Les 30 avril et 1er mai 2022, les Nationalistes de toute l’Europe ont rejoint à Dortmund nos camarades allemands de Die Rechte, qui organisaient deux événements. Le 30 avril, un congrès de l’alliance « Forteresse Europe », dans les locaux du parti Die Rechte a permis aux orateurs venus de Bulgarie, de Hongrie, de France, mais aussi de Suisse et des Pays-Bas, de s’exprimer aux côtés de nos hôtes allemands sur la nécessité de mener un combat commun. Une soirée conviviale entre-nous a prolongé ces réunions.
Le 1er mai, une manifestation de protestation contre la paupérisation des travailleurs allemands était organisée par nos camarades de Die Rechte et du NPD, dans les rues de la ville, malgré les entraves multiples que les autorités municipales ont tenté de créer… À cette occasion, des orateurs venus d’Allemagne et de toute l’Europe ont pris la parole pour dénoncer la destruction de nos nations et la dégradation de nos conditions de vie. Les Nationalistes français ont été représentés à ces deux événements.
Ensemble, les enfants d’Europe rendront à leurs Nations leur puissance, leur gloire et leur prospérité !
Traduction française du discours du représentant des Nationalistes à Dortmund le 1er mai :
Chers Camarades,
Je tiens avant tout à remercier nos amis de Die Rechte d’avoir organisé cette manifestation et de nous avoir invités, nous, vos amis de toutes les nations d’Europe, à venir vous parler.
Le premier mai est une fête joyeuse.
Dans la tradition celtique, le 1er mai est le jour de la fête de Beltaine à laquelle les Celtes passaient de la saison sombre à la saison claire, le lendemain de la nuit de Walpurgis, plus germanique.
Dans la Rome antique, le premier mai connaissait la fête féminine en l’honneur de Bona Dea, et le mois de mai vient du nom latin de la déesse Maïa, auquel le mois « maïus », suivant, était consacré, qui a été christianisé sous le nom de « Marie » pour les catholiques.
C’est, un mois après la fête de l’Annonciation, la promesse de la fécondité du monde, revenue avec les beaux jours du printemps.
Depuis le XIXe siècle, le premier mai est aussi la fête des travailleurs, ce prolétariat de nos vieilles nations qui a lutté, au prix de son sang, pour imposer ses droits.
Que reste-t-il de cette joie aujourd’hui ?
Je ne connais pas exactement la situation en Allemagne, et peux simplement vous parler de celle de mon pays, la France.
Les travailleurs, c’est à dire ceux qui produisent des richesses, sont écrasés d’impôts et de taxes.
La TVA, supportée par les consommateurs, est à 20%.
Les charges sociales, prélevées sur ce qui reste, sont d’environ 60 % du chiffre d’affaires brut…
Sur ce qui reste, il faudra encore payer l’impôt sur le revenu, la taxe d’habitation, la redevance pour avoir la télévision, et pour ceux, devenus très minoritaires, qui ont la chance d’être propriétaires de leur logement, la taxe foncière…
Il ne restera à la fin du mois que de quoi rembourser la mensualité des crédits…
Ce modèle de société qui prive le travailleur des fruits de son labeur est devenu, en France, normal.
L’Etat lui-même ne perçoit plus des impôts que pour rembourser sa dette, ou même simplement les intérêts de sa dette.
Parallèlement, les services publics, qui faisaient l’orgueil de mon pays, disparaissent un peu plus chaque jour : les lignes ferroviaires entre les petites villes, jugées non rentables, sont supprimées, ou remplacées par des lignes de bus desservies par des compagnies privées, les hôpitaux des petites et moyennes villes ferment, les maisons de retraite deviennent de véritables prisons pour vieux travailleurs…
Il faut poser la question : où donc part l’argent ? Où partent nos richesses ?
Une immigration massive nous submerge, organisant, au travers des aides sociales généreusement distribuées, le pillage de la richesse de la France au profit des pays d’Afrique ou, dans une moindre mesure, d’Asie.
Une économie parallèle, faite de travail clandestin de faible qualité, tend à remplacer, dans tous les domaines, le travail des Français par celui d’une main d’œuvre venue du tiers monde, exploitée et sous-payée.
Les banlieues de nos villes deviennent des coupe-gorges et sont livrés à tous les trafics…
Seule une révolution peut mettre fin à cette spirale infernale.
Il faut dénoncer la dette, refuser son remboursement, et juger ceux qui l’ont créée.
Pour terminer, je pense qu’une petite fable résumera parfaitement notre situation :
Un jour au bord d’un lac, des convives effarés réalisèrent que la disparition de nombre d’entre eux était due à la présence inexpliquée d’un énorme crocodile tropical qui les dévorait l’un après l’autre, ne cachant même plus sa gloutonnerie.
Les braves habitants firent appel aux autorités qui protestèrent d’abord…
Ce crocodile était petit et inoffensif et de coupables sentiments saurophobes entretenus par une minorité de populistes aigris conduisaient à l’accuser d’homicides inexistants ou alors marginaux et peut-être même bons pour tous.
Au surplus, ces réactions de haine envers l’altérité et l’enrichissement culturel avaient, disaient les clercs antiracistes, conduit au génocide d’innocents commerçants en peaux de cuir, vinyle et cachemire, accusés injustement de tous les maux quelques décennies auparavant… C’est pour dire !
Circulez, il n’y a rien à voir !
Sa présence reptilienne restait une chance pour le lac et ses abords.
Devant la cruelle réalité de la menace et l’appétit grandissant du crocodile, il fallut cependant prendre des mesures…
Trois solutions émergèrent…
Les premiers considéraient qu’il fallait apprivoiser le crocodile en le rassasiant de nourriture et prendre, en attendant qu’il soit devenu un pacifique voisin, des mesures de protection de la population.
Ainsi voulaient-ils créer un impôt supplémentaire afin d’allouer la moitié de toutes les rations de nourriture de la communauté au reptile, pour que, aussi bien nourri qu’empli de reconnaissance, il renonce à sa nature prédatrice.
Dans l’attente, l’instauration pour tous d’un pass d’alimentation végétarienne et la mise en place d’un couvre-feu devaient permettre de limiter le nombre de victimes…
Les seconds, dans une virile posture, considéraient que, la nature devant toujours plier devant la culture, ce crocodile devait être dressé, au besoin par la force.
Ils préconisaient donc l’instauration d’un impôt permettant de former des dresseurs de crocodiles, afin d’inculquer à celui-ci, bon sauvage perfectible par nature, le respect des droits de l’homme et de sains principes végétariens.
Dans l’attente, ils réclamaient bien sûr des mesures, certes liberticides pour la population, mais combien nécessaires pour sauver des vies humaines.
Un troisième groupe, marginalisé au début, posa une terrible question : que diable foutait ce crocodile dans un lac d’Europe et qui l’y avait importé ?
La solution passait donc par l’expulsion du reptile exotique à destination du marigot équatorial dont il n’aurait jamais du pouvoir partir et, évidemment, par la traduction immédiate devant un tribunal des irresponsables criminels qui l’avaient fait venir en Europe, pour d’égoïstes et obscurs intérêts….
La légende dit que le lobby des commerçants de sacs en peau de crocodile en fût fort marri.
Quelques photos du défilé et des prises de parole :
Eh bien ! Cela bouge et c’est tant mieux !
Nous sommes là aussi, prêts à agir !