Œillades colorées,
Désirs épicés,
‘Amours’ métissées,
Attention, danger…
De mort !
Les opposés s’attirent ? Il serait plus prudent de se méfier ! Car l’éventuelle attraction ponctuelle exercée par l’exotisme ne doit pas faire oublier les très nettes différences comportementales entre les ethnies qui peuplent la Terre. Elles sont faites pour vivre chacune à sa place, sous les latitudes auxquelles leur métabolisme est le mieux adapté, entre soi, avec une propension à la violence comparable entre les composantes individuelles d’un même groupe.
Alors, dans un monde mû par le cosmopolitisme, quand l’amour rend aveugle ou que les petits malheurs du quotidien conduisent à se rassurer en suivant bêtement le premier venu, le plus civilisé des deux perd ensuite son temps à vouloir expliquer ceci ou cela à l’autre et paie bien souvent son imprudence première mêlée d’ignorance… au prix fort !
Tirés des faits divers étatsuniens – parfois de leurs prolongements judiciaires – de cette fin d’automne, les cas qui suivent sont souvent tellement parlants qu’ils pourraient se passer de commentaires.
S’il sort après une dispute, reviendra-t-il calmé ?
À Black River Falls (État du Wisconsin, plein nord, à l’ouest des Grands Lacs), c’est la raison qu’a invoquée Michael L. Harmon lorsqu’il est allé prendre l’air après une discussion tendue : se calmer. Mais il revint au domicile… avec un pistolet et assassina Angela Nelson. Pour ce crime commis en juin 2013, Harmon vient seulement d’être condamné à 25 ans de prison, après que le tribunal a rappelé
« son long et violent passé criminel ».
L’adage suivant s’applique, en particulier, à tout récidiviste avéré : « chassez le naturel, il revient au galop ! ».
Même au retour du travail, son accueil pourra être… le tout dernier
Contribuer très activement aux finances du foyer en se donnant la peine d’aller travailler à l’extérieur ne sera pas nécessairement suffisant pour avoir la vie sauve.
À Little Rock (Arkansas, sud, au nord de la Louisiane), Jessica Berliew en fit la tragique expérience, le 24 novembre 2015. Regagnant son domicile, elle n’eut droit qu’à… une dispute qui tourna au meurtre. Derrick Mason ne donna aucune autre explication à son geste.
Avoir un enfant avec lui ne résoudra rien
C’est ce qu’a fait la Hollandaise Mélissa Moore, âgée de 31 ans. À Détroit (Michigan, nord-est, au cœur des grands lacs), elle travaillait pour élever seule ses deux fils. C’est pourtant le père de l’un d’eux, Jermaine Cooper, âgé de 35 ans, qui l’a tuée « comme dans une exécution », selon les enquêteurs.
Ce 4 décembre 2015, il fallut l’intervention des forces spéciales, avec un négociateur, pour interpeller le criminel retranché. Aussitôt après, il fut néanmoins présenté par sa famille et d’autres proches de son ethnie comme « un bon père » (sic).
Mariage ou pas, les gens évoluent, mais, généralement, ne changent pas
Ricky Harding Jr. a tué son épouse et mère d’un enfant en commun, Summer Hickman, par arme à feu, en mai 2014, dans le Comté d’Audrain (État du Missouri, centre des États-Unis d’Amérique).
Après ce crime commis au domicile conjugal, Harding mit le corps dans le garage et quitta la résidence, abandonnant les quatre enfants mineurs.
Il avait déjà été reconnu coupable, rien que dans cet État, entre autres, de cambriolage et vol en 1998, dans trois affaires de drogues en 2002 et pour deux délits d’agression domestique en 2006.
Il est désormais, en décembre 2015, reconnu coupable de meurtre, d’agression domestique (encore !), de possessions d’arme et munitions interdites (eu égard à ses précédentes condamnations) et de mise en danger de la vie d’enfants.
Encore « un bon père » !
D’ailleurs, serait-il vraiment libre pour envisager quoi que ce soit ?
