Notre camarade, président du Cercle des Amis de Léon Degrelle et animateur de la Boutique des nationalistes, est actuellement la cible de persécutions d’origine communautaire qui ont déclenché à son encontre des poursuites à caractère idéologique et menaces de dissolution. Il a besoin du soutien de tous nos lecteurs et amis, attachés autant à la liberté d’expression qu’à la Vérité, pour continuer à faire vivre et honorer la mémoire du « grand Léon » ! Merci d’avance à tous ceux qui manifesterons leur soutien et pourront aider par exemple en souscrivant des adhésions, en fréquentant la boutique ou encore en faisant un don (toutes les informations sont disponibles ci-dessous).
« Si tu cherches la vérité, sois courageux pour l’accepter quand tu la trouveras » (Marc-Aurèle)
Lettre du Cercle des Amis de Léon Degrelle – Septembre 2024 – Adhésion CALD : 30 €
SOMMAIRE :
- Prisonnier pour un chapeau par Léon Degrelle
- Entretien avec Gudrun Burwitz
- Revue de presse
- L’uniforme de Léon Degrelle
- Objets Léon Degrelle
- Dietrich Eckart, le prophète du national-socialisme
- In Memoriam
- Conseils de lectures
- Citations
- Munitions
Le président de notre association, Christophe Georgy, qui en est aussi un de ses principaux animateur a été convoqué le 8 août dernier (c’est une drôle de coïncidence : départ de la Légion Wallonie le 8 août 1941) par la police pour « apologie de crime contre l’humanité ». Il était écrit sur la convocation : « audition libre -sans garde à vue ».
Bien évidemment dès que notre ami est entré au commissariat accompagné de son avocat, l’OPJ chargé de cette affaire lui a notifié sa Garde à vue. S’en est suivi une perquisition au domicile familial, un téléphone portable et deux ordinateurs ont été saisis. Il n’y avait rien de « politique » dans ces appareils donc pas d’inquiétude, les fichiers des adhérents et des chalands de la boutique avaient été « garés » comme on dit en Bourgogne, la police n’a trouvé que des « chnis » !
Durant l’audition, notre ami a appris que c’est la LICRA de Metz qui est à l’origine de la plainte auprès du procureur, contre l’existence du Cercle et de sa boutique. De nos jours, les dictionnaires devraient changer la définition de l’antisémitisme par une formule semblable à celle qui suit : « Antisémite : personne qu’un juif déteste. »
Il faut bien reconnaitre que les policiers ont été plutôt cordiaux avec lui, enfin jusqu’à ce que notre ami se défende, nie les faits et refuse de collaborer avec le
système. Au moment de le relâcher après une journée de GAV, l’OPJ lui a lancé comme une sorte de menace : « Cela n’en restera pas là. Il y aura une suite à cette affaire… ! » L’épée de Damoclès est au-dessus de sa tête et peut-être sur le Cercle qui pourrait être interdit pour « apologie de la collaboration».
Malheureusement, cette « affaire » engendre beaucoup de frais, le matériel informatique sera t’il rendu un jour et dans quel état ? Il faut rééquiper notre ami et sa famille. Il y a aussi eu des frais d’avocats, bien que modeste, puisqu’il s’agit d’un ami courageux, bien connu des nationalistes, qui s’est dévoué pour l’assister de manière ô combien efficace. De plus il sera sans doute « convoqué » de nouveau et peut-être renvoyé en correctionnelle. Là encore, il y aura des frais d’avocats.
Ceux qui ont les moyens, peuvent aider à l’accompagner même modestement, en adhérant, en achetant livres ou objets dans la boutique ou en faisant un don :
ADHÉSIONS :
- 30 € adhésion simple
- 60 € adhésion bienfaiteur
- Ajouter 7€ pour les personnes hors de France
Soit en ligne sur CALD, soit par chèque, à l’ordre du « Cercle des Amis de Léon Degrelle » (Cercle des Amis de LD, BP 92733, 21027 DIJON cedex)
DONS :
- par chèque, à l’ordre du « Cercle des Amis de Léon Degrelle » (Cercle des Amis de LD, BP 92733, 21027 DIJON cedex)
- par virement : Compte : Assoc. Cercle Des Amis De Leon Degrelle – IBAN : FR76 1100 6210 0652 1160 9263 870 – BIC : AGRIFRPP810
Préciser dans le virement ou avec le chèque la mention : « affaire licra », afin que l’affectation se fasse correctement.
