On n’a pas le temps de reprendre son souffle. A peine le déconfinement s’esquisse-t-il — et il est loin d’être achevé puisque la phase 3 ne débute que le 22 juin ! — que des émeutes raciales d’une grande ampleur et souvent accompagnées de violences et de pillages se donnent libre cours aux Etats-Unis et en Europe, à la suite de la mort, le 25 mai, du délinquant de couleur George Floyd, par ailleurs drogué et acteur de films pornographiques, ayant été condamné à Houston en 2009 à cinq ans de prison ferme pour des cambriolages à main armée. La technique de plaquage ventral utilisée par les policiers de Minneapolis dans le Minnesota avec maintien du genou sur le cou pendant de longues minutes est évidemment choquante et, à moins que d’autres informations viennent demain infirmer ce diagnostic, il semble bien qu’il y ait eu là une forme de bavure policière. Mais, quelle que soit la responsabilité des forces de l’ordre, George Floyd est tout sauf un enfant de chœur : il a un lourd passé judiciaire, la police est intervenue à l’appel d’un épicier chez qui il avait, semble-t-il, acheté des cigarettes avec un faux billet et il se trouvait en état d’ébriété. D’après l’autopsie, il était également drogué au fentanyl, un anti-douleur puissant et dangereux, qui est utilisé par beaucoup aux Etats-Unis comme une drogue, aux effets particulièrement dévastateurs. Il est donc difficile de dire avec certitude à ce stade ce qui a provoqué la mort de George Floyd. Mais cette malheureuse affaire, dont nous ne connaissons pas encore tous les tenants et aboutissants, a permis une nouvelle manipulation des masses, au niveau mondial, et singulièrement en Occident.
Après avoir alerté contre un virus meurtrier, le Covid-19, qui justifiait la suppression des libertés fondamentales, celles de circuler, de se déplacer, de se réunir, de rendre un culte public à Dieu, voici que l’on tempête contre le prétendu racisme de la police et plus généralement des Blancs, éternels coupables qui ne sont bons qu’à sans cesse se repentir et multiplier les génuflexions. Ce qu’hélas beaucoup d’entre eux ont fait, en posant le genou à terre, demandant ainsi pardon aux Noirs en général. Est-il possible d’aller plus loin dans l’ethnomasochisme indigne et suicidaire ? On remarquera que dans les manifestations organisées contre le racisme anti-Noir, la plupart des Blancs qui y participent sont jeunes, ce qui n’est pas étonnant, les jeunes générations ayant été biberonnées à l’antiracisme unilatéral, totalitaire, laïc et obligatoire, dès le jardin d’enfants. On voit là la victoire idéologique de Sos-Racisme et de ses pseudopodes. En quelques décennies, on a réussi à lobotomiser une grande partie de la jeunesse occidentale, et pas seulement elle d’ailleurs.
Dans la rue, dans leur voiture, dans les boutiques, beaucoup de nos compatriotes portent docilement le masque, même sans y être obligés, et reprochent même parfois à ceux qui n’en portent pas de n’en point avoir ou d’être insuffisamment respectueux de la fameuse distanciation sociale, et voilà que désormais l’on voit un grand nombre de Blancs en Occident mettre le genou à terre, au propre comme au figuré, devant une autre race que la leur. Non pas pour demander pardon d’une faute personnelle, mais pour expier une prétendue monstruosité collective, se soumettre aux puissants du jour. Qu’a-t-on fait des peuples européens, de leur fierté, de leur identité, de leur conscience d’eux-mêmes, de leur esprit critique ?
Il y a pire qu’une invasion, c’est l’acceptation de cette invasion, la soumission aux envahisseurs. Le pire Grand Remplacement n’est pas celui des corps, c’est celui des âmes. Même conquis, un peuple, une race, une communauté, une ethnie peuvent survivre, durer et préparer un jour une reconquête. Ce fut le cas des Espagnols pendant les longs siècles de la Reconquista. A condition toutefois de ne pas avoir oublié ses racines, à condition de savoir d’où l’on vient, ce que l’on est, ce que l’on veut, d’être fier de son passé, de ses aïeux, d’être attaché à son Dieu, à sa foi, à son terroir, à ses traditions, d’avoir des convictions et des certitudes, de savoir faire la distinction entre le bien et le mal, le vrai et le faux, le beau et le laid, l’ami et l’ennemi. Or les peuples occidentaux ont été vaincus mentalement, spirituellement depuis 1945. Cette défaite mentale préparait leur marginalisation politique, sociale et biologique. On leur fait porter le poids de l’esclavage, de la colonisation et de la Shoah. Autrefois, dans les manuels d’histoire, on mettait en évidence les hauts faits des personnages qui sont la gloire de notre pays, de notre continent, de notre civilisation. Aujourd’hui leur Mémoire n’est qu’une machine à entretenir la haine, comme le disait lui-même un Mitterrand en fin de vie face à l’arrogant Elkabbach qui lui demandait des comptes sur son refus de déclarer la France coupable.
