1920 aux États-Unis, après une campagne d’attentats à la bombe orchestrée par les anarchistes et les communistes, une deuxième descente de police – à grande échelle cette fois – est ordonnée par le procureur général nommé en 1919 par Woodrow Wilson : Mitchell Palmer.
La rafle conduira à l’arrestation de quelque 10 000 suspects, dont 6 000 – pour une bonne part des Juifs d’Europe de l’Est – seront placés en détention en vue de leur expulsion ultérieure du territoire américain. Mais en raison du zèle d’un haut fonctionnaire au Department of Labor, Louis Freeland Post, plus que probablement un crypto-Juif, son père était « commerçant à New York » et auteur d’articles et de livres pour le compte de l’organisation sioniste américaine, il n’y aura finalement que 556 expulsions effectives.
Trop peu, trop tard surtout, l’élite WASP s’était bien trompée de cible, les plus dangereux, ce n’était pas forcément, malgré la révolution judéo-bolchévique de 1917, des Juifs communistes, mais des cousins, les capitalistes propriétaires des grands médiats (dont le New York Times) ou les intellectuels régnant sur les campus : en 40 ans ils vont lancer la « contre-culture », le féminisme, le mouvement des droits civiques et faire tomber toutes les restrictions à l’immigration non blanche.
À noter que cette affaire sera l’occasion pour Edgar Hoover de faire ses premiers pas à la tête de la police politique américaine. Le 1er août 1919, il était nommé à 24 ans par Palmer à la tête du General Intelligence Division, chargé d’identifier les groupes subversifs et leurs meneurs. Il sera ensuite directeur adjoint du BOL, l’ancêtre du FBI. Du FBI, il sera le premier directeur à la création du service en 1935, et il le restera jusqu’à sa mort en 1972 : grâce aux dossiers qu’il constituait, il tenait tout le monde et était inamovible ; à sa mort, on s’est dépêché de changer les statuts de l’agence pour interdire qu’elle ne soit dirigée par la même personne plus de huit ans.
Quant à Palmer, il va payer cher de s’en être pris aux migrants juifs d’Europe de l’Est. Le 28 mai 1920, un rapport de l’American Civil Liberties Union – laquelle avait justement était créée après les raids Palmer, un peu comme la Ligue des Droits de l’Homme avait été créée en France en 1898 suite à l’affaire Dreyfus – dénonçait les méthodes illégales du GID. Le rapport était signé de Felix Frankfurter, comme par hasard. C’en était terminé des ambitions politiques de Palmer, un temps pressenti pour être candidat du Parti démocrate pour succéder à Wilson, il sera écarté de la course à l’élection présidentielle, après avoir fait « le sale boulot ».
Article absolument parfait ! Une fois de plus, dès le second chapitre, l’accent est mis sur l’essentiel !
La « Lettre de Jeune Nation » est décidément insurpassable.
Notons, de plus, et pour aller au fond des choses, que ces mêmes immigrés d’Europe de l’Est qui ont finalement asservi les USA en prenant le contrôle de la Réserve Fédérale – c’est à dire du dollar – sont des descendants de Khazars convertis au judaïsme au VIIIème siècle… comme un certain Zelenski et ses semblables qui livrent aujourd’hui l’Ukraine à l’oligarchie financière US.
Conclusion à en tirer : Les petits esprits qui ne voient dans l’Histoire qu’une suite d’évènements sans liens entre eux sont inaptes à toute analyse politique. Ce qui se déroule sous nos yeux en Ukraine en témoigne : n’était-ce pas le Jewish Chronicle de Londres qui publiait déjà en octobre 1925 « Les riches terres de l’Ukraine et les champs fertiles de Crimée sourient au peuple juif » ? Et Alexandre Soljenitsyne, qui relaie cet article du Jewish Chronicle de préciser : « Ce projet fut activement soutenu par le puissant « Joint Comittee » Américain. »
L’annexion de L’Ukraine au profit de qui vous savez et avec l’aide des USA ? C’est la réalisation d’un projet datant des premières décennies du XXème siècle…
Tout le reste n’est que propagande à l’usage des décérébrés !