la table dans les cafés.
Considérer que les Irlandais sauront défendre leurs traditions, mais sans plus se demander comment, et refermer la page parce qu’on leur fait simplement confiance pour cela, c’est s’enfermer soi-même dans cette attitude passive à cause de laquelle nos ennemis tiennent désormais dans leurs mains tous les leviers de la société et font peser sur nous une chape de plomb de plus en plus pesante.
Souvenons-nous de Charlotte Corday. Qu’a-t-elle fait ? Elle est allée trouver chez lui un autre monstre, au physique certes peut-être plus avantageux, mais qui faisait en substance la même chose que celui-là.
Il ne faut pas se moquer du physique parce que c’est pas de sa faute, soit.
C’est bien une règle que ma Maman m’a apprise quand j’étais petit.
Mais du moins, à l’époque, ces gens là avaient le bon goût de se faire oublier, de ne pas se faire remarquer, de temps en temps on leur demandait s’ils voulaient du vin ou du fromage histoire de faire comme si on n’avait rien remarqué d’anormal.
Tandis que maintenant, ces créatures difformes et ou pachydermiques se mettent en avant, elles veulent qu’on les remarque, elles existent, disent-elles, et il s’agit de les écouter, elles vont nous apprendre la vie, ce qui est bien et pas bien, ce qu’il faut faire et ne pas faire, dire et ne pas dire, ce qui est beau et ce qui est laid …
Alors là, on est obligé de revenir aux fondamentaux.