Non seulement les nationalistes sont exclus du jeu démocratique, mais en plus, ils sont souvent pris en otage dans les bagarres entre rivaux à la poursuite d’un mandat électif. C’est peut-être ce qui est en train d’arriver à Vincent Reynouard qui a bien fait de se mettre au vert depuis le 25 octobre 2021.
Comme on le sait, des journalistes politiques de M6 se sont rendus à Londres où ils ont réussi à entrer en contact avec lui et à enregistrer une séquence en vue d’une émission qui devrait être diffusée début 2022, trois mois avant le premier tour de l’élection présidentielle fixée au dimanche 10 avril – sauf décès ou démission du président en exercice, Emmanuel Macron.
Eh oui, il ne faut pas être naïf, pourquoi M6 s’intéresse-t-elle ainsi brusquement à Vincent Reynouard : pour écouter ses arguments négationnistes sur les chambres à gaz ou sur Oradour-Sur-Glane ?
Non bien sûr, mais parce que la campagne est partie pour tourner autour de deux pôles, la crise sanitaire, le terrain de jeu favori de Macron qui va essayer de l’imposer, et le pôle identitaire, un pôle qui s’avère très puissant et sur lequel Macron n’a strictement rien à dire pour sa défense.
Le pouvoir et les médias sont donc en train de mettre en place une campagne lourde contre ce pôle, un véritable tir de barrage en construisant ce qu’en marketing on appelle une association négative.
Petit rappel, en publicité, on utilise plutôt l’association positive, c’est-à-dire, accoler un élément positif à un produit, par exemple une équipe de foot sur un pot de nut… pardon sur un pot de pâte à tartiner chocolat noisette. Le fait que les deux choses n’aient rien à voir l’une avec l’autre n’a aucune importance.
Dans notre vie, nous pratiquons également souvent cette association positive, comme lorsque nous disons avoir croisé telle vedette en allant manger dans tel restaurant.
Mais il existe aussi des associations négatives, là aussi, c’est au fond un phénomène que nous connaissons tous intuitivement et dont nous nous méfions comme de la peste : si un membre de la famille dont on porte le nom est pris dans une tourmente judiciaire, il y a de fortes chances qu’on n’en soit pas particulièrement enchanté.
Là, de la part des médias, on peut s’attendre à ce genre de reportage qui va tenter d’associer les patriotes à des histoires de chambres à gaz. D’où M6 et VR.
On imagine déjà ces reportages en caméra cachée réalisés au péril de leur vie par des journalistes se sacrifiant pour la presse libre et la démocratie, ces visages floutés, ces voix déformées de repentis interviewés clandestinement alors qu’ils sont menacés par les organisations néonazies auxquelles ils appartenaient, des organisations qui ont des ramifications partout en Europe et qui vivent du trafic de reliques du Troisième Reich…
Mais ça ne suffira peut-être pas, alors, le pouvoir prévoit peut-être de faire la grande mise en scène d’une rafle dans les milieux nationalistes, forcément en train de préparer un coup d’État et de fomenter des troubles à la faveur d’une campagne présidentielle tendue.
Pas impossible que BFM nous servent des images du Raid en train de fracasser des portes chez des gens qui se seraient empressé d’ouvrir si on avait simplement sonné poliment, voire de proposer une tasse de café ou de thé à leurs hôtes impromptus, en s’inquiétant, par-dessus le marché, de savoir s’ils avaient pris leur petit-déjeuner à cette heure bien matinale.
Peut-être la France adressera-t-elle une demande d’extradition au sujet de Vincent Reynouard à la Grande-Bretagne, qui refusera, bien entendu, pas pour réellement embêter Macron, mais au contraire pour l’aider en faisant en sorte que le sujet fasse les titres pendant plusieurs jours. Ça se terminera bien sûr par des images du retour de Vincent menotté en France à un moment crucial de la campagne électorale.
C’est un scénario que l’équipe de campagne de Zemmour doit absolument éviter, or, justement, il se trouve que ce dernier s’est prononcé en faveur de l’abrogation de la loi Gayssot et même de la loi Pleven : si Zemmour gagne, Vincent peut rentrer en France.
