Depuis plusieurs jours, le chef de l’UMP à Nice – le tristement célèbre Christian Estrosi, l’homme qui est fier de succéder à un criminel juif pour un prix remis par un site communautariste extrémiste – et Marie-Christine Arnautu – qui, après avoir détruit la section locale du FN y a fait rentrer les rescapés du Bloc identitaire pour leur offrir plusieurs cantons – se livrent une bien inutile polémique politicienne.
Lors des derniers rebondissements, le FN a diffusé une photo de « motodidacte » à la fin des années 1980, quand l’homme du Golf de Nice, du voyage en jet à près d’un million de francs pour aller boire une coupe de champagne, de l’appartement payé par le contribuable pour sa fille à Paris, de la faillite Speed 06, des dizaines de milliers d’euros volés au contribuable et payés par le ministère de l’Intérieur, posait fièrement aux côtés des élus et militants du Front national dans les manifestations.
Hier, le laquais d’Israël s’est livré en guise de réponse à une ignoble attaque contre La Manif pour tous (LMPT). Attaqué sur sa participation aux manifestations du Front national durant les années 1980, il a affirmé :
« C’est quand même moins grave que ceux qu’on a vus défiler avec la Manif pour tous. Eux, ce n’était pas il y a 20 ans, c’était il y a 6 mois »
Sa haine de la famille et sa passion pour les déviants sexuels n’est pas nouvelle. Depuis plusieurs années, il a axé sa politique locale pour satisfaire les intérêts communautaristes des déviants sexuels par de multiples initiatives. Il avait piqué une crise d’hystérie au sein de la mairie en apprenant que la première union officielle d’une paire de déviants ne se ferait pas à Nice.
La dernière initiative en date fut de créer le premier « carnaval gay », communautarisation indécente d’une manifestation populaire et traditionnelle. Conséquence directe de cette provocation : le Carnaval de Nice a connu une très forte chute de fréquentation en 2015, avec seulement 120 000 spectateurs, soit environ 10 000 de moins qu’en 2014 (-8 %). Le Carnaval, en quelques années, très loin de ses racines, est devenue une machine à faire de l’argent, avec des entrées payantes – très chères – pour la plupart des animations, sans la moindre participation du public, et moins encore de la population, c’est-à-dire la négation même du Carnaval pour ces familles que déteste visiblement Christian ‘bac -10’ Estrosi. Des familles auxquelles il n’hésite pourtant pas à prendre chaque année 6 millions d’euros pour financer son Carnaval.