Qui ne voit que les émeutes actuelles sont le fruit d’une vaste manipulation, où les réseaux Soros ont toute leur part (voir l’article de Jean Terrien dans ce numéro), et qui a pour objectif d’achever la destruction de l’Occident ? Après avoir mis à mal l’économie réelle avec deux mois entiers de confinement pour un virus qui n’a fait au final guère plus de victimes que la grippe saisonnière, après avoir confiné la quasi-totalité du monde occidental dans une opération de domestication des masses d’une ampleur et d’une intensité sans précédent dans l’histoire, voilà que l’on excite artificiellement, et de manière évidemment intentionnelle, les tensions entre les races, les ethnies, les communautés, après avoir édifié, imposé des décennies durant la société multiculturelle et multiraciale. L’homogénéité ethnique et spirituelle dans une société, une nation, un terroir est un immense et précieux bienfait. Par le mélange des races et des peuples, on a délibérément créé une situation favorisant toutes les tensions, tous les conflits, permettant toutes les manipulations et débouchant sur le chaos, sur l’abîme. On a imposé à l’Occidental de se masquer, de se confiner. Faudra-t-il qu’il se cache ou qu’il fuie pour ne pas être poursuivi et étripé par ceux que l’on aura excité contre lui au profit d’une petite minorité, toujours la même ?
Car on mesure une nouvelle fois à quel point toutes les victimes de “bavures” policières ne sont pas traitées de la même manière. Que l’on sache, les grands médias n’ont jamais protesté contre les agissements des policiers qui gazaient et matraquaient des manifestants pacifiques, y compris des personnes âgées ou des familles avec des poussettes, lors des Manifs pour tous en 2013. Ils ne se sont pas davantage émus lorsque des gilets jaunes ont été passés à tabac, mutilés, énucléés, violentés lors des manifestations fin 2018 et début 2019. Et là il ne s’agissait pas de délinquants multirécidivistes comme les Traoré et les Floyd. Mais ils avaient le tort d’être Blancs, hétérosexuels et chrétiens, trois tares irrémissibles pour les tyrans sans cœur, sans principe et sans honneur qui nous oppriment. Comment ne pas ressentir un sentiment de tristesse, de colère et de dégoût devant ce spectacle ? Et comment ne pas résister de toutes nos forces, de toute notre âme, face à une propagande télévisuelle et radiophonique mondiale qui repose sur l’imposture et le mensonge — dont le diable est le père depuis le commencement — et qui légitime par avance les pires violences contre les Blancs. A l’image de ce qui se passe en Afrique du Sud depuis maintenant un quart de siècle. Dans l’indifférence générale et un silence sépulcral.
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RIVAROL.
Editorial du numéro 3428 de RIVAROL daté du 10 juin 2020
Soros sait créer l’événement.
L’important, c’est d’avoir un concept.
En 2013, quelques femen ont facilement eu le dessus sur les masses sans concept de la LMPT
En 2020, le BLM a aussi facilement eu le dessus sur la masse des statistiques sur les auteurs et victimes des violences aux USA.
Notre camp a essayé d’imiter en ayant lui aussi un début de concept: le gilet jaune.
Mais ça n’a pas fonctionné, Fiorina Lignier a perdu un œil, mais c’est Floyd qui est connu partout.
Peut-être parce que finalement, ce n’est pas notre camp qui a inventé le concept de gilet jaune: le concept ne nous appartenant pas, nous ne l’avons pas maîtrisé, pire nous avons sans doute fait le jeu de nos adversaires.
à réfléchir.
Lettre ouverte à Édouard : »Étant raciste, je constate faire partie d’une minorité injustement haïe, insultée et menacée. Que comptez vous faire pour protéger notre minorité contre les anti racistes ?
Nous exigeons, en tant que minorité, que toute la littérature anti raciste soient brûlée et que tous les statues des anti racistes soient détruites, non mais !
Nous voulons une journée en mémoire des racistes du monde entier et de toutes les couleurs, un jour de fraternité où tous les racistes pourront pleurer leurs martyrs .
Comme il semblerait que vous soyez proche des racistes, en tant que racialiste anti raciste, nous aimerions savoir quelles sont les différentes races parmi nous, Monsieur le charismatique et très très courageux premier des derniers ministres de la Ripoublik ? Je me suis laisser dire que vous étiez un brillant ethnologue raciologue crétinus de varietas irritatens.
Comme tous les délits et delirs sont permis, je voudrais faire un selfi en slip avec vous. Si vous refusez, c’est que vous êtes racistes contre les racistes .
Si vous vous y retrouvez faites moi un salut romain à votre prochain passage dans la boîte à image. Vous êtes super photohygienique, au fait, et ce que vous dites est toujours super chouette. «