Vincent, qui avait déjà les meilleures raisons du monde de se cacher, a peut-être été contacté par l’équipe de Zemmour qui lui aurait proposé de le mettre à l’abri, au vert. La fable des policiers qu’il aurait réussi à berner sur son identité, comme si les policiers n’avaient pas en tête et dans leur poche la photo de la personne qu’ils viennent voir, n’est pas crédible, le fait qu’ils viennent le voir pile au moment où il a terminé le montage d’une vidéo cruciale pour Critias est également suspect ; une chose est sûre, avec le froid de gueux qu’il fait en ce moment, Vincent n’est pas dehors, et en outre, dans ses dernières vidéos, il n’avait de cesse de dire qu’il était « judéo-indifférent », qu’il donnait des cours à des étudiants Juifs…
Pour Zemmour, c’est quitte ou double, car si jamais Vincent est quand même attrapé, et s’il était prouvé que son équipe ait joué un rôle dans l’exfiltration de Vincent, alors il serait échec et mat.
Quant à nous, nationalistes, ne soyons pas dupes, Zemmour est un boutiquier qui vend à chacun ce qu’il a envie d’acheter, c’est vieux comme le monde et le commerce, il est navrant de voir certaines personnes de notre camp tomber dans le panneau et s’engager derrière lui : mais restons unis, ne nous laissons pas diviser par un Zemmour de passage.
Terminons en reproduisant un passage des mémoires de Raymond Poincaré qui montre qu’agiter l’épouvantail de l’extrême droite est un grand classique de la République, à l’époque, un homme politique de premier plan, Joseph Caillaux, est soupçonné d’être de mèche avec un affairiste véreux, Bolo Pacha, qui fiancerait le Journal pour faire de la propagande pacifiste en faveur de l’Allemagne.
Dans les mémoires de Poincaré alors président de la République, à la date de 29 octobre 1917, on trouve :
« J’apprends avec surprise que des perquisitions ont eu lieu à l’Action française, soupçonnée d’avoir réuni des armes et préparé un complot contre la sûreté de l’État. Je crains fort que ces mesures n’aient l’air d’une diversion fâcheuse, au moment où les affaires Bolo, Lenoir et autres sont encore en souffrance et n’aboutissent pas. Depuis le début de la guerre, Léon Daudet et Maurras ont oublié leur haine contre la République et les républicains, pour ne plus penser qu’à la France. Ils sont trop intelligents pour changer de conduite. Je ne sais pas qui a inspiré ces perquisitions au préfet de la Seine et au ministère de l’Intérieur. On perquisitionne également en province. Tout cela est bien disproportionné au péril que pourraient faire courir au pays les extravagances de quelques royalistes, s’il y avait eu effectivement des tentatives de conspirations. »
Étrange atmosphère d’une campagne qui apparemment va tourner autour du vaccin et des chambres à gaz : tout va bien.
Concernant le sort de Vincent Reynouard, évanoui dans la nature depuis le 25 octobre dernier, on lira aussi avec intérêt l’entrevue donné par un responsable des Éditions Critias parue dans RIVAROL n°3496 du du 1er décembre 2021 :
RIVAROL : Vous êtes la dernière personne à avoir vu à son domicile londonien Vincent Reynouard avant sa fuite et sa disparition le lundi 25 octobre dernier en milieu d’après-midi. Vous l’avez quitté seulement deux heures avant la descente de la police. Pouvez-vous nous raconter le pourquoi et le comment de votre visite à Londres au militant révisionniste et pouvez-vous nous relater par le menu les 72 dernières heures de Vincent avant les événements du 25 octobre vers 16 h., heure de Londres ?
VALENTIN, responsable des Éditions Critias : Cela fait désormais quelques années que je collabore avec Vincent Reynouard. Au fil des années, nous sommes devenus amis proches et nous nous fréquentions très régulièrement lorsque j’habitais moi aussi à Londres, jusqu’à la crise du Covid.