BOUTIQUE :
- sur le site internet de la Boutique des nationalistes
Adhésion bienfaiteur envoyée + commande de l’insigne du Cercle des Amis de Léon Degrelle. Je souhaiterais faire davantage pour la cause nationaliste. Chacun agit selon ses moyens. Devoir supporter la coexistence avec les démocrates tous les jours, au travail notamment, devient de plus en plus difficile. Il faut raser les murs, serrer les dents, s’accrocher à son salaire et se dire que ce n’est plus qu’une question de survie. Il n’a jamais, d’ailleurs, été question que de cela, avec le rare soutien de quelques autres professionnels lucides, qui sont bien obligés de reconnaître la qualité de nos efforts. Aveuglé pendant des décennies par la propagande anti-raciste, j’ai eu un déclic. Certes j’ai toujours été hostile à la franc-maçonnerie, aux minorités de mœurs, à l’immigration, j’ai toujours été partisan de la peine de mort. Le terrain était déjà favorable à ce qui allait devenir mon engagement plein et entier à l’extrême droite, la seule famille politique digne de ce nom, car la seule fidèle à l’identité profonde de nos civilisations. Ce terrain, nous le devons à la loi naturelle qui nous a faits et qui, malgré les ravages de la post-modernité, continue à nous guider. À présent tout est clair. Né en 1975, je ne pouvais pas, sans attache familiale directe en ce sens, m’éveiller d’emblée à la doctrine nationaliste. C’est une difficulté de ma génération : l’école de la république triomphante portée par ses ascendants gaullo-communistes puis soixante-huitards, la fréquentation déjà banalisée des jeunes d’origine étrangère, l’impact durable d’un film comme « Train d’enfer » et du fait d’actualité de l’époque l’ayant inspiré, tout était orchestré pour l’Autre. Tout le monde n’a pas eu la chance de pouvoir rencontrer, jeune, un meneur de l’envergure de Pierre Sidos. Mais c’est une chance qu’il y ait encore quelques grands meneurs nationalistes en France aujourd’hui, et ceux d’entre nous qui prenons tardivement le train en marche devons saisir cette chance, et honorer toutes les opportunités de montrer la sincérité de notre engagement. Quoi qu’ils fassent, les démocrates, dans leur bêtise, leur hypocrisie, leur lâcheté, ne peuvent que nous renforcer dans notre détermination à poursuivre le combat pour renverser les rapports de force et venir à bout de leur régime corrompu, porté par une petite communauté de gens sous-civilisés qui n’ont jamais rien fait de grand dans l’histoire. Il ne se passe plus un instant de ma vie sans que j’éprouve le malaise face à cette époque où l’on nous impose l’irrespect au quotidien, sans parler de ce poids supplémentaire qu’est Internet, avec Google qui nous expose comme des bêtes de foire, s’acharnant à essayer de fausser, de salir notre image. Qu’ils sachent, et les intéressés se reconnaîtront, que je n’ai rien à faire de leur tutoiement ni de leur sympathie. Ils ne peuvent rien contre la distance du professionnalisme. Qu’ils gardent leurs distances et qu’ils se bornent au travail, car des ennemis n’ont rien de personnel à se dire. Voilà, au-delà d’un témoignage personnel, la réalité non seulement subjective mais aussi objective de la France actuelle et des autres pays concernés : la défiance des vrais Français contre la prostitution et la bassesse des esclaves du Rotary Club. Ce qui est mondain est frelaté, ce qui est pourri doit être détruit. Les générations, dont je suis, qui n’ont pas connu la guerre militaire vivent cependant de manière diffuse une forme de guerre civile, contenue, dans la vie de tous les jours. À défaut d’avoir lu Édouard Drumont quand nous étions adolescents, ceux de ma génération dont la formation intellectuelle était d’abord passée, faute de plus éclairant alors, par « L’Étranger » d’Albert Camus, ont eu par la suite l’occasion de comprendre quel lobby, le judaïsme politique, se cachait et se cache toujours derrière la tension toujours plus prégnante entre communautés. Je tiens à saluer les premiers skinheads que j’avais rencontrés dans les années 1990. Nos échanges ont fait partie des jalons précoces de ce qui allait suivre graduellement. Et je tiens aussi, à présent, à dénoncer publiquement l’imposture du gaulliste et crypto-maçon Pierre-Yves Rougeyron, lequel, pendant les élections européennes, avait mis en cause la réalité du projet politique de Forteresse Europe. La prochaine fois, je demanderai à rejoindre cette liste, camarades. Et je dénonce encore les propos de ce même Rougeyron, qui se dit nationaliste, tout en trouvant dommage, de son propre aveu, que « tous les collabos n’aient pas été liquidés », ou ayant encore déclaré, dans sa foire aux questions de l’été 2024 sur YouTube, qu’il aurait, je cite, « tué Léon Degrelle » de ses propres mains. Pas étonnant de la part d’un admirateur déclaré de Gilles-William Goldnadel. C’est, enfin, avec la plus grande humilité que je veux m’adresser ici à ceux d’entre vous qui avez connu et connaissez la guerre militaire, les luttes armées, les combats de rue, les agressions à vingt contre un et les persécutions judiciaires. Je veux simplement vous dire que tout le monde ne peut avoir un tel palmarès. Pour autant, nous vivons une souffrance psychologique quotidienne, celle d’évoluer dans un régime dont nous savons qu’il n’a pas été fait pour nous. Et la seule compréhension acceptable de ce phénomène ne peut venir que de ceux qui, comme vous, êtes de notre bord : l’extrême droite, le nationalisme français, les autres nationalismes compatibles avec le nôtre, la doctrine d’un pays fait pour ses habitants enracinés, respectueux de leur terre, de notre terre et de la mémoire de nos ancêtres, à plus forte raison si vous avez vécu et vivez cette souffrance avec toute l’intensité de votre ancienneté militante. Car c’est une souffrance saine : le monde est dysfonctionnel, mais nous avons les pieds sur terre et la tête sur les épaules, « les mains propres et la tête haute, en avant la victoire et maîtres chez nous ». Merci aux anciens de nous permettre d’apporter notre modeste soutien, d’apprendre à leurs côtés, de grandir les rangs de la France authentique. Terence Den Hoed (Eric)
La Licra est bien d’essence totalitaire à un point difficilement dépassable.
Tous les personnages de l’Histoire qu’elle n’aime pas doivent être effacés comme étaient effacés sur les photos les bolcheviques qui n’avaient plus l’heur de plaire au chef.
Il serait donc interdit d’apprécier un homme au motif qu’il s’est trouvé dans le camp des vaincus en 1945 ?
L’Occident a-t-il déjà connu une période d’une telle intolérance, d’un tel sectarisme relevant de la folie, d’une telle chasse aux « dissidents »? Je ne le pense pas. S’il en avait été ainsi, il n’aurait pas été à la pointe de toutes les avancées scientifiques et technologiques. L’Occident n’est plus porté par l’esprit occidental mais par un esprit étranger et qui lui est hostile.