Le 10 décembre 2015, Elmo Jesse Johnson a été condamné à la prison à vie pour le meurtre par balles, à Aurora (Colorado, centre des États-Unis d’Amérique), en septembre 2014, de Stéphanie Griego, alors âgée de 24 ans. Johnson, non content d’être marié, s’était trouvé, en plus, une petite-amie et semble avoir trompé tout son monde jusqu’au meurtre qui ouvrit les yeux des juges… mais ferma définitivement ceux de Stéphanie.
Pourquoi fréquenter celui pour qui on ne sera qu’un trophée… cabossé ?
Compositeur « musical » et journaliste de rap, Ernest Baker est l’auteur de
« Comment sortir avec des femmes blanches »…
Il fréquenta la journaliste musicale Lauren N. Mais l’idylle tourna court et, pendant qu’ils réglaient leurs histoires de clés et de factures à solder, une dispute tourna mal, alors qu’elle lui reprochait de ne pas payer sa part à lui du passif commun.
Résultat, la demoiselle se retrouva à l’hôpital et eut droit à 20 points de suture pour s’être ouvert le menton en chutant après que le revendiqué dragueur de femmes blanches se fut énervé contre elle.
Arrêté à plusieurs titres (agression délictueuse, harcèlement, tentative d’étouffement et menaces), il a été inculpé, puis remis en liberté.
Ce 3 décembre 2015, son ex-petite amie, se disant « lasse de cacher ce que tout le monde sait », a montré sa cicatrice de plusieurs centimètres au menton.
« plus qu’un problème de violence domestique, il s’agit d’un problème racial » (sic).
Imaginons un instant le tollé politico-médiatique que ça aurait provoqué si c’était elle qui avait écrit ça !
Néanmoins, il s’est dit ensuite, malgré la balafre, victime d’une « menteuse raciste » (mais alors, depuis quand ?… serions-nous tentés de lui demander), la décrivant également comme « jalouse » du fait qu’il l’a rapidement remplacée. Remplacement qui, comme on dit « était écrit d’avance »… par lui !
Cependant, son propre avocat a confirmé l’existence d’une enquête criminelle en cours pour violences domestiques diligentée à l’endroit de son client.
Et si l’histoire semble enfin toucher à son terme, les problèmes ne sont pas toujours terminés…
Enlèvement et séquestration
… Ainsi, l’ex-idole que la lumière crue aura fait tomber de son piédestal pourra kidnapper la dame ayant osé échapper à son emprise.
Tel fut le cas, le 22 novembre 2015, pour Sherman Henderson, à Chicago, qui enleva et séquestra son ancienne fréquentation, Lindsay, avant que des témoins de l’enlèvement n’alertent la police qui alla délivrer l’ex-imprudente. Son agresseur, en fuite, fut arrêté le lendemain.
Lindsay eut donc plus de chance que Margaret…
Commencer à fréquenter, c’est (aussi) s’exposer à une rupture… fatale
À Carrick (près de Pittsburgh, en Pennsylvanie, sur la côte est), Margaret Recasens, 28 ans, avait eu l’idée saugrenue de fréquenter Dejuan Onza Windom, de trois ans son cadet.
Cependant, face à la réalité des choses, elle rompit et, fuyant le harceleur, elle… déménagea.
Mais cela ne suffit pas à la protéger contre cet être vil. En effet, le 27 novembre 2015, il se fit conduire auprès d’elle.
Après trois quarts d’heure sur place, son crime commis, il repartit, menaçant nerveusement son chauffeur :
« Si vous dites quoi que ce soit à propos de ma présence à Pittsburgh, vous le regretterez ! ».
On retrouva Margaret poignardée à trois reprises, morte, sur le trottoir, n’ayant pas eu le temps de trouver du secours… ni de regretter d’avoir fréquenté un criminel laissant quatre enfants orphelins de leur maman.
Prendre le volant plutôt qu’occuper « la place du mort »
Le 11 novembre 2015, à Bellevue (État de Washington, côte ouest, à la frontière canadienne), l’alcool et la drogue ayant probablement contribué à l’accident selon la police, en tout cas l’excès de vitesse sans aucun doute, Robert Terrence Jackson Jr., a perdu le contrôle du véhicule qu’il conduisait, tuant sa passagère et… l’abandonnant sur place.
