Un jeune militant nationaliste a été condamné en appel à deux mois de prison avec sursis et 5 200 euros de dommages et intérêts. Il devra verser 3 800 euros à une paire de déviants sexuels. Le jeune Français avait participé à une action contre la première parodie de mariage en France entre deux personnes du même sexe le 29 mai 2013 à Montpellier.
Le représentant du régime, Pierre Denier, avait clairement exigé une peine pour l’exemple, ce qu’il a obtenu des juges aux ordres. Ils ont validé sans ciller l’ensemble des exigences du représentant du gouvernement d’occupation, sauf la publication du jugement. L’antifrançais Pierre Denier avait prétendu vouloir faire « œuvre pédagogique » (sic). Il souhaitait surtout, par le biais de la publication jugement, infliger une sanction financière quasiment extrajudiciaire en imposant de très lourds frais de publication au jeune homme.
Selon le témoignage très suspect – la justice d’occupation a d’ailleurs refusé le visionnage d’une vidéo qui innocente le jeune militant – d’un flic républicain présent, qui avait conduit l’attaque du groupe de manifestants pacifiques, il aurait déclaré « Les pédés dehors! Les pédés, on n’en veut pas ! », ce que le militant patriote a nié. Il avait cependant courageusement assumé son opposition à l’anti-loi Taubira et avait revendiqué avoir lancé :
« On ne veut pas de ta loi »
« Mariage, adoption, non merci »
L’avocat du jeune militant, Pierre-Marie Bonneau, avait soulevé à l’audience plusieurs points qui pourraient conduire au cassement du jugement devant la Cour de cassation.
L’homosexualité ne peut être interdite cependant le propagande et leurs faits outrageux et pervers envers la nation et la famille doivent être interdit non au mariage non à l’adoption non aux gays pride