La Légion des volontaires français contre le bolchévisme (dite Légion des volontaires français ou LVF) est créée le 6 juillet 1941, 15 jours après le déclenchement de l’opération Barbarossa. Cette naissance est portée par une galaxie de partis nationalistes, notamment le RNP de Marcel Déat, le PPF de Jacques Doriot, et le MSR d’Eugène Deloncle. Elle est intégrée dans la Heer au sein de la Wehrmacht comme Infanterie Regiment 638.
En Pologne, au camp de Deba où sont cantonnés les volontaires de la LVF, le 30 août 1941 se déroule une cérémonie du serment, au cours de laquelle Mgr Jean de Mayol de Lupé bénit le drapeau de la LVF et prononce une homélie : « Dieu protègera les défenseurs de la civilisation chrétienne ».
Fin novembre, les deux premiers bataillons de la Légion des Volontaires Français contre le bolchevisme arrivent en Russie. Ils montent en première ligne le 1er décembre 1941 au sud du lac de Djoukova, à une soixantaine de kilomètres de Moscou. Ils sont décimés par les combats et les survivants sont relevés le 7 décembre.
Une autre trempe qu’Hervé Ryssen.
Je suis triste pour cet internaute qui fait ce commentaire inutile à propos d’Hervé Ryssen. J’espère pour lui qu’il connait la prison ou qu’il a fait des actes très courageux dans sa vie, autres que des commentaires de clavier pour dire une ânerie pareille.
Pensez seulement à Ursula Haverbeck, Horst Mahler, Wolfgang Frölich, Gerd Honsik, Ernst Zündel, Sylvia Stolz, Vincent Reynouard, voire Robert Faurisson (et j’en oublie sûrement).
Pour les épreuves, le but n’est pas de faire des concours, mais d’être sûr de ce qu’on dit et de ce qu’on porte, on espère que HR trouvera les ressources pour se ressaisir.