Cependant, quand il rentra au domicile de sa compagne et des enfants d’icelle, il dit au garçon de treize ans qu’il ne savait pas où était Lindsey Hill et qu’il allait partir à sa recherche. Intrigué, l’adolescent décida alors de sortir en direction du fracas entendu dehors et trouva le corps de sa mère, morte dans l’accident.
Recherché, Jackson s’est ensuite caché, puis bagarré avec les policiers, qui ont dû utiliser un ‘stun gun’ (arme électrique de défense) pour le maîtriser.
Poursuivi pour crime routier et s’être enfui des lieux de l’accident, il avait déjà été condamné pour vol et agression, par le passé. Il s’expose donc désormais, pour une troisième condamnation pénale, à la prison à perpétuité.
Il serait, effectivement, grand temps de protéger la société contre un irresponsable au comportement mortifère, le dicton « jamais deux sans trois » – si on recommence une fois, alors on recommencera d’autres fois – étant (encore) vérifié.
Réagir de toute urgence
Tout le temps que la suppuration systémique continuera d’être gobée par les esprits les moins armés se trouvant être… les plus désinformés, ce panorama d’affaires très récentes dressé aujourd’hui pourra être complété par d’autres, pas plus reluisantes.
Cette conclusion est provisoire. D’ailleurs, d’autres cas similaires sont déjà répertoriés, même si nous préférons respecter leur présomption d’innocence, quand bien même ces individus – des deux sexes ! – sont déjà emprisonnés pour le meurtre de leur compagne ou compagnon blanc… ou se sont rendus à la police ou suicidés ensuite.
L’école et les médiats nous servent quotidiennement leur idéologie contradictoire.
D’un côté, on y vante la diversité, le droit à la différence – pour tous les autres mis à part les Blancs – et même, depuis un certain Nicolas Sárközy, la « discrimination positive » (signifiant la préférence étrangère en France) et un impératif de métissage… pour ceux qui l’écoutent, mais pas pour celui qui le dit !
Cependant, ils veulent tellement nous manipuler qu’ils en utilisent des concepts opposés pour arriver à leurs fins. Ainsi, les mêmes girouettes du cosmopolitisme nous abreuvent également, outre le « droit à la différence »… d’indifférenciation fille/garçon, homme/femme, Noir/Blanc, etc.
Alors, ne nous contentons pas de relever cette contradiction qui met nos esprits rationnels en éveil, tandis qu’elle ne semble guère déranger les menteurs professionnels de gouvernements qui n’ont pas de ministre de la propagande qui délivrerait les multiples déclinaisons d’une doctrine nationale, puisqu’ils sont tous devenus des ministres d’une propagande idéologique dévoyée incluant la lamentation répétitive sur des conséquences dont ils entretiennent obstinément les causes au lieu de les supprimer.
Faisons donc tout le contraire des errants qui nous tyrannisent.
Sachons voir les causes des problèmes qui accablent nos nations en voie de dé-civilisation par propagation de mœurs incompatibles portées par des individus et des groupes aux comportements destructeurs.
Soignons les différences qui sont naturellement faites pour se compléter harmonieusement au sein de notre ethnie et, au contraire, appliquons leur « principe de précaution » ou encore leur « plan Vigipirate renforcé » quant aux différences tellement irréductibles qu’elles mènent si souvent à des drames pourtant évitables.
Soyons naturels. Respectons tous ceux qui nous ont précédés et grâce à qui nous sommes ici-bas. Donnons également à nos descendants la chance d’avoir une identité, une histoire, des racines et des références humaines claires, nettes et précises.
Et, quand ça n’était plus le cas, redevenons nous-mêmes… à 100 % !
Face à la révolution, la contre-révolution.
Face au capitalo-marxisme, le nationalisme.
Face au contre-Etat faible, un Etat fort.
Face à la préférence « tous sauf français », la préférence française.
Face à l’islamophilie et à la judéophilie, un catholicisme d’Etat .
Face à l’U.E et au mondialisme cosmopolite, une France enracinée dans ses valeurs millénaires depuis le baptême de Clovis.
Face aux pseudos héros De Gaulle, Churchill, Roosevelt etc…, les vrais héros Saint-Louis, Jeanne D’arc, le maréchal Pétain, Bastien-Thiry (et tant d’autres que l’histoire n’oubliera pas).
Pour une France avec un avenir français.
A bas la gueuse ! Vive la France !