La liste des victimes de l’invasion ne cesse de s’allonger, les crimes de l’occupant, des très médiatiques attentats terroristes de Paris et Saint-Denis aux crimes commis quotidiennement contre les populations européennes, agressions, viols et meurtres, touchant sans discrimination tous les peuples dont les gouvernants ont juré la perte.
Après plusieurs jours de silence, les autorités ont confirmé l’arrestation de deux criminels étrangers pour le viol d’une adolescente de 14 ans à Kempele (Ostrobotnie du Nord), dans le centre de la Finlande. Le gouvernement a confirmé qu’il s’agissait bien d’un étranger, sans confirmer qu’il s’agissait d’un demandeur d’asile.
Cela fait pourtant peu de doutes : le crime a été perpétré tout près d’un bâtiment réquisitionné par le gouvernement pour y imposer les envahisseurs. Une incertitude demeure puisque, avant cette dernière vague d’étrangers inassimilables imposés, d’autres étrangers ont été importés dans la petite ville, passée en quelques décennies de 2 594 habitants (1957) à 10 791 (1995) et 16 902 (2015). Avant l’invasion, la ville était connue pour être un lieu de vie paisible et dynamique, avec un taux de criminalité très bas (3,77 crimes violents pour 1 000 habitants).
Les faits se sont déroulés lundi dernier. La jeune fille marchait dans la rue dans la soirée quand elle a été agressée et violée. Deux habitants ont pu intervenir pour mettre fin à son calvaire. Le ou les violeurs – un seul a été inculpé, mais deux avaient été arrêtés – se sont échappés, mais ont été rapidement retrouvés par les policiers dans un centre pour « demandeurs d’asile » à un kilomètre de là.
Le gouvernement, constitué par une alliance entre libéraux, conservateurs et droite nationale avec les Vrais Finlandais (PS, Perussuomalaiset), envisage (!) de modifier la loi pour permettre l’expulsion des prétendus « demandeurs d’asile » s’étant rendu coupables de crimes graves. De façon encore plus hallucinante, les autorités ont diffusé un message à destination des envahisseurs leur demandant « d’éviter d’approcher les filles finlandaises pour leur propre sécurité ».
Aucun message n’a été diffusé aux jeunes Finlandaises pour leur rappeler le caractère mortifère de l’invasion, ni que les envahisseurs les considèrent comme des proies.
Les incidents mettant en cause les envahisseurs ne cessent d’augmenter en Finlande. L’un d’eux a été éliminé lors d’un affrontement entre un groupe de colons et des Finlandais dans la nuit de samedi à dimanche à Pargas (Province du Sud-Ouest).
Ce sont surtout les jeunes filles qui sont visées pour de multiples raisons. Selon la police, une dizaine de viols ont été perpétrés cette année par des migrants ; trois l’ont été ces dernières semaines, dont un autre crime il y a quelques jours à Raisio.