« Nous ne vivons pas dans une vraie démocratie, nous le savons parce que tout le monde a peur. Les dirigeants ont peur du peuple, c’est pour cela qu’ils imposent des lois de bâillon et les gens normaux ont peur de ceux qui sont au pouvoir, donc ils n’osent pas dire ce qu’ils pensent » (Ursula Haverbeck, 2007)
« Nier » ou « banaliser » l’Holocauste est un crime en Allemagne lorsque les propos sont prononcés lors d’une réunion ou en public d’une manière susceptible de troubler la paix publique, au titre de l’incrimination de « l’incitation à la haine » de l’article 130 du Code pénal allemand et puni d’une amende ou d’un emprisonnement jusqu’à cinq ans. Ursula Haverbeck, 95 ans, qui vit dans l’État de Rhénanie-du-Nord-Westphalie dans l’Ouest de l’Allemagne, a déjà été condamnée – et embastillée – à plusieurs reprises pour cette « incitation à la haine » au cours des 20 dernières années.
Jugée en 2022, un tribunal berlinois l’avait condamnée à un an de prison sans sursis pour incitation à la haine. Le verdict est définitif, mais la peine de prison pour ce dossier n’a – pour l’instant – pas encore été mise à l’exécution.
Précédemment le 12 novembre 2015, Ursula Haverbeck avait été condamnée à 10 mois de prison ferme, sans possibilité de libération conditionnelle, par le tribunal de district de Hambourg. Elle a fait appel, et près de neuf ans plus tard, l’affaire revient donc à nouveau devant les tribunaux.
Cette affaire concerne des propos qui auraient été prononcés en avril 2015, en marge d’un procès contre Oskar Grôning (un ancien SS condamné par la suite), au tribunal de district de Lunebourg et lors d’une interview télévisée. Selon les procureurs, Ursula Haverbeck aurait déclaré aux journalistes qu’Auschwitz n’était pas un camp d’extermination mais un camp de travail, et dans l’entrevue télévisée pour l’émission « Panorama », elle aurait nié qu’une extermination de masse des Juifs s’y soit produite.
Se défendant d’avoir « jamais nié l’Holocauste », Ursula Haverbeck a toujours affirmé qu’elle n’a fait que poser des questions qui sont restées sans réponse. « La procédure intervient à un moment où l’antisémitisme est à nouveau en hausse », a déclaré le juge, lui reprochant que, dans les reportages télévisés, ses propos n’étaient pas des interrogations, mais des affirmations. Questionnée sur sa position aujourd’hui à ce sujet, Ursula Haverbeck a confirmé ses précédentes explications, terminant par « Stop aux mensonges » !
Dans son réquisitoire, le procureur a déclaré qu’Ursula Haverbeck est « une incorrigible antisémite d’extrême-droite » tentant de se défendre « en utilisant des sources pseudo-scientifique pour étayer des thèses grossières », réclamant sa condamnation à 1an et 6 mois de prison ferme. Notons qu’Ursula Haverbeck avait obtenu en janvier 2023 d’un tribunal de Berlin de ne pas être incarcérée dans le cadre de cette procédure en cours, mais il apparaît maintenant que cette mesure humanitaire, n’était qu’un odieux chantage pour la contraindre à se repentir lors de l’audience qui vient de se dérouler.
L’appel d’Ursula a donc été rejeté et le verdict a été confirmé. « Vous avez délibérément nié », a déclaré le président du tribunal d’appel régional de Hambourg, le 26 juin, la condamnant à un an et quatre mois de prison ferme.
A la grande satisfaction d’une société vantant la « tolérance » en ce qui concerne le « vivre-ensemble » et ses enfants – pourtant parfois bien turbulents -, Ursula Haverbeck, première lauréate du Prix Robert-Faurisson en 2019, poursuit stoïquement son chemin de croix. Privée de sa liberté, isolée de son milieu social, de ses amis indignés contre l’Etat-croupion « allemand » si fort avec les faibles et si faible avec les forts qu’il en devient la caricature du régime qu’il dénonce pour que « plus jamais ça ne se reproduise », quand bien même il se livre lui-même à une surenchère qui aboutit à surpasser l’inconcevable.
