Le Collectif « Les morts de la rue » nous apprend qu’il a recensé 501 décès en France de personnes « SDF » pour l’année 2016, même s’il doit y en avoir bien plus en réalité…
Ils sont morts à 49,6 ans en moyenne, soit trente ans plus tôt que la moyenne des Français. 46 femmes figurent dans cette liste, soit 9 % des décès. 11 étaient mineurs, dont 6 avaient moins de 5 ans. Ils ont vécu en moyenne douze ans à la rue avant de mourir.
Des autochtones, victimes de l’ostracisme des pouvoirs publics
La plupart d’entre eux, victime de l’indifférence, étaient des autochtones, des Français de bonne souche européenne ayant connu des accidents de la vie, comme n’importe quel observateur un peu attentif, sur la voie publique, peu s’en rendre compte.
Si les causes directes de cette hécatombe sont pour la plupart d’entre eux les violences et les maladies, politiquement ce sont les pouvoirs publics avec leur indifférence coupable qui en portent la première des responsabilités. C’est-à-dire l’indifférence du personnel politique aux commandes qui ignore volontairement le sort de ceux qui n’appartiennent à aucune de ces marginalités admirées et encouragée aujourd’hui : comme les dégénérés pédomanes et LGBT, les envahisseurs « migrants », les tarés « performers » scatophiles de l’art contemporain et autres rappeurs voyous et pseudo anarchistes « au grand cœur » mais vrais criminels…
Mais on sait depuis longtemps combien la devise de leur république, le triptyque « Liberté – Égalité – Fraternité » est frelaté et combien ces « valeurs » ne s’appliquent qu’au bénéfice de « l’Autre ». « L’Autre », celui qui appartient à ces marginalités mentionnées plus haut et qui est le roi de la république maçonnique universelle au détriment des autochtones, les vulgaires sujets.
L’État achète des hôtels pour loger les envahisseurs « migrants »
Dans le même temps on apprenait qu’à l’occasion de son plan de modernisation, le groupe hôtelier ACCOR a annoncé la vente de plus d’une soixantaine de ses hôtels type « Formule 1 » (sur un total de 237). L’heureux bénéficiaire de cette acquisition ? Et bien vous et moi, c’est-à-dire l’État ! En effet les établissements en question ont été cédés à la « SNI », filiale immobilière d’intérêt général de la Caisse des Dépôts et Consignations et premier bailleur de France.
La Caisse des Dépôts et Consignations : créée par l’Empereur Napoléon Ier et aujourd’hui placée sous le contrôle direct d’une commission de surveillance rendant compte au Parlement, cette institution publique exerce des activités d’intérêt général pour le compte de l’État et des collectivités territoriales ainsi que des activités concurrentielles. La CDC a donc saisi l’occasion pour acquérir ces hôtels mais on est loin d’une motivation d’intérêt général en tout cas loin de l’intérêt des Français et de la France !
En effet, après rénovation, les bâtiments « seront adaptés à leur nouvelle destination sociale. Le bâti sera adapté à l’accompagnement social et des cuisines collectives seront installées ». La gestion opérationnelle sera confiée à ADOMA (ex-SONACOTRA) qui gère déjà les Cada (Centre d’Accueil de Demandeurs d’Asile). Si le montant de la vente est inconnu, l’enveloppe, rien que pour les travaux, est tout de même de 30 millions d’euros…
L’intérêt général dans tout ça ?
Et donc vous l’avez compris, les hôtels acquis et rénovés par l’État avec l’argent et l’épargne publiques seront affectés au logement des envahisseurs, les colons que toute l’Anti-France s’obstine encore et toujours à qualifier faussement de « migrants » !
En effet l’afflux massif de ces clandestins depuis 2015 a accentué la pression sur les services publics du logement : le Samu social et de nombreux services publics et associations ont recours à l’hôtellerie pour le logement d’urgence, et la pratique pose de plus en plus problème, les clients payants et ceux qui sont logés gratuitement faisant difficilement bon ménage. Le gouvernement a lancé un plan de création de 13 000 places mais recourt massivement à l’hôtellerie (41 000 nuitées achetées par l’État pour le seul mois de juin 2016, d’après un rapport parlementaire). C’est dans ce cadre que le groupe SNI s’est lancé dans le rachat des 62 hôtels qui offriront, après restructuration, près de 6 000 places d’hébergement d’urgence.
« Les nouvelles capacités d’hébergement seront toutes opérationnelles dans un délai de six mois », apprend-on dans un communiqué du groupe SNI. « Elles seront déployées à partir du printemps et réparties sur l’ensemble du territoire pour désengorger les centres parisiens ou franciliens. » SNI parle de 26 % d’hôtels en Ile-de-France, 19 % en Rhône-Alpes et 3 à 8 % dans les autres régions. Et c’est le « SAMU social » qui aiguillera, au moins à Paris, les populations visées par ces établissements.
L’État enrichira aussi le privé en logeant les envahisseurs…
En effet pour réaliser l’acquisition des 62 hôtels, le groupe SNI a été également rejoint par d’autres investisseurs institutionnels : des compagnies d’assurance-vie ou des mutuelles auxquelles il est promis un rendement annuel de 3,5 % sur douze ans. Les partenaires qui envisagent aussi déjà d’acheter d’autres hôtels se rémunéreront en facturant à l’État chaque nuitée d’accueil d’urgence…
Finalement pour l’Anti-France c’est coup double. Ce sont des envahisseurs extra-européens que l’État saupoudre, loge et « enracine » sur tout le territoire, avec toutes les nuisances qu’on imagine en termes d’hygiène, sécurité et identité pour les Français non reniés mais trahis qui vivront à proximité. Et le tout en assurant des subventions, des revenus et des profits aux associations de la subversion et aux consortiums de la Haute-Finance !
Les SDF, eux, peuvent continuer à user les trottoirs de nos centres-villes, dans l’aveuglement des bobos et des gauchos qui, en fervents soutiens du système qui le leur rend bien, continueront à voter Hamon, Mélenchon ou Macron…
Un toit pour les nôtres, un charter pour les autres !