L’opération « Rising Lion », mobilisant près de 200 avions de chasse, a visé des cibles stratégiques sur le territoire iranien : sites nucléaires, bases militaires, logements civils, domiciles de scientifiques et de hauts responsables. Bilan provisoire : plus de 78 morts, 329 blessés, plusieurs enfants tués, des quartiers entiers soufflés.
Cette attaque n’a rien d’un réflexe de légitime défense. C’est une provocation militaire mûrement préparée, une déclaration de guerre masquée, une tentative de saborder les efforts diplomatiques en cours entre l’Iran et les États-Unis. Elle a été déclenchée en pleine session du Conseil des gouverneurs de l’AIEA, et à la veille de discussions à Oman. Un coup de poignard contre toute perspective de négociation. L’objectif est clair : empêcher tout rééquilibrage régional, maintenir la domination israélienne sur le Levant, et perpétuer la logique du chaos. C’est la vieille stratégie du sionisme militant : la guerre comme instrument de survie politique.
Face à cette agression, la République islamique a opposé sa dignité. Le nouveau chef des Gardiens de la Révolution, le général Pakpour, a promis que « les portes de l’enfer s’ouvriraient sur le régime sioniste ». Le droit à l’autodéfense, inscrit dans la Charte des Nations Unies, est aujourd’hui plus que jamais d’actualité. La riposte iranienne fut immédiate : une centaine de drones lancés vers Israël. Si la plupart ont été interceptés, le message est clair : l’Iran n’est pas l’Irak. Il ne tombera pas à genoux. Il défendra son sol, son peuple, son honneur.
Dans cette tempête, une voix s’est élevée pour dire la vérité sans détour : celle de la Russie. Le ministère russe des Affaires étrangères a publié une déclaration d’une clarté exemplaire : « Nous condamnons fermement l’action militaire menée par Israël, en violation de la Charte des Nations Unies. » Moscou dénonce une attaque non provoquée, cynique, criminelle. Elle exige que l’AIEA évalue les risques radiologiques, et accuse Jérusalem-Ouest d’avoir saboté les efforts de paix. L’ambassade russe parle d’un acte qui « brise la sécurité régionale et internationale ». C’est une voix qui tranche avec le silence complice des chancelleries occidentales. Une voix de vérité dans un océan de mensonge.
À l’échelle internationale, les réactions confirment la fracture entre les peuples et leurs dirigeants. Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, se dit « préoccupé » mais se garde bien de désigner le coupable. Emmanuel Macron « appelle à la désescalade », tout en bavardant avec Netanyahou. Hypocrisie typique. Le Premier ministre britannique Keir Starmer parle de « frappes préoccupantes ». Rien de plus. La Chine, plus cohérente, condamne la violation de souveraineté et appelle à une désescalade réelle. Le président Erdogan dénonce le « banditisme israélien » et appelle à stopper l’escalade. Riyad condamne une attaque contre un « pays frère ». Quant aux États-Unis, Donald Trump nie toute implication militaire, mais soutient moralement l’agression. Le sénateur Ted Cruz, lui, applaudit l’opération. Une ligne de fracture se dessine donc clairement : d’un côté les complices du sionisme, de l’autre ceux qui osent appeler un crime un crime.
Il est essentiel de comprendre que cette arrogance israélienne repose sur des fondations solides : l’aide américaine. Israël agit avec l’arrogance de ceux qui savent qu’ils ne risquent rien. Et pour cause : ce sont les contribuables américains qui paient la facture. 3,8 milliards de dollars par an. Plus de 10 millions de dollars par jour. Ce n’est pas une alliance, c’est une dépendance toxique. Sans cet argent, sans ce soutien diplomatique, technologique et militaire, l’État hébreu ne pourrait pas se permettre de défier impunément le droit international. C’est l’Amérique qui permet la guerre. C’est Washington qui arme l’agresseur.
Et maintenant, la question se pose : où cela nous mène-t-il ? Le spectre d’un embrasement total n’a jamais été aussi réel. Une guerre Israël-Iran pourrait dégénérer en un conflit régional impliquant le Liban, la Syrie, l’Irak, le Golfe, voire les puissances mondiales. Le moindre dérapage pourrait transformer l’escalade actuelle en guerre globale. Ce n’est pas l’Iran qui veut la guerre. Ce n’est pas l’Iran qui bombarde des centrales ou assassine des chercheurs. Ce sont ceux qui prétendent défendre la « sécurité » qui sèment le feu.
Cette agression est le symptôme d’un mal plus profond : l’impunité institutionnalisée dont jouit Israël depuis sa création. Impunité militaire, diplomatique, judiciaire. Impunité garantie par l’argent et l’aveuglement des élites occidentales. Mais cette époque touche à sa fin. L’histoire change. Les peuples se réveillent. Et avec eux revient le sens du juste et de l’injuste.
Il portera le nom de justice. Il faudra briser l’occupation sioniste, qu’elle soit en Palestine occupée ou dans le reste du monde.
Car le sionisme n’est pas seulement un projet colonial en Terre sainte : c’est un système global, une matrice idéologique et financière qui gangrène les centres de décision, les médias, les banques, les organisations internationales, les universités, et jusqu’aux gouvernements occidentaux eux-mêmes. Il impose sa vision, dicte les alliances, manipule l’opinion publique, criminalise ses opposants.
Ce pouvoir tentaculaire, qui étouffe les peuples et soumet les Nations à ses intérêts, devra être démantelé. La souveraineté des peuples exige la fin de cette emprise. La paix véritable passe par l’éradication de cette domination. Le monde ne retrouvera l’équilibre que lorsqu’il aura mis fin à l’influence mondiale du sionisme.
Et ce jour viendra. Par la lucidité des peuples, par leur résistance organisée, par la reconquête de leur liberté politique, culturelle et spirituelle.
Bien vu. Bien dit…
Voilà pourquoi la communauté de lumière utilise le moteur d’antisémitisme tous les jours (cf cnews) pour conditionner l’absence de réaction et la paralysie contre ses crimes prémédités.
Totalement d’accord avec vous ! Votre conclusion est sans appel :
« Ce pouvoir tentaculaire, qui étouffe les peuples et soumet les Nations à ses intérêts, devra être démantelé. La souveraineté des peuples exige la fin de cette emprise. La paix véritable passe par l’éradication de cette domination. Le monde ne retrouvera l’équilibre que lorsqu’il aura mis fin à l’influence mondiale du sionisme ».
Mais encore, combien de morts pour en arriver là ?