La presse de caniveau, notamment allemande mais pas que, tente de présenter l’affaire comme un fait divers qui ne concerne que la personne impliquée, en insinuant qu’Ursula Haverbeck ne doit s’en prendre qu’à elle-même à cause de ses « provocations à répétition », feignant de ne pas comprendre qu’elle n’agit pas pour elle-même, mais pour ses compatriotes victimes d’une tromperie éhontée qui se traduit par la servitude du peuple allemand dans son ensemble, sauf ses dirigeants… depuis plus de 80 ans.
Les articles en question rapporte les propos du juge, selon lesquels Ursula Haverbeck serait en bonne forme, bien qu’elle se déplace en chaise roulante… Cela montre à quel point ce juge joue à l’imbécile, ce qui est un outrage à la dignité de la prévenue, ou un indice de sa faible capacité de discernement. C’est surtout une perfidie qui laisse entendre qu’Ursula Haverbeck est suffisamment en forme pour finir ses jours en prison. Pire encore, on l’a incitée à se repentir en la menaçant d’un châtiment inhumain pour une personne de son âge, en raison de ses propos autour d’Auschwitz et de l’Holocauste.
Car Ursula Haverbeck refuse d’abjurer et d’admettre que six millions de Juifs ont été exterminés, elle insiste sur le fait que beaucoup sont morts de faim et de maladies causées par le blocus allié et elle persiste à dire qu’Auschwitz était un camp de travail pour l’industrie de guerre, s’appuyant sur les recherches multidisciplinaires du courant du révisionnisme historique.
Haverbeck n’a jamais blessé, volé, insulté ou fait d’autres choses malveillantes à qui que ce soit mais elle pourrait quand même redevenir bientôt la femme emprisonnée la plus âgée au monde pour un crime de la pensée, quelques mots, quelques questions, un avis différent sur des événements historiques…
Ursula Haverbeck a récemment fait un petit topo sur le plan Hooton traduit par Didi 18, elle y fait le rapprochement avec la crise migratoire actuelle:
Ill existe trois publications de citoyens américains réputés qui portent sur la question: « What
do we do with the Germans after the end of the war? » [Que faire des Allemands après
la guerre ?] Ils présumaient donc qu’ils gagneraient cette guerre. Ces trois personnages se sont
concertés et ont chacun apporté leur réponse à la question.
Par ordre chronologique:
Pour le premier il s’agissait du Dr. Earnest Hooton, anthropologue 1887 – 1954. C’était un important chercheur universitaire. Il est l’auteur du plan Hooton-Plan, que j’ai ici. Il est maintenant disponible, seulement certains passages de celui-ci sont traduits en Allemand, publié à la Hanse-Buchwerkstatyt, à Bremen. Il est intitulé « Breed the desire for war out of the Germans » [Extirper le gène guerrier de l’Allemand]. Tel fut le thème de cet anthropologue: comment peut-on y parvenir.
Le second est un éminent avocat, un membre de la loge B’nai B’rith, Louis Nizer. 1902 –
1994 et a écrit un livre intitulé, d’une simple question : « What To Do With Germany? » [Que
faire de l’Allemagne ?] Ce livre a également était traduit en Allemand : « Was sollen wir also
mit Deutschland machen? » Les options dont parlait Nizer étaient les suivantes : soit remplacer
la population par une autre, ou exterminer le peuple, ou un programme de reproduction
sélective, ou selon les opinions politiques de chacun, l’expulsion forcée. Bref, un ensemble de
mesures fort sympathiques pour les Allemands.
Le troisième enfin, était Theodor Kaufman. 1910 – 1978 et ce livre, qui surpasse les autres,
« Germany Must Perish » [L’Allemagne doit périr] Il était déjà traduit en Allemand in 1941.