Fin octobre, j’ai décidé de rendre visite à Vincent, que je n’avais pas vu depuis près d’un an. Il n’était, initialement, pas question de faire une vidéo d’entretien mais seulement de lui rendre une visite de courtoisie le temps d’un week-end. Quelques jours avant mon arrivée, Vincent m’appelait et me proposait de faire une vidéo d’entretien, dans laquelle il dévoilerait à la caméra ses conditions de vie étonnantes. D’abord réticent, j’ai accepté, et nous nous sommes immédiatement mis au travail. Vincent tenait beaucoup à réaliser cette vidéo. Je suis arrivé le vendredi en fin d’après-midi. Le samedi a été entièrement consacré au tournage de la vidéo sur la vie de Vincent, établissant une liste de questions, réalisant des plans, etc.
Le lendemain, nous avons travaillé sur le montage de la vidéo. Pour cette vidéo d’environ une heure vingt, nous avons dû passer un peu moins d’une dizaine d’heures au montage. Il faut savoir que les vidéos de Vincent, très travaillées, prennent beaucoup plus de temps. Pour l’avoir assisté un temps, je peux vous affirmer qu’il n’exagère pas quand il affirme passer son temps à travailler. Le public, en général, n’imagine pas la quantité de travail nécessaire à la réalisation d’une vidéo richement documentée et illustrée, telle que Vincent a l’habitude de faire.
Nous avons donc publié la vidéo du lundi 25 octobre en fin de matinée, vers 11h, heure de Londres, sur YouTube et sur le compte Gab de Vincent. Je partais ensuite à l’aéroport vers 14h et me rendis compte, une fois le réseau WiFi retrouvé à l’aéroport, que Vincent avait essayé de m’appeler une fois à 15h44, sans succès. J’essaie-rais ensuite de le joindre cinq fois en une heure, mais il ne répondrait pas. La cinquième fois, l’appel allait être carrément rejeté. Cela n’est pas dans les habitudes de Vincent, je pressentais qu’il se tramait quelque chose d’inhabituel. C’est au soir, en rentrant chez moi, que j’ai appris la disparition de Vincent et la visite des policiers. Je tiens à rassurer nos lecteurs : nous sommes certains que ce sont des policiers qui ont rendu visite à Vincent, ce jour-là. Il a réussi à leur échapper. Aujourd’hui, tout laisse à penser qu’il essayait de me joindre une dernière fois avant de fuir la police et d’abandonner son téléphone.
R. : Voilà maintenant cinq semaines complètes que nous n’avons absolument aucune nouvelle de Vincent, fûtce de manière indirecte ou subliminale. Sachant que Vincent donne en général des nouvelles, des signes de vie, ce silence total qui se prolonge n’est-il pas alarmant ? Quelles sont les différentes hypothèses, les divers scénarios possibles ? Vous qui le connaissez bien, êtes-vous confiant, et si oui pour quelles raisons ?
V. : À vrai dire, ce n’est pas la première fois que Vincent disparaît ainsi. Peut-être était-il moins connu à l’époque, mais il s’est déjà volatilisé pendant plus de deux mois, avant de réapparaître sur son lieu d’exil, en Angleterre. C’était en 2015. Plus tard, dans une vidéo, Vincent raconterait qu’il était hébergé chez un ami en Belgique. Il n’avait alors donné de signe de vie à personne, pas même à ses plus proches amis. Vous-même, qui connaissiez alors Vincent depuis une quinzaine d’années, ne saviez pas où il était. Aujourd’hui, cela fait cinq semaines que nous sommes sans nouvelles. Je pense qu’il est beaucoup trop tôt pour s’alarmer. Nous ne devons pas sous-estimer Vincent, qui a plus d’un tour dans son sac. Il doit chercher à rester discret pour le moment, mais je n’ai pas beaucoup de doutes sur le fait qu’il se manifestera tôt ou tard. Peut-être pas dans les semaines à venir, certes, mais nous ne devons pas tomber dans la panique ou la paranoïa. Nous devons continuer à relayer son travail et ne pas céder à la peur. Je pense également que le manque de communication et d’informations directes autour de la disparition de Vincent ne joue pas en notre faveur. Cela nourrit des fantasmes et laisse envisager le pire. C’est pourquoi j’ai accepté votre demande d’interview.
R. : D’après vous, Vincent avait-il sérieusement envisagé cette brusque incursion de la police à son domicile londonien ou, du fait qu’il n’y a pas actuellement de loi anti- révisionniste au Royaume- Uni, se pensait-il relativement à l’abri ? Pensez-vous qu’il avait un plan précis en tête en cas de descente de la police chez lui ? Avait-il songé sérieusement à une cavale, à une longue période de clandestinité ?
V. : En décembre 2020, Vincent a déposé une demande auprès des autorités britanniques pour avoir le statut de résident permanent (avec sa vraie adresse postale), et avoir ainsi le droit de rester au Royaume- Uni après le Brexit. Il a déjà expliqué cela dans une vidéo. Parmi les questions auxquelles le candidat au statut de résident permanent doit répondre, il y avait celleci : « Avez-vous des condamnations non purgées dans d’autres pays ? ». Par honnêteté, et aussi parce qu’il se pensait en sécurité dû au fait qu’il n’y a pas en effet de lois anti-révisionnistes en Grande-Bretagne, Vincent a répondu “oui”.
Le délai moyen pour obtenir une réponse du ministère de l’Immigration à ce genre de demande est de trois mois. En octobre 2021, soit plus de dix mois après sa demande officielle, Vincent n’avait toujours reçu aucune réponse. Il savait que cela ne jouait pas en sa faveur et subodorait un refus. Nous en étions venus à la conclusion suivante : les autorités britanniques ne répondraient pas à sa demande, lui laissant de facto le droit de rester en Angleterre tout en ne le lui accordant pas officiellement. Il n’est pas à exclure, dans une hypothèse optimiste, que les policiers soient venus seulement pour lui poser davantage de questions concernant sa demande de résidence.
R. : Au moment de sa disparition, Vincent mettait la dernière main à une étude détaillée, renouvelée et actualisée sur l’affaire d’Oradour-sur-Glane. En savez-vous plus sur les conclusions auxquelles il était arrivé, sur les éléments nouveaux qu’il avait pu trouver ? Pensez- vous que ce travail pourrait avoir un lien, direct ou non, avec sa disparition ?
V. : Quand je le quittais, le lundi 25 octobre à 14h, heure de Londres, Vincent peaufinait en effet son étude sur Oradoursur- Glane. Comme vous le savez, il était question qu’il vous fournît un dossier récapitulatif pour votre procès du mercredi 27 octobre, portant sur le long article du 2 septembre 2020 que vous aviez signé et publié sur Oradour. Je ne souhaite pas, pour l’instant, divulguer les conclusions de Vincent à ce sujet. Je préfère lui donner l’occasion de les divulguer lui-même, il le fera mieux que moi. Il faudra simplement être patient.
Quant au lien supposé entre ce travail et sa disparition, j’en doute fortement. Je pencherais plutôt pour la thèse des autorités britanniques cherchant à le contacter pour des questions d’immigration, ou peut-être une demande d’extradition de la France. À mon avis, c’est un problème spécifiquement légal. Il ne faut pas croire aux revendications de certains journaux ou de certains sites internet, se vantant d’être à l’origine de la disparition de Vincent. Ces personnes pérorent, comme à leur habitude. Il ne faut leur accorder aucun crédit ni leur prêter aucune attention.
R. : Si jamais, à un moment donné, Vincent refait surface, ce que nous souhaitons tous, ne va-t-il pas se trouver en Grande-Bretagne dans une situation impossible, dans une impasse, car s’il milite à nouveau sur Internet par vidéos, s’il a de nouveau la moindre vie sociale, ne risque-t-il pas d’être aussitôt appréhendé puis extradé par la police britannique ? Ne se trouve-t-il donc pas durablement bloqué d’autant qu’il semble également difficile de l’exfiltrer, la Grande-Bretagne étant une île ? Que peut-on faire de concret pour Vincent, selon vous, actuellement ?
V. : C’est un risque en effet. En s’exilant en Grande-Bretagne, Vincent savait que sa liberté sur cette île ne durerait pas éternellement, que celle-ci ne serait qu’un répit de quelques années. Tôt ou tard, il était évident que la France demanderait son extradition, ou qu’une loi anti-révisionniste serait votée par le Parlement britannique. Vincent était donc tout à fait conscient de ce risque. Mais, condamné en France en 2015 à de la prison ferme, il a pu s’exiler au Royaume-Uni. Il a donc su franchir cette frontière.
Je crois que le moyen le plus efficace pour continuer à soutenir Vincent est de diffuser ses travaux, qu’ils soient sous forme de vidéos – que l’on peut trouver sur son blogue – ou sous forme papier – disponibles sur la boutique Sans Concession, qui continue de tourner, et via notre site des Éditions Critias. Comme les lecteurs de RIVAROL l’ont peut-être vu dans la vidéo-interview que nous avons publiée, Vincent consacre toute sa vie et toute son énergie à travailler. Je pense que le meilleur service que nous puissions lui rendre, pour le moment, c’est de diffuser au maximum ce pour quoi il se donne tant.
R. : Vous avez créé et vous dirigez les Editions Critias. Pourquoi ce nom et quel est le but de cette toute nouvelle maison d’édition ? Que proposez-vous à son catalogue ?
V. : Nous avions le projet initial de publier, avec son accord, des textes de Vincent portant sur la philosophie… d’où le nom choisi de “Critias”, en référence au Critias de Platon. Mais notre maison d’édition a rapidement changé d’orientation, surtout depuis les récents événements contés ci-dessus. Nous continuons – et continuerons – à publier des textes de Vincent, certains inédits, mais également à republier des documents historiques concernant, entre autres, la période historique qui nous intéresse, celle-là même qui est l’objet d’étude de Vincent Reynouard : la Seconde Guerre mondiale, et le XXe siècle en général. Ainsi, nous venons de rééditer deux ouvrages méconnus de Philippe Henriot. Le 6 février 1934, contant les tenants et les aboutissants de cette journée funeste, et Ici Radio France, recueillant les allocutions de « l’homme à la voix d’or » sur Radio-Paris. Nous avons trop souvent l’habitude d’entendre un seul son de cloche concernant cette période, les interventions de Pierre Dac à Radio Londres ont totalement occulté celles de son talentueux adversaire de Radio-Paris. Nous éditons également un ouvrage inédit de Vincent Reynouard, Sauver la France et l’Europe, itinéraire idéologique d’un national-socialiste contemporain, dans lequel Vincent détaille son parcours idéologique et explique pourquoi il se définit comme national-socialiste.
Propos recueillis par Jérôme BOURBON.
Source : The Savoisien
Merci de nous donner des nouvelles de Vincent.
Excusez-moi mais c’est parler pour ne rien dire.
Courage Vincent je sais que vous n’en manquez pas. Peut-on encore de nos jours dire ce que l’on pense ? Même en Angleterre il semblerait qu’aujourd’hui ce ne soit plus le cas. Je crois plutot que vous etes pourchassé par les les tenants de la « bienpensance ». De tout coeur avec vous.
F.Faroux.
A l’heure où l’on sort des archives sur la guerre d’Algérie, pourquoi ne pas exiger de sortir les comptes rendus faits par les séminaristes qui sont venus sur place, « nettoyer » le terrain et ensevelir les morts à Oradour ? Ces documents bloqués 30 ans et pour lesquels il y a eu une prolongation de 50 ans. Afin que ceux qui « savent » soient tous morts. La radio de l’époque ne tenait pas le langage actuel et parlait beaucoup de Gingouin!!!!
Ça sent vraiment l’entourloupe cette disparition de V.R. Dans tous les sens.
Le neveu de Faurisson travaille pour Eric Zemmour, il est chargé de recruter les futurs députés.
Le lien vers é&r qui avait initialement annoncé la nouvelle a été fermé, mais on retrouve la même chose sur Libération
https://www.liberation.fr/politique/le-neveu-du-negationniste-robert-faurisson-dans-lequipe-deric-zemmour-20211210_77GXZOAOVVFMBEXOHVE6KWFJ6M/