Comme chaque mois de février, une délégation française était conviée par les camarades de l’Union Nationale Bulgare à la célébration de la mémoire du général Hristo Lukov (assassinée par une juive communiste le 13 février 1943) à Sofia.
Une année de plus, une année encore, des nationalistes venus de toute l’Europe, dans une discipline admirable ont fait bloc et publiquement rendu hommage au général dans les rues de Sofia, malgré les pressions des lobbies du judaïsme politique sur les autorités bulgares qui, interdisant un défilé, ne pouvaient empêcher le rassemblement aux flambeaux devant sa maison natale.
Il faut croire que le général Lukov, 77 ans après sa mort, est tout aussi craint que lorsqu’il était vivant. En effet, comme l’occupant soviétique pendant 45 ans a tenté d’en effacer toute trace dans le martyrologe politique bulgare, leurs descendants marxo-mondialistes d’aujourd’hui alliés à leurs frères ennemis libéro-mondialistes, tentent d’empêcher son évocation publique, craignant l’exemple du héros de guerre, chef nationaliste et homme d’État !
On lira donc ci-dessous le message de soutien de la délégation française prononcé devant l’avant-garde de cette jeunesse bulgare qui refuse, comme le général en son temps, la subversion marxisante, la soumission à l’EURSS, l’invasion migratoire conduisant au génocide des Européens et à la disparition des nations.
Message de la délégation française :
Les héros ne meurent jamais !
Chers amis,
Je viens aujourd’hui vous apporter le salut de vos camarades français.
Je voudrais tout d’abord remercier les organisateurs de cette marche pour leur invitation. Soyez indulgents et j’espère que vous comprendrez mon discours, malgré mon accent.
Comme vous, nous avons nos héros.
Il y a 15 jours, à Paris, nous commémorions ceux qui sont tombés pour la Patrie.
Le 6 février 1934, une foule d’un demi-million de patriotes occupait les rues de Paris pour dénoncer le gouvernement corrompu.
Le 6 février 1945, Robert Brasillach, le grand écrivain et poète français, tombait, fusillé par les « libérateurs » parce qu’il avait choisi le camp de l’Europe contre celui des yankees et des soviétiques.
Le combat reste le même.
Alors que les pouvoirs publics aux ordres tentent d’obtenir la dissolution de l’Union Nationale Bulgare, nous assurons nos camarades nationalistes de notre soutien.
Notre détermination et notre solidarité sont d’autant plus fortes que nous, nationalistes, en France, avons déjà eu à connaître des attaques identiques et de même origine. En effet, c’est après une visite du président du Congrès Juif Mondial en France, à l’Élysée, que le Premier Ministre de l’époque, Manuel Valls, avait pris pour prétexte la mort d’une racaille dans les rues de Paris en juin 2013 pour dissoudre deux mouvements nationalistes : l’Œuvre Française et les Jeunesses Nationalistes.
Mais c’est évidemment peine perdue. Et nous savons qu’en Bulgarie, comme ailleurs en Europe, les nationalistes ne fuient pas et ne se laissent pas impressionner par les coups d’où qu’ils viennent. Et leurs ennemis devraient prendre garde de ne pas trop secouer le puissant lion bulgare à peine assoupi après avoir eu raison de 500 ans d’esclavagisme sous la férule ottomane et de 45 ans d’occupation soviétique…
Mes camarades, nous ne sommes pas les derniers d’hier, mais les premiers de demain.
Notre détermination construira notre Europe.
Vive la Bulgarie !
Vive notre Forteresse Europe !
~
Скъпи приятели, днес съм тук за да ви донеса поздравите на вашите френски другари.
Първо бих искал да благодаря на организаторите на този марш за тяхната покана.
Моля, бъдете снизходителни и се надявам, че ще разберете моята реч, въпреки моя акцент.
Подобно на вас, ние имаме своите герои. Преди две седмици в Париж почeтохме тези, които паднаха за Отечеството. На 6 февруари 1934 г. тълпа от половин милион патриоти окупира улиците на Париж, за да осъди корумпираното правителство. На 6 февруари 1945 г. падна Робърт Бразилак, големият френски писател и поет, застрелян от „освободителите“, защото той е избрал страната на Европа срещу тази на янките и Съветите. Борбата остава същата.
Докато властите по заповед се опитват да постигнат разпускането на Българския национален съюз, ние уверяваме нашите националистически другари в нашата подкрепа. Нашата решителност и нашата солидарност са все по-силни, тъй като националистите във Франция вече сме преживели идентични атаки със същия произход. Всъщност, след посещение на председателя на Световния еврейски конгрес във Франция в Елисейския дворец, тогавашният министър-председател Мануел Валс се поддаде на натиск и през юни 2013 г. под измислен предлог разпусна две националистически движения: Френско Дело и Млади Националисти.
Но това очевидно е загуба на време. И знаем, че и в България, както и другаде в Европа, националистите не бягат и не са впечатлени от ударите, откъдето и да идват. И враговете ви трябва да внимават да не разгневят могъщия български лъв, който едва ли спи, след като се отърси от 500 години османска окупация и 45 години съветска окупация …
Мои другари, ние не сме последните от вчера, а първите от утрешния ден. Нашата решителност ще изгради нашата Европа.
Да живее България !
Да живее нашата крепост Европа !
Délégation française sur la tombe du général Hristo Lukov au cimetière central de Sofia :
Rassemblement nationaliste devant la maison natale du général Lukov :