Nous pouvons donc assumer que les politiciens allemands et les penseurs d’Allemagne étaient
au courant de tout cela. La seule option possible pour Kaufman c’était une totale punition pour
l’Allemagne. L’Allemagne devait disparaître, pas en rêve, mais pour de vrai.
Tout peuple resistant au peuple elu donc aux forces vetero testamentaires doit etre livre en holocauste…
A aucun moment vous ne rappelez qu’Ursula Haverbeck, la « Grande Dame allemande », a bel et bien été incarcérée : née en 1928 elle a, malgré son grand âge, été incarcérée à la prison de Bielefeld du 7 mai 2018 au 5 novembre 2020 !!!
Votre post ne s’adressait pas spécialement à moi, mais je vais faire comme si:
je pense qu’Ursula est surtout attentive, soucieuse, de la portée et de la diffusion de ses messages, la prison, elle s’en moque complètement, de toute façon, pour elle, l’Allemagne est aujourd’hui une gigantesque prison à ciel ouvert pour tous les vrais Allemands.
La prison ne grandit pas ses messages, et, en effet, logiquement nous devrions parler d’elle pour ce qu’elle publie plutôt que pour ses déboires judiciaires, si ce n’est que nous ne pouvons pas plus en France qu’en Allemagne parler de ce dont elle parle.
Oui , je lui avais envoyé une carte lors de son dernier emprisonnement .La haine de ces répugnants étres de la Force obscure est sans limite Je pense que le but est de la faire mourir en prison .
A lire absolument « cruelles moissons » publié chez Akribeia
Un ouvrage qui révèle les plans d’extermination des Allemands « mis au point » par des intellectuels proche des décideurs américains dans l’immédiat après guerre…
Entre autre:
– Soit par stérilisation de l’ensemble de la population par 80 000 médexcins dépêchés sur les lieux
– soit par la suppression programmée des capacités alimentaires du pays
et autres plans sortis de l’imagination débordante des judéo-ricains
https://www.akribeia.fr/akribeia/84-cruelles-moissons.html
Le seul crime du peuple allemand c est d avoir propose une 3 voies …Les 2 premieres etant juives [ultraliberalisme et ultrasocialisme]. L eglise etant deja moralement en faillite depuis la naissance du protestantisme c etait pour un peuple moralement encore recuperable la derniere option. Jamais la pax judaica ne pouvait et ne devait tolerer une 3 voies . Le sort du peuple allemand c est le sort des Amalecites ainsi l axe city wall street jerusalem maintient en place ses esclaves depuis 1814…
« membre de la loge B’nai B’rith, Louis Nizer (1902/1994) a écrit un livre intitulé, d’une simple question : « What To Do With Germany? » [Que
faire de l’Allemagne ?]. Les options dont parlait Nizer étaient les suivantes : soit => remplacer
la population par une autre, ou exterminer le peuple, ou un programme de reproduction
sélective »…
France Culture, infos de 12H30, le journaliste « le concept de grand remplacement est un concept nazi… ».
Dire la vérité est une incitation à la haine par une nonagénaire .
Voilà la liberté d’expression dans les démocrassies. Voilà où on en est arrivé, à force de mensonges sur cette période de l’histoire.
L’Homme est capable de tout, du meilleur comme du pire. Les populicides ne sont pas nouveaux. Avec la TERREUR Ripoublikhaine le génocide se modernise, avec les marxistes il s’institutionalise, avec le nazisme il s’industrialise. Je ne connais pas dans le détail les thèses du Professeur Faurisson ; j’ ai un aprioris plutôt défavorable concernant celles-ci. J’ ai un avis encore plus défavorable concernant cette hystérie et ses acharnements visant à ordonner à chacun quoi penser. Cette démocrassouille devient aussi totalitaire que le bolchevisme
Tout notre soutien à cette dame si courageuse, pour que la Vérité éclate, car la Vérité rend libre.
Le pape de la Globale religion vient de renouveler ce jour sa haine des « populistes » et de la culture du « Rejet » qui menacent la Démocratie .Et ce à Trieste .