L’opération de propagande de l’État criminel d’Israël qui doit être réalisée, pour, avec, et par l’occupant, jeudi à Paris sous le nom de « Tel-Aviv-sur-Seine » devient un scandale national. Un an après les massacres perpétrés par les tueurs de Tsahal en Palestine, alors que les attentats contre les populations civiles, chrétiennes notamment, se multiplient de la part des extrémistes juifs, l’opération, lancée par la mairie de Paris, est ressentie par beaucoup comme une insupportable nouvelle provocation.
Rares sont pourtant les politiciens à oser la dénoncer : l’extrême droite comme les libéralistes font corps avec la mairie PS de Paris dans leur soutien à Israël. À part les nationalistes et quelques dissidents, seule une personnalité de l’extrême gauche, la frontiste de gauche Danielle Simonnet s’est publiquement opposée.
« Je suis scandalisé par cette polémique, qui est lancée aujourd’hui par l’extrême gauche, avec des relents – je le dis très clairement – antisémites »,
s’est de son côté énervé Éric Ciotti, qui conteste à son comparse Christian Estrosi – qui s’est offert un énième voyage de vacances en Palestine occupée il y a quelques jours – le titre de premier laquais d’Israël en France, sans un seul moment aborder le fond du sujet.
« Ces attaques contre Israël sont totalement indignes, injustes. Israël est une grande démocratie, que nous devons soutenir, dans une région du monde où cette démocratie constitue un point d’équilibre majeur pour l’occident »,
a encore osé ajouter l’agent sioniste.