Le colonialisme « musulman » appuyé par les gauchistes laïcistes
Cette fin de semaine se tient un colloque lors de la journée internationale contre l’islamophobie : encore une « phobie » et encore une « journée mondiale » !
Le lieu choisi – un amphithéâtre d’une université républicaine – et le caractère officiel de cette islamophobie-phobie, qui se déroulera en France occupée, montre bien que ceux qui prétendent se définir d’abord selon la religion à laquelle ils se rattachent, jouissent de droits très importants, jusque dans les établissements publics, malgré la laïcité proclamée du régime républicain.
Mais peut-être certains sont-ils écartelés entre liberté et égalité ?
La religion, prétexte des envahisseurs pour être « plus égaux » que les autres
En réalité, cette manifestation est relayée par « les indigènes de la République », c’est-à-dire par des étrangers, bien souvent indigènes en Algérie, en Tunisie ou au Maroc, mais devenant de plus en plus souvent des colons subversifs en France. Tout se passe comme si certains des leurs voulaient nous chasser de chez nous et prendre le pouvoir – aux autres étrangers qui l’exercent à ce jour, dans leur République. La revendication d’« une bataille pour les droits civiques : Paris, Amsterdam, Londres, Bruxelles » – ne laisse d’ailleurs aucun doute à ce sujet et explique que les « altermondialistes » d’ATTAC, les trotskystes du NPA et les casseurs « antifas » de tout poil – parmi nombre d’organisations ennemies de la France – soutiennent massivement cette initiative.
La première revendication officielle, au nom de « l’antiracisme », est de pouvoir porter, en toute circonstance, des tenues religieuses -permettant de dissimuler ce qu’on veut en dessous – et adaptées aux régions désertiques pour s’y protéger du sable et de la chaleur sèche, pour des personnes qui ne sont pas des religieux, de leur état, contrairement à des prêtres, des moines ou des nonnes que leur engagement, juridiquement assimilable à un métier, amène à porter un uniforme, comme dans bien des professions.
Mais derrière cette demande, il y a des revendications politiques pour accéder à des privilèges du même type que ceux dont usent beaucoup de « franco-israéliens », à savoir le droit de vote aussi bien aux élections françaises qu’à celles d’une autre entité, les lois « antiracistes » à sens unique qui présument les Français coupables et tous les autres innocents, la surreprésentation de l’occupant dans tous les pouvoirs politique, financier, culturel et médiatique, ou encore le droit d’être surprotégés : écoles, lieux de culte et d’obédience étrangers.
Du matérialisme déguisé qui ne conduit qu’à la misère
Nous pourrions même nous demander en quoi les détails d’une tenue vestimentaire, donc matérielle, seraient si importants, d’un point de vue spirituel, sinon pour se distinguer des autres et généraliser les insultes et violences physiques contre les femmes – de toutes origines potentiellement victimes de cet « antiracisme » – qui ne se conformeraient pas à des coutumes, une fois généralisées, par ailleurs pas spécialement propices à la productivité qui nous caractérise généralement.
Ces activistes et leurs complices trotskystes ne demandent d’ailleurs aucune égalité de droits, mais bien des hyperprivilèges afin d’imposer leurs coutumes extra-européennes aux Français – seuls indigènes en France et donc seuls témoins et véhicules de la culture enracinée – laissés à l’abandon, pillés pour la finance apatride et les allocations versées aux allogènes, voire espionnés et harcelés si leur fidélité patriotique les fait classer parmi les nationalistes Place Beauvau ou à l’Hôtel Matignon sous occupation : la République maltraite les vrais indigènes.
La décolonisation gaulliste, prétexte fallacieux au parasitisme en France
Allant plus loin dans la provocation qui n’est donc pas d’abord religieuse, mais politique à tendance ethnico-raciale, les associations anti-françaises prétendent « (re)conquérir nos droits », faisant référence à l’époque où leurs ancêtres, du fait de l’inclusion de leurs pays dans l’Empire français, étaient, de fait, des citoyens de leur République à vocation universelle. Elles feignent d’oublier que le temps des empires officiels – « colonies » et protectorats – est censé avoir disparu avec la «décolonisation ». Il paraîtrait même que ces peuples d’autres contrées auraient alors, pour leur plus grand bonheur été libérés du prétendu méchant Blanc… chez qui ils accourent aujourd’hui pour le parasiter et y réclamer le droit de vivre… comme là-bas !
Profitons-en pour rappeler que, même si plusieurs pays ont été administrés par une République servie par des Français pour la plupart dévoués et honnêtes, ce furent tout de même une minorité de pays dans le monde, les autres ressortant d’autres empires ou accords internationaux.
Il n’y a donc aucune justification, sinon celle de leur République illégitime, pour que des étrangers qui ne voulaient plus de la France chez eux, voire qui ne l’ont jamais connue, viennent exiger de pouvoir faire comme chez eux en France… d’autant plus qu’ils savent très bien que chez eux, avec pourtant leurs modes de vie, leurs revendications et habits religieux et leurs politiciens bien à eux, ça ne fonctionne pas, en tout cas pas suffisamment bien, puisqu’ils viennent en France chercher mieux que là-bas !
Corroborant la nuisance des mouvements de cette tendance, les Émirats arabes unis, pays à la fois arabe par sa localisation géographique et musulman par sa culture religieuse dominante, donc a priori bien placé pour juger de la question, a classé l’Union des organisations islamiques de France (UOIF) parmi les mouvements terroristes.
Or, cet UOIF participe aussi à ce mini-cirque, ce qui légitime bien notre droit de nous en méfier, sans que cette crainte légitime soit pour autant requalifiée en « phobie » par les psys médiatisés, ni en « haine » ou « incitation à la haine » par des tribunaux devenus des censeurs du bon sens populaire.