Depuis son arrivée à la tête de l’IUT de Saint-Denis, Samuel Mayol a dénoncé de nombreuses graves dérives au sein de l’établissement. Notamment, les islamistes y ont obtenu, dérogations après traitements de faveur, d’y faire la loi, vendant des produits hallal au cœur de l’établissement, se servant des lieux censés être consacrés à l’enseignement pour y organiser des prières et diffuser l’islamisme, etc. L’islamisation était notamment réalisée par l’association dénommée Ouverture (sic).
Il avait également dénoncé des faits relevant de la corruption et du détournement de fonds publics commis par Rachid Zouhhad, une chance pour la France dirigeant le département techniques de commercialisation et ayant mis en place un système d’heures de cours fictives. En seulement quelques mois, entre 2012 et 2014, 4 800 heures auraient été payées à des professeurs sans que le moindre cours ne soit donné, représentant des centaines de milliers d’euros volés au contribuable français.
Rachid Zouhhad, étranger et activiste du syndicat SupAutonome FO, a logiquement réagi en dénonçant un prétendu « racisme » (sic) et un « anti-syndicalisme » des autorités, tandis que son complice Hamid Belakhdar a condamné sans rire « l’islamophobie » et la « chasse aux Arabes » au sein de l’IUT.
D’autres graves faits avaient été constatés rappelant ces autres facettes du drame de l’invasion. Les étrangers avaient en effet attribué des cours à des personnels non qualifiés, au détriment d’Européens l’étant, ou encore embauché 23 individus sans signature de contrat.
Samuel Mayol a révélé avoir reçu de nouvelles menaces de mort, comme six autres membres du personnel.
Les enquêtes sur les faits commis par les étrangers au sein de l’IUT comme les menaces de mort répétées, lancées depuis plusieurs mois, n’ont toujours pas abouti.