Une plainte du groupuscule de corrompus SOS Racisme
Le groupuscule antifrançais SOS Racisme a été débouté mardi par le tribunal correctionnel de Lyon. L’association avait porté plainte contre Le Progrès de Lyon, « coupable » d’avoir diffusé un article répertoriant les différentes « spécialités » des réseaux criminels étrangers pour leurs attaques dans le département du Rhône.
« Dans ces conditions, les policiers, gendarmes et douaniers qui seraient à la source de cette cartographie réalisée par les journalistes du quotidien Le Progrès, n’ont pas pu créer des catégories ethniques sans enfreindre la loi »,
enrageait alors l’association extrémiste étrangère (fondation : Julien Dray, Harlem Désir ; direction : Dominique Sopo).
Le rédacteur en chef du journal, Xavier Antoyé, avait souligné la qualité de l’article réalisé par les journalistes, un travail « sérieux, fouillé et documenté ». Le pourtant très peu politiquement incorrect journal avait alors été très violemment attaqué par l’ensemble de ses « confères » et par le pouvoir.
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La justice a nié tout caractère discriminatoire et toute provocation à la haine raciale à un article relevant de l’utilité publique.
Le document évoquait pour les cambriolages : les réseaux géorgiens, albanais, roms, des gens du voyage et « locaux » (sic) (groupes des cités toxicomanes, autres), pour le piratage des distributeurs automatiques de billets (DAB) les « gens du voyage, Bulgares [gitans], Roumains [gitans], Russes, groupes des cités marseillaises) », pour le vol de ferraille les « Roms et Gens du voyage », pour les braquages les locaux « (groupes des cités, toxicomanes et autres », pour les petits vols, les « locaux, Gens du voyage, Roms) », pour la prostitution les communautés « africaines, roumaines, bulgares, albanaises, roms, russes, ukrainiennes » et pour le trafic de stupéfiants les « locaux (groupe des cités, autres), Marocains, Albanais ».
Si SOS Racisme porte régulièrement plainte, souvent en vain, contre tous ceux qui proclament la vérité et défendent la France, la justice n’a jamais eu à enquêter beaucoup pour découvrir les crimes de l’association spécialisée dans le détournement de l’argent public (et la défense des terroristes, le groupuscule a très récemment dénoncé la possible et très éventuelle déchéance de la nationalité des terroristes). Outre les faux témoignages et les diffusions de fausses nouvelles ordinaires, SOS Racisme et ses dirigeants ont été condamnés à plusieurs reprises. En 2009, plusieurs de ses membres ont été reconnus coupables dans « l’Affaire Dray », mais objet simplement d’un « rappel à la loi » (sic). En 2013, l’association a été condamnée après le dépôt d’une plainte par une ex-employée pour « détournement de fonds sociaux et publics, abus de confiance, escroquerie, séquestration, harcèlement moral et vol ». Récemment, en 2015, le président de SOS Racisme Somme a écopé de seulement six mois de prison ferme pour escroquerie aux subventions – avec le « soutien total » de SOS Racisme « France ».