Ces dernières années, le terrorisme islamiste a fait en Europe plusieurs centaines de morts. Malgré cela, aucun plan de rapatriement massif n’a été mis en place. Aucune réelle mesure n’a même été prise pour assurer la sécurité des transports en commun en Europe alors même qu’ils ont été la cible privilégiée des islamistes depuis de nombreuses années.
Six jours après l’attentat avorté dans un Thalys, dix ans après les massacres de Londres, onze après ceux de gare d’Atocha à Madrid, les ministres de l’Intérieur des Transports des différents pays de l’Union européenne (UE) se sont réunis. Aucune décision n’a été prise, mais ils ont évoqué des mesures qu’il faudrait instaurer.
Ainsi, des billets nominatifs pourraient être instaurés – mais uniquement sur les lignes internationales. Deuxième autre grande mesure : augmenter les contrôles « coordonnés et simultanés » « sur des trajets ciblés », car c’est « indispensable » selon l’ami des clandestins et celui qui laisse les émeutiers gitans interdire la circulation et dégrader les autoroutes Bernard Cazeneuve.
Dernière grande mesure évoquée : « là où c’est possible », des patrouilles internationales seront organisées et le contrôle des bagages renforcé.
Cette absence totale de réaction des gouvernants rend plus compréhensible la seule parole vraie de François Hollande depuis son élection :
« Nous devons nous préparer à d’autres assauts ».
Ce n’est certainement pas la politique de son gouvernement, qui cède devant les terroristes, comme devant les criminels gitans, comme devant l’invasion, qui risque de